Oyez, oyez ! Ces pages ont disparu un jour, par enchantement. Mais le soir même de géniaux généanautes et généatrices sont parvenus à les restaurer !J’ai promis 1.000.000.000 de bisous virtuels ! Aidez-moi en en envoyant des tas, en pensée, à ces géniaux ami(e)s !Michel
Je pense maintes fois aux joies ainsi qu'aux peines, que vécurent tous ceux-là, dont nous portons le nom, et à toutes ces vies qui tracèrent leurs sillons bien avant que leur sang vint couler dans nos veines.J'écris cette longue histoire, comme un testament que je placerais pour eux, comme au milieu d'un temple, voulant que mes enfants y trouvent des exemples eux qui, dans notre lignée, sont l'actuel présent.
Partant de mes petit*-enfants, cette généalogie remonte dans tous les sens, prouvant que nous ne sommes qu'une seule et grande famille. Si vous le désirez, utilisez sans vergogne mes informations. Elles sont là pour vous. Si vous pouvez compléter les miennes, n'hésitez pas à me mailer. Bon amusem*nt ... cousin, cousine ! Mais attention, si mes informations sont toujours les plus exactes possibles, des erreurs innombrables s'y cachent cependant. Ne m'en veuillez pas pour cela. Après tout, Napoléon a-t-il vraiment vécu....?Ceux dont je ne connais pas le nom de famille sont répertoriés "0" et les prénoms manquants avec "Ne" pour les filles ou "Nn" pour les garçons. Lorsque je connais le prénom usuel et qu'il n'est pas le premier, je le mets entre "".Posséder son histoire, ses ancêtres rend plus libre, plus léger. Le passé, le présent, le futur, les traditions s'enchaînent et ne nous enchaînent pas, au contraire, nous libèrent, rendant anecdotiques, légères, certaines incartades, certains accidents de parcours qui ne sont que les redites, les bégaiements de l'histoire.
"Sur les faits qui se sont passés avant que l'on fondât Rome ou que l'on songeât à la fonder, il y a de belles et poétiques légendes plutôt que des monuments certains: je ne veux ni les affirmer ni les combattre. L'antiquité a ce privilège de mêler le surnaturel aux choses humaines pour donner un caractère plus auguste à la naissance des villes; et, s'il faut laisser à une nation le droit de consacrer ses origines en se faisant descendre des dieux, telle est la gloire militaire du peuple romain,que, lorsqu'il lui plaît de choisir Mars pour père de son fondateur et le sien, les peuples du monde acceptent cette prétention comme ils acceptent son empire.Mais ces légendes et ce qui s'en rapproche, qu'on les considère et qu'on les juge d'une façon ou d'une autre, je n'y vois pas grande importance. Ce que je voudrais, c'est que chacun étudiât avec soin la vie et les mœurs du passé; qu'il sût par quels hommes, par quels moyens dans la paix et dans la guerre a été fondé et étendu notre empire". (Tite-Live, Histoire romaine).
On s'étonnera peut-être du nombre de docteur en droit, d'officiers, de descendants de familles titrées, de bourgmestres, de grands industriels et autres. N'oublions pas que pour laisser une trace dans l'histoire, il fallait soit savoir lire et écrire, soit posséder des biens qui se transmettaient, soit faire un acte de courage à raisonnance au moins nationale... C'est pour cela que je mets le maximum d'obscur et de sans grade...
Je tiens aussi à envoyer des bisous cousinaux de remerciement à tou(te)s mes cousin(ne)s sans qui je n'avancerais pas. Cet esprit familial qui se retrouve entre des dizaines de générations sur 5 continents est vraiment cool.Dans cette généalogie veillent sur nous pour l'éternité de nombreux petit* anges. "Un généalogiste n'oublie jamais ses morts". Le vrai tombeau des morts est le cœur des vivants. Il suffit de fermer les yeux et nous sommes avec eux.
Samenvatting
- 1 - Mode d'emploi à l'attention des magiciens, présents ou futurs
- 2 - Coïncidences troublantes
- 3 - In mémoriam, morts pour la liberté, pour nous. Honneur à eux.
- 4 - Malgré nous.
- 5 - Curieux, extraits de nos Chroniques de famille. Il faut dire que cette bonne vieille nostalgie n’est plus ce qu’elle était.
- 6 - Quelle ménagerie !
1 - Mode d'emploi à l'attention des magiciens, présents ou futurs
Adresse internet de l'arbre : http://gw.geneanet.org/hourmanmichel
Tu me demandes l'accès "éditeur" qui se met en mémoire sur ton PC.
Si tu vois une erreur ou quelque chose à ajouter, soit tu corriges, soit tu me mailes et dans les 48 heures la correction est faite.Lorsque je serai de l'autre coté, parmi tous nos anciens ressuscités, ceux qui prendront la relève le feront eux-mêmes.
Une fiche, c'est tous les prénoms, le patronyme ou nom de famille.Le lieu et la date de naissance, de baptême, de mariage, de décès et d'enterrement.Le totem scout ou guide ainsi que le kali.Les parrain et marraine.Le diplôme, le métier, celui exercé, pas l'honoraire!Une photo.
Pour les lieux, tu regardes comment c'est codé dans le "dictionnaire des lieux" (colonne de gauche) ou tu vas sur Wikipedia. Là, tu as le lieu et la langue vernaculaire. Tu cliques sur cette langue, indiquée dans la colonne de gauche, et tu complètes notre tableau. Rome, Londres, Parijs, Brussels, Anvers, Luik, çà n'existe pas ! Essayez de se mettre à chaque fois en conformité avec ce qui est déjà entré, comme ça, ceux qui chercheront auront facile à trouver.Pour le pays, on met le pays en français/en langue de l'endroit.
Exemple le plus complexe : Dnipropetrovsk - Дніпропетровсьск, Дніпропетровська область, Ukraine / Ukraïna-Україна : Le nom de la ville en français, espace, trait d'union, espace, le nom de la ville dans la langue du pays, la province, dans la langue du pays, le pays en français, barrette en biais, espace, le pays dans sa langue... Ouf...
Essayer aussi de normaliser les sources, les lieux, les professions. Il suffit, si elles sont déjà répertoriées de faire un copié/collé.
La personne. Tout dans la langue de la personne et de l’endroit. Londres n’existe pas, London bien. État civilPatronyme, en MAJUSCULES sauf la particule qui sera selon l’usage.Si le patronyme n’est pas connu, le n° 0 .Prénoms, tous les prénoms connus, si celui qui est usuel n‘est pas le premier, le mettre. dans le cartouche Nom public.Si c’est un autre prénom choisi, le mettre en Alias, de même en cas de traduction.Si le prénom est inconnu, Nn pour les garçons et Ne pour les filles.Photo externe ????Sobriquet, c’est le surnom qualificatif.Si c’est un autre Prénom qui est suggéré, par exemple certains l’appellent Pierre, mais d’autres Jean, le mettre en Prénom alias. Il apparaitra donc selon les deux versions.Patronyme alias quand il existe plusieurs orthographes du même nom.
GERMEAU (Patronyme)Marie Élisa Henriette Ghislaine (Prénoms)Guislaine (Nom public)"Ninie" (Alias)GERMAU (si cette orthographe existait en Patronyme alias)
Naissance Décès InhumationLieu, comme tous les lieux indiqués.Ville, Province, Région, PaysEn Français / et dans la langue du pays, voir Google.Date, c’est fastoche.Source : la paroisse, l’état civil , le faire-part bref là où on a trouvé.Et la même chose pour le baptême, le décès et l’enterrement.
• Né le 23 septembre 1957 - Monza, Monza e Brianza, Lombardia, Italia• Décédée le 31 juillet 1917 - Antwerpen, Antwerpen, Belgique• Inhumée en août 1218 - Israël / עַכּוֹ, מחוז הצפון,מְדִינַת יִשְׂרָאֵל
Parrain, marraine, autres parentsSi on les connaît, et on revient sur leur fiche pour compléter.
Titres de noblesse :Attention ici le titre est mis dans la langue de la personne.La première case c’est le titre, Duc, Duke, Roi, King, Earl, Chevalier, etc…La seconde case c’est le domaine, de France, de Mons, Of England, etc…
Notes :Ce qui peut intéresser le lecteur.
La profession, la plus exacte possible, et PAS de « en retraite », « Honoraire », etc…. Passé 65 ans on est tous honoraire ou en retraite !!!! Si il y a une précision, Notaire à..., religieuse de...., officier de carrière, major... ne marquer que Notaire, Officier de carrière ou Religieuse et mettre la précision en notes individuelles, en-dessous.
La source, la plus détaillée possible. Et toujours si possible selon le même format, Nom de l’auteur, :, « œuvre ». Elle se trouve surement dans la rubrique "Liste des sources", colonne de gauche, et je fais un copié/collé pour l’avoir toujours dans la même casse. Ce qui n’était pas le cas avant.
Je note en "Titre de noblesse", les décès en 14-18 et 40-45, les croix de guerre.
Voilà pour la personne.
Mariage. Tout dans la langue de la personne et de l’endroit. Anvers n’existe pas, Antwerpen bien.Mariée le 8 mai 2005, Al-‘Iskandariya - الإسكندري,EGYPTELa même chose pour chaque personne citée. On la lie, puis on retourne sur sa fiche et on complète.Facile.Je note en "Evénement", les noces d'or , de diamant ou de platine et les diplomes.
Pour ce qui est de la généalogie pure et dure, au-delà de l'an 1000 (et quelques fois aussi bien après) sont utilisées beaucoup, de traditions orales, voire de légendes, intéressantes, respectables mais peu "généalogiques". Beaucoup d'incertitudes sur de très longues périodes ce que nous reprochent de temps en temps les plus "puristes" de nos visiteurs. Mais j'aime bien les légendes '(Mention reprise du site "Pierfit")
Chronique familiale.C’est ici que se trouvent reprises certaines informations récurrentes, telles les sources, les morts pour notre liberté et quelques histoires de familles. On ajoute ce que l’on veut. Le système est libre, mais je mets les sources par ordre alphabétique des auteurs et le patronyme de l’auteur en majuscules, suivi si je les connais de ses dates de naissance et décès et de la date de l'ouvrage.
2 - Coïncidences troublantes
Naissance et mort, dans la semaine....Je viens d'être frappé par la fréquence de personnes qui meurent autour de leur anniversaire. Mourir dans les 10 jours qui précèdent ou suivent devraient être une fréquence de 2%74 (1 dizaine sur 365), or j'arrive à 13%50, soit une fréquence du quintuple ! Je vais donc mettre, dorénavant, ici, ces cas bizarres, au fur et à mesure que je les retrouve.Il y en a trop ! J'arrête et supprime, tout en laissant le titre!
3 - In mémoriam, morts pour la liberté, pour nous. Honneur à eux.
Cicéron :Salus patriae suprema lex.
Général Douglas MacArthur : « Les vieux soldats ne meurent jamais, ils s'effacent doucement.» Old Soldiers never die, they just fade away.
Victor Hugo : "Ceux qui, pieusem*nt, sont morts pour, la Patrie, ont droit qu’à leur tombeau la foule vienne et prie...
''« … le devoir impérieux de perpétuer les noms des héros et des martyrs pour une postérité trop souvent oublieuse et ingrate … »''
Je n'ai pas mis dans cette rubrique toutes celles et tous ceux qui se sont battus, qui ont été emprisonnés, torturés, mais qui sont revenus. Même si certains sont revenus si abîmés qu'ils en sont morts peu après... Ils sont trop nombreux, nos familles portant haut une devise qui pourrait être "Pour la liberté". Je n'ai non plus pas inclus les assassinés par représailles, les otages, ils sont des victimes mais collatérales.
Je n'ai pas mis ici ceux qui sont morts à la guerre, pour la plus grande gloire d'assassins notoires, Napoléon, les rois de France, ou d'autres conquérants. Ils sont aussi victimes des guerres, mais ne sont pas tombés pour défendre nos foyers.
Je n'ai pas marqué les assassins par leur nationalité. Une nation n'est pas responsable de la barbarie de certains de ses membres, d'autant plus que cette barbarie peut se trouver partout. Mais j'ai noté les assassins par les mots employés à l'époque.
Tous ne sont pas morts en héros. Certains n'avaient pas le choix et se sont fait tuer sans plus. Mais tous ont contribué à notre liberté.
Ces crimes n'auront jamais pour moi de prescription.
Nos familles défendent les valeurs … familiales, même au prix de leurs vies. Nous voulons que les nôtres vivent libres et en paix. Nos 566 héros sont morts pour ça. Qu'ils dorment éternellement en paix, maintenant, sous le drapeau de leur pays. La liberté coute cher.
Le vent souffle sur les tombes
La liberté reviendra
On nous oubliera
Nous rentrerons dans l'ombre.
1940-1945. Durant la seconde et j'espère la dernière guerre mondiale, les Belges ont résisté. Organisations clandestines de la Résistance en Belgique :
L'Armée de Belgique, La Légion belge ensuite nommée Armée secrète, ou Geheim Leger, mise sur pied dès août 1940 par le colonel de réserve Robert Lentz et par le commandant Charles Claser, la Brigade blanche de Marcel Louette, La Ligne Comète ou Comet Line, un réseau créé par Andrée De Jongh pour exfiltrer des pilotes britanniques tombés en Europe occupée, le Front de l'Indépendance, un front où le Parti communiste belge tenait une place importante, le Mouvement national belge, le Mouvement national royaliste. Les réseaux de renseignements: "Cleveland" ou "Clarence" de Walthère Dewé, "Zero" de Fernand Kerkhofs, le réseau Jade-Amicol de Claude Arnould, Othello, "Luc" de Georges Leclercq, "Sabot" de Pierre Bouriez, "Mill" d'Adrien Marquet, les groupes Organisation militaire belge de la résistance ou OMBR, Nola, Armée de Libération, Les Affranchis et sa composante France pour l'évasion des prisonniers, du lieutenant Hourman, Groupe D du Service de Sabotage Hotton, le Service D de Joseph Joset et son groupe armé, l’Équipe Z, le Groupe G de la faculté polytechnique de l'Université libre de Bruxelles, le Groupe Zéro de Louis Everaert, le groupe "Luc-Marc", 'Beaver-Baton' et les partisans armés, Les Amis de Charles, filière d'évasion et de renseignements, le Réseau Tempo', ' Zig, Bayard, le Groupe ARA, renseignements et actions, qui coordonne souvent les actions des différents réseaux, et sûrement d'autres que je ne connais pas....
Sur les 54.309 membres reconnus de l’A.S., De 1940 à 1945, 15.000 résistants belges, toutes sections confondues, ne revinrent jamais: fusillés, décapités, pendus, tombés au combat, assassinés dans les camps de concentration. C'est à dire plus de 3 par heure, 24 heures sur 24, durant les 5 années de guerre.....1.100 tombèrent au combat, 350 furent exécutés, 4.500 ne sont pas revenus des camps de concentration ; soit 5.950 morts, plus de 30% de l’effectif. Les autres ont disparus, morts anonymes des héros.
ANDRÉ de CONIGLIANO Claude né le 28 mars 1911 à Lunéville, Meurthe-et-Moselle, Grand Est, France, mort au combat le 17 mai 1940 à Landrecies, Nord, Hauts-de-France, France, à l'âge de 29 ans. Lieutenant 4° Cuir.
ANSQUER Roland né le 30 novembre 1911 à Oostende, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 11 mai 1940 à Hees, Bilzen, Limburg, Belgique , à l’âge de 28 ans. Sous-Lieutenant au 18°de Ligne, 6°Cie. "Vous allez voir comment un officier belge se rend à l'ennemi !"
AYLÉ Robert né le 4 juin 1899 à Paris, Paris, Île-de-France, France, fusillé par les boches au Mont Valérien le 28 mars 1944 - Paris, Paris, Île-de-France, France , à l’âge de 45 ans. Directeur de sociétés. Sous-lieutenant des forces françaises de l'intérieur (FFI). Membre du réseau "Comète".
ARNOUX de MAISON ROUGE Antoine Valentin Roger, né le 3 mai 1895 à Saumur, Maine-et-Loire, Pays de la Loire, France, décédé le 29 mai 1917 à l’hôpital n°1 à Troyes, Aube, Grand Est, France, à l'âge de 22 ans. Sous-lieutenant pilote à l'escadrille 15.
ARNOUX de MAISON ROUGE Gilbert Antoine René Marie Joseph Henri, né le 24 décembre 1892 à Verdun, Meuse, Grand Est, France, mort en plein ciel le 31 mai 1918 près Soissons, Aisne, Hauts-de-France, France, à l'âge de 25 ans. Lieutenant pilote au 2°groupe d'aviation.
BARATTE Eugène Victor, né le 8 mars 1895 à Douai, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 4 mars 1916 à Fleury-devant-Douaumont, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 20 ans. Brigadier au 15ème Régiment d'Artillerie de campagne.
BARATTE Jules Eugène Henri Alfred Antoine, né le 12 août 1890 à Douai, Nord, Hauts-de-France, France, tué au combat le 2 mars 1916 à Fleury-devant-Douaumont, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 25 ans. Sous-lieutenant au 15ème Régiment d'artillerie de Campagne.
BASTIN Jules né le 23 mars 1889 à Roux, Charleroi, Hainaut, Belgique, assassiné le 1er décembre 1944 au KZ Groß-Rosen, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l'âge de 53 ans. Officier de carrière, Général Major. Commandant de l'Armée secrète.
BASTIN Félix Julien Ernest, né le 24 octobre 1870 à Amay, Liège, Belgique, tué par éclats d'obus alors qu'il opérait un blessé le 4 novembre 1917 à Kaaskerke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 47 ans. Docteur en médecine. Major médecin au 8°d'Artillerie.
BAUCQ Philippe François Victor, né le 13 mars 1880 - Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé par les boches le 12 octobre 1915 au Tir national de Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 35 ans. Architecte. Réseau Yorc.
BAYART Georges René Victor, né le 8 avril 1882 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, abattu par les boches dans un café le 10 juillet 1944 - Pont-à-Marcq, Nord, Hauts-de-France, France , à l’âge de 62 ans. Chef du réseau de résistance Sylvestre-Farmer. Commandant.
BEAUVOIS Maurice Joseph Octave Ghislain, né le 10 novembre 1891 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, assassiné le 6 octobre 1944 au KZ Buchenwald, Ettersberg, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 52 ansAgent de change. Commandant de la zone d'Anvers.
BEAUVOIS Raymond, né le 5 février 1922 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, assassiné par les boches en 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 23 ans. Résistant de l'AS.
BEDORET Charles Hubert Marie, né le 5 août 1912 à Grand-Manil , Gembloux, Namur, Belgique, mort le 10 juillet 1941 au Stalag VI-A de Hemer, Nordrhein-Westfalen, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 28 ans, ingénieur agronome, sous-lieutenant de réserve du 2° Chasseur à cheval, cité à l'ordre du jour de son régiment en mai 1940.
BEDORET Léopold Joseph, né le 5 avril 1895 à Clermont, Walcourt, Namur, Belgique, tué au combat le 7 mai 1915 à Sint-Jacobskapelle, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l'âge de 20 ans, inhumé le 7 mai 1915 - Sint-Jacobskapelle, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, volontaire de guerre, soldat de 2° classe au 7° de Ligne 1/4.
BERNARD Jean Édouard, né le 8 janvier 1888 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France, disparu au combat le 9 août 1914 à Illzach, Haut-Rhin, Grand Est, France , à l’âge de 26 ans. Sous-Lieutenant au 44°d'Artillerie.
BERNARD Joseph Paul Marie, né le 11 octobre 1890 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France, mort des suites de ses blessures reçues sur le champ de bataille le 25 juillet 1915 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Officier de marine. Enseigne de vaisseau de 1°classe au 2°régiments de marins.
BERNARD Michel Marie Benjamin, né le 20 mai 1889 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France, blessé à l'ennemi au combat de Samogneux le 24 février 1916 à Samogneux, Meuse Grand Est, France , à l’âge de 26 ans. Maréchal des logis au 15°d'artillerie de campagne.
BIDOUL Gaston, né le 2 juillet 1892, fusillé par les boches au tir national le 20 octobre 1943 - Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 51 ans. Officier de carrière. Membre du réseau "Comète".''
BIESWAL Joseph Léopold Louis Marie Corneille, né le 23 août 1897 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique, tombé a l'ennemi le 14 octobre 1918 à Moorsele, Wevelgem, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Sous-lieutenant.
BLAVIER Daniel, né le 14 octobre 1883 à Belley, Ain, Rhône-Alpes, France, tué au combat le 20 juillet 1916 à Barleux, Somme, Picardie, France, à l'âge de 32 ans, Commissaire de marine sur le Rochambeau, sous-lieutenant au 23° régiment d'Infanterie coloniale.
BLONDEAU Antoine Louis Edmond Marie, né le 19 mars 1898 à Halle, Vlaams-Brabant, Belgique, tombé au combat le 14 octobre 1918 à Moorslede, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans.
BLONDEL Jean Désiré François Joseph, né le 7 mars 1886 à Arras, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France, Mort au Bois de La Miette, de blessures de guerre le 5 novembre 1914 à Pontavert, Aisne, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France , à l’âge de 28 ans. Sergent au 201°d'Infanterie.
BONDUELLE Paul Marie Joseph, né le 25 août 1896 à Marquette-lez-Lille, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi au Bastion de Chevreux le 16 avril 1917 à Craonne, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 20 ans. Soldat au 8°d'Infanterie.
BONVARLET Paul Auguste Marie Joseph Auguste, né le 8 décembre 1895 à Coudekerque-Branche, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, mort dans l'ambulance 8/2, des suites de ses blessures le 8 mai 1917 à Trigny, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 21 ans. Mitrailleur au 87°d'infanterie.
BONVARLET, Pierre Gustave Marie Joseph, né le 20 juin 1888 à Dunkerque, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, mort des suites de ses blessures de guerre le 20 août 1916 à la Bataille de la Somme, Maricourt, Somme, Picardie, France , à l’âge de 28 ans. Maréchal des logis au 118°d'Artillerie lourde.
BRAIBANT Étienne Louis Joseph Ghislain, tué au combat le 10 mai 1940 au fort d'Ében-Émael, Bassenge, Liège, Belgique. Lieutenant au 2°Grenadiers.
BRAUN de ter MEEREN Albert Marie Louis Armand, né le 4 novembre 1883 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgiquemort de ses blessures le 17 juillet 1918 à Denton, Lancashire, England, United Kingdom , à l’âge de 34 ans. Candidat Ingénieur. Volontaire de guerre, Adjudant au Génie.
BRAUN de ter MEEREN Pierre, dit "Bambino", né le 6 octobre 1897 - Sterrebeek, Zaventem, Vlaams-Brabant, BelgiqueDécédé le 5 décembre 1917 - En mer , à l’âge de 20 ans en faisant une acrobatie de victoire. Lieutenant-pilote à la 5ème Escadrille.
BREULS de TIECKEN Joseph Marie Jules Lucien Ghislain né le 6 décembre 1892 à Lanaken, Limburg, Belgique, disparu le 24/10/1914 au combat durant de la retraite de l'Yser, à Sint-Joris-ten-Distel, Beernem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans.
BRUMAGNE Jean, né en 1899, sauvagement assassiné par la ss wallonie, le 31 juillet 1944 à Limelette, Ottignies, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Brabant wallon, Belgique , à l’âge de 45 ans. Lieutenant résistant au groupe BRU.
BUNEL Alfred Auguste Aimable, né le 25 avril 1895 à Villers-Ecalles, Seine-Maritime, Normmandie, France, tué au combat le 28 septembre 1916 à Bouchavesnes-Bergen, Somme, Hauts-de-France, France, à l'âge de 21 ans. Soldat au 46°d'Infanterie.
CAILLAU Charles, né le 9 septembre 1916 à Charleroi, Hainaut, Belgique, tué au combat le 21 mai 1940 - Cauroir, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 23 ans. Officier de carrière. Sous-lieutenant, ESM Saint-Cyr, promotion du Soldat Inconnu.
CARLIER Louis Léon Émile Joseph, né le 7 septembre 1893 à Valenciennes, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi à la Côte du Poivre le 13 mars 1916 à Verdun, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 22 ans. Sergent au 127°d'infanterie.
CARLIER Joseph Jules Pierre, né le 7 juillet 1895 à Valenciennes, Nord, France, tué au combat le 9 juillet 1915 à La Harazée,Vienne-le-Château, Marne, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 20 ans, soldat de 2ième classe au 94° régiment d'Infanterie.
CARLIER Michel Jean Joseph, né le 25 avril 1891 à Valenciennes, Nord, France, assassiné le 14 septembre 1917 à Diksmuide, Belgique, à l'âge de 26 ans. Prêtre trappiste, aumônier militaire, sous-lieutenant au 73°d'Infanterie, 9° Cie.
CARPENTIER de CHANGY François "Henri" Marie, né le 20 septembre 1876 à Villefargeau, Yonne, Bourgogne, France, tué au combat le 23 février 1915 à Mesnil-Les Hurlus, Wargemoulin-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l'âge de 38 ans. Capitaine au 72°d'Infanterie.
CARPENTIER de CHANGY Marie René François "Charles" , né le 26 avril 1879 à Villefargeau, Yonne, Bourgogne, France blessé mortellement au combat et décédé le 10 avril 1918 àl'Ambulance 5/69, Minorville, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France , à l’âge de 38 ans. Capitaine au 20°Chasseurs à cheval.
CAULLIEZ Jean Pierre Adrien Marie Joseph, né le 14 mars 1892 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 13 décembre 1914 à Seicheprey, Meurthe-et-Moselle, Grand Est, France , à l’âge de 22 ans. Soldat de 2°classe au 167 d'infanterie.
CAVELL Édith,née le 4 décembre 1865 - Swardeston, Norfolk, England, United Kingdom, fusillée par les boches au tir national à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique, le 12 octobre 1915 à 49 ans. Infirmière.
CAVROIS Auguste Jean Marie Joseph, né le 23 janvier 1893 - Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France. Tué à l'ennemi pendant la bataille de Verdun le 23 mai 1916 à Cumières-le-Mort-Homme, Meuse, Grand Est, France , à l’âge de 23 ans. Sous-lieutenant au 16°Bn de Chasseurs.
CAVROIS Charles Jean Nicolas Marie, né le 17 août 1893 à Dunkerque, Nord, Hauts-de-France, France. Disparu au combat le 12 mars 1915 à Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 21 ans. Soldat de 2°classe au 110°d'Infanterie.
CHAVANAT Jean Marie François Louis, né le 14 juillet 1905 à Leyrat, Creuse, Limousin, France, tué au combat le 14 juin 1940 à Saint-Lyé, Aude, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 34 ans. Militaire au 4e régiment d'artillerie divisionnaire (4e RAD).
CHARVET Jean Charles Marie, né le 23 juillet 1887 à Armentières, Nord, Hauts-de-France, France, blessé au colmbat et mort le 14 juin 1915 à Mailly-Maillet, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 27 ans. Sergent 235°d'Infanterie.
CHENU Henri Auguste Athanase, né le 31 août 1886 à Saint-Philbert-du-Pont-Charrault, Chantonnay, Vendée, Pays de la Loire, France, porté disparu durant la bataille de la Marne le 8 septembre 1914 - Lenharrée, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 28 ans. Domestique. Soldat 2ème classe au 137ème RI. .
CHRISTIAENS Désiré Oscar Alfons Marie, né le 7 mai 1893 à Ouwegem, Zingem, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé au champ d'honneur à la bataille de la Lys le 24 octobre 1914 à Pervijze, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans. Caporal au 3° de Ligne, 3°Bataillon, 10°Cie.
CLABECQ Léandre "Raymond" Jean Baptiste né le 28 février 1890 à Marbais, Villers-la-Ville, Brabant wallon, Belgique, tombé au champ d'honneur le 29 avril 1918 à Beveren-Waas, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ansInhumé en 1918 - Beveren-Waas, Oost-Vlaanderen, Belgique. Sous-lieutenant au 10°de Ligne / 3 Cie.
CLASER Charles "Charly", né le 27 juillet 1901 à Aalst, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné le 12 décembre 1944 au KZ Groß-Rosen, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l'âge de 43 ans. Officier de carrière, capitaine-commandant BEM. Commandant de l'Armée secrète.
CLOSE Jean né le 27 septembre 1923 à Verviers, Liège, Belgique, assassiné le 17 décembre 1944 au KZ Buchenwald, Ettersberg, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 21 ans. Serrurier.
CLERINCX Georges, né le 13 janvier 1892 à Kerkom-bij-Sint-Truiden, Sint-Truiden, Limburg, Belgique assassiné 21 décembre 1944 au KZ Mauthausen, Oberösterreich, Autriche / Österreich, à l’âge de 52 ans, docteur en médecine. Membre du réseau "Clarence".
COGELS Francis Écuyer, né le 22 novembre 1914 et tué au combat le 12 septembre 1944 à Herenthout, Antwerpen, Belgique , à l’âge de 29 ans. Lieutenant de l'Armée secrète, commandant du secteur d'Herenthout.
COLAS des FRANCS Robert Marie Gabriel né le 16 novembre 1884 à Lyon, Rhône, Rhône-Alpes, France mort de blessures de guerre le 16 mars 1916 à Verdun, Meuse, Lorraine, France, à l'âge de 31 ans. Soldat de 2°classe au 9° escadron du Train des Équipages Militaires.
CORNUT Ignace, né le 17 juillet 1918 à Frameries, Hainaut, Belgique, assassiné le 14 mai 1940 à Peronne, Somme, Picardie, France, à l'âge de 21 ans. Prêtre, père missionnaire, Père Blanc en Afrique.
CORSTIAENS Marguerite Gabrielle Etienne Cornelia, née le 29 mai 1901 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, assassinée par les boches le 12 février 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 43 ans. Prisonnière politique.
CRABBE Emmanuel Oscar Philippe, né le 9 janvier 1867 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tombé au combat le 31 octobre 1915 à Dieppe, Seine-Maritime, Normandie, France, à l'âge de 48 ans. Officier de carrière, commandant au 3°Guides.
CROON Henri Joseph Véron né le 19 mai 1897 à Linkebeek, Vlaams-Brabant, Belgique, blessé à mort le 27 mai 1940 à Raversijde, Oostende, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 43 ans. Ingénieur et officier de réserve (lieutenant), mobilisé en 1940, il participe aux combats de la guerre de 1940 avec la 6°DI.
CUSSAC Alexandre Antoine, né le 7 juin 1898 à Saint-Flour, Cantal, Auvergne-Rhône-Alpes, France, tombé au combat d'Orfeuille le 8 octobre 1918 - Ardennes, Grand Est, France , à l’âge de 20 ans. Soldat de 2°classe au 506°d'Artillerie.
CUSSAC Jean-Baptiste Pascal, né le 25 mars 1883 - Saint-Flour, Cantal, Auvergne-Rhône-Alpes, France, décédé à l'hopital d'évacuation n°18 de ses blessures, reçues à l'assaut du Chemin des Dames le 26 octobre 1917 - Couvrelles, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 34 ans. Agent PTT. Sergent au 27°Chasseurs à pied.
CUSTERS Jean-Pierre né le 10 avril 1881 - Cerexhe-Heuseux, Soumagne, Liège, Belgique, décédé à l'hopital militaire de ses blessures le 19 octobre 1914 - Antwerpen, Antwerpen, Belgique, à l'âge de 33 ans. Soldat au 2e Chasseurs à Pied.
CUVELIER Alois Gérard Marie Joseph, né le 13 mars 1915 à Haubourdin, Nord, Hauts-de-France, France, tombè à l'ennemi le 29 mai 1940 à Kaeskerke, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 25 ans. 241e régiment d'infanterie (241e RI)
d'ALCANTARA Madeleine Marie Joséphine, Comtesse, née le 18 janvier 1917 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique et assassinée le 13 février 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 28 ans. Membre de filière d'évasion "Les amis de Charles".
d'ALCANTARA de QUERRIEU Pierre Alvar Arnold Marie Joseph François-de-Borgia Grégoire Hubert , Comte d'Alcantara, né le 2 novembre 1907 au Château d'Ooindonk, Bachte-Maria-Leerne, Deinze, Oost-Vlaanderen, Belgique et assassiné le 14 octobre 1944 au KZ Oranienburg-Sachsenhausen, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 36 ans. Docteur en Droit. Officier du groupe "Grenadiers".°Guides.
DALLE Guy Gérard René, né le 2 avril 1919 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France. Tué au combat le 14 septembre 1944 - Belmont, Haute-Marne, Grand-Est, France, à l'âge de 25 ans. Maréchal de Logis-Chef au 5°Rgt de chasseurs d'Afrique.
DANLOY Lucien Henri Joseph, né le 11 juin 1890 à La Roche-en-Ardenne, Luxembourg, Belgique, tué au combat le 22 décembre 1915 à Kaaskerke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, à l’âge de 25 ans, Engagé volontaire, sergent au CTAG.
DANNEELS Joseph Marie Gabriel, né le 15 décembre 1892 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 28 avril 1915 à Pypegaele, Reninghe, Belgique, à l'âge de 22 ans. Lieutenant à la I/III du 4°Ligne.
d'ASPREMONT LYNDEN Jean, Comte d' Aspremont-Lynden,né le 19 mars 1926 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 7 septembre 1944 à Verlée, Havelange, Namur, Belgique , à l’âge de 18 ans. Volontaire à l'A.B.R.
DASSIÉ Édouard , Jean dans le réseau. Né en 1894, décédé le 29 mai 1945 - Paris, Paris, Île-de-France, France , à l’âge de 51 ans. Fonctionnaire. Membre du réseau "Comète".
DAVIGNON Pierre Albert Gilles, né en 1912, otage, assassiné durant le transport entre Groß-Rosen et Dora le 10 février 1945 au KZ Groß-Rosen, Rogoźnica, Województwo dolnośląskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l’âge de 33 ans. Prêtre.
DAUTZENBERG Charles, né le 22 février 1892 à Paris VII°, Paris, Île-de-France, France, Tué au combat le 12 mai 1915 à Neuville-Saint-Vaast, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, à l'âge de 23 ans. Étudiant, 2°Canonier servant au 39° d'artillerie de campagne.
DAYEZ Paul Marie Joseph Ghislain, né le 19 août 1896 à Pâturages, Colfontaine, Hainaut, Belgique, assassiné par les nazis en avril 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne , à l'âge de 48 ans, adjudant de réserve 14/18, major des services ARA (Armée secrète, Renseignements et Action).
DAZIN Jean-Baptiste Augustin Grégoire , né le 29 mai 1892 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, FranceMort à l'ambulance de Uskub, d'une maladie contractée en service le 16 novembre 1918 à Skopje - Скопје, Macédoine / Republika Makedonija - Република Македонија , à l’âge de 26 ans. Brigadier au 86 Régiment d'Artillerie Lourde.
de BEAUFFORT Emmanuel, né le 18 mars 1912 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 10 mai 1940 à Kanne, Riemst, Linburg, Belgique , à l’âge de 28 ans, dans la défense du canal Albert.
de BECKER Edgard Marie Joseph Hubert, né le 4 décembre 1867 à Tienen, Vlaams-Brabant, Belgique, fusillé par les teutons le 26 août 1914 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 46 ans. Victime civile
de BECKER REMY Jacques, né le 17 octobre 1893 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 9 juin 1916 à Worobijowka, Rzeczpospolita Polska, à l'âge de 22 ans. Sous-officier au corps belge des auto-camions en Russie.
de BÉTHUNE Paul Marie Joseph Corneille, né le 7 mars 1893 à Kortrijk, West-Vlaanderen, Belgique. Gazé et mort le 21 septembre 1918 à Vinkem, Veurnes, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Lieutenant au 3° Ligne.
de BETTIGNIES Louise Marie Jeanne Henriette, née le 15 juillet 1880 à Saint-Amand-les-Eaux, Nord, Hauts-de-France, France, assassinée en prison le 27 septembre 1918 à Köln, Nordrhein-Westfalen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 38 ans. Réseau Alice.
de BIBER de MÜNSBACH Philippe, baron de Biber, né le 20 juillet 1915 à Liège, Liège, Belgique, décédé à l'hôpital militaire belge installé dans l'abbaye Sint-Andries à Zevenkerken des suites de ses blessures le 26 mai 1940 à Zevenkerken, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 24 ans. Adjudant au 1°Chasseurs à cheval.
de BISSY Urbain Georges Marie Joseph Ghislain, né le 22 septembre 1894 à Montigny, Cher, Centre-Val de Loire, France, tué à l'ennemi le 8 janvier 1915 à l'assaut du Plateau de Bolante, Argonne, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 20 ans. Caporal au 46° d'Infanterie.
de BLOMMAERT de SOYE Alain, né le 3 novembre 1920 à Rixensart, Brabant wallon, Belgique, mort en plein ciel le 13 avril 1945 à Grave-Bij-Nimegue, Noord-Brabant, Nederland , à l’âge de 24 ans. Sergent aviateur à la RAF. du 609°Escadron.
de BODIN de GALEMBERT Antoine Marie Maurice, né le 24 février 1897 à Épernay, Marne, Champagne-Ardenne, France. Décédé d'une maladie contractée en service dans l'ambulance 1/7 le 5 décembre 1918 à Auve, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 21 ans. Sous-lieutenant au 9°Cuirassier à pied.
de BODIN de GALEMBERT François Anne Marie Charles Jules , né le 2 mars 1884 à Paris, Paris, Île-de-France, France. Blessé mortellement dans les tranchées de Massiges, il succomba dans l'ambulance de Virginy le 16 octobre 1915 - Virginy, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 31 ans. Maréchal des logis de réserve au 26°Dragons.
de BODIN de GALEMBERT Stanislas Marie Edgar Louis, né le 20 juillet 1895 à Orbigny, Indre et Loire, Centre, France, tué au combat le 21 août 1918 à Sevlievo - Севлиево, Област Габрово, Bulgarie / Republika Bălgarija - Република България , à l’âge de 23 ans. Sous-lieutenant au 22°d'Infanterie coloniale.
de BONINGE Louis Marie Joseph Émile, né le 25 novembre 1896 à Antwerpen, Belgique, assassiné le 7 mai 1918 à Adinkerke, De Panne, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Père blanc, aumônier militaire, soldat de 2°classe, brancardier au 1°Grenadiers, 3°compagnie.
DEBOUCHE Jules Ghislain, né le 29 avril 1889 à Gembloux, Namur, Belgique, tombe dans le secteur de Boesinghe, au cours d'une patrouille périlleuse, le 16 septembre 1918 à Boezinge, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 29 ans. Sous-lieutenant au 10°de Ligne.
de BRIEY François Marie Camille Ghislain, né le 8 juillet 1896 à Assenois, Léglise, Luxembourg, Belgique, mort de ses blessures à la jambe droite. le 20 novembre 1914 à Aachen, Nordrhein-Westfalen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 18 ans. Caporal aux 1°Grenadiers.
de BRIEY Guillaume Marie Emile Ghislain, Alias: Guy, né le 19 avril 1902 à Oostende, West-Vlaanderen, Belgique, mort en service commandé le 15 mai 1940, à Holsbeek (Belgique), au cours d'une reconnaissance aérienne, à l’âge de 38 ans.
de BRIEY Pierre Albert Gobert, né le 7 mars 1882 à Rouen, Seine-Maritime, Haute-Normandie, Franceblessé à mort le 27 mars 1918 à Marquivilliers, Somme, Picardie, France , à l’âge de 36 ans. Sous-lieutenant au 16°Dragons.
de BRIEY René, né le 6 août 1912 à Florée, Assesse, Namur, Belgique, tué au combat le 17 mai 1940 à Chigny, Aisne, Picardie, france , à l'âge de 27 ans. Lieutenant au 233°d'Artillerie.
de BRIEY Thierry, né le 29 décembre 1895 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné lors de la longue marche entre KZ, le 11 avril 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 49 ans. Capitaine au 1°Guides.
de BROUCHOVEN de BERGEYCK René Marie Joseph Charles Ghislain, comte de Bergeyck, né le 29 avril 1895 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 31 octobre 1918 à Zomergem, Oost-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 23 ans, inhumé le 4 novembre 1918 à Oostkamp, West-Vlaanderen, Belgique, sous-lieutenant à la 10°Cie du 24°de Ligne.
de BURBURE de WESEMBEEK Ferdinand Ludovicus Philippus Josephus Maria, (Joseph de BURBURE de WESEMBEEK), né le 29 septembre 1897 à Wezembeek-Oppem, Vlaams-Brabant, Belgique, assassiné par les huns le 15 janvier 1916 à Sint-Huibrechts-Lille, Neerpelt, Limburg, Belgique, à l'âge de 19 ans. Volontaire, fusillé alors qu'il passait en Hollande pour rejoindre l'armée.
de BURBURE de WESEMBEEk Guillaume Hector Oscar Gustave Maria, né le 26 février 1896 à Wezembeek-Oppem, Vlaams-Brabant, Belgique, assassiné par les huns le 9 février 1916 à Sint-Huibrechts-Lille, Neerpelt, Limburg, Belgique, à l'âge de 20 ans. Volontaire, fusillé alors qu'il passait en Hollande pour rejoindre l'armée.
DECKERS Georges Joseph Henri, né le 19 mars 1888 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique et assassiné par les boches le 26 janvier 1942 à Beverloo, Beringen, Limburg, Belgique, à l’âge de 53 ans. Prisonnier politique, fusillé.
de CARITAT de PÉRUZZIS Edgard Marie Hubert Alphonse, né le 10 octobre 1879 à Lanaken, Limburg, Belgique, mort au combat le 10 juillet 1914 à Hamont-Achel, Limburg, Belgique, à l'âge de 34 ans. Partisan.
de CLERMONT-TONNERRE Marie Amédée Henri "Louis" né le 13 décembre 1877 à Bertangles, Somme, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 30 mars 1918 à Orvillers-Sorel, Oise, Hauts-de-France, France, à l'âge de 40 ans. Capitaine, Chef de Bataillon au 4ème régiment de zouaves.
DECOTTIGNIES Henri Joseph né le 14 mars 1881 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, tombé au combat le 21 février 1916 à Haumont-près-Samogneux, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 34 ans. Cultivateur. Caporal au 362° d'Infanterie.DE COOMAN Joseph, né le 20 mars 1910 à Dion-le-Val, Dion-Valmont, Chaumont-Gistoux, Brabant wallon, Belgique, assassiné par les boches le 4 septembre 1944 à Waterloo, Brabant wallon, Belgique, à l'âge de 34 ans. Gendarme.
de COSSÉ-BRISSAC Henri Marie Timoléon Eugène Fernand Emmanuel, né le 15 décembre 1885 à Prusly-sur-Ource, Côte-d'Or, Bourgogne, France, mort de ses blessures le 6 septembre 1914 à Esternay, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l'âge de 28 ans. Lieutenant au 73° Régiment d'Infanterie.
de COUNE Maurice Luc Marie, écuyer, né le 14 juin 1909 à Seraing-sur-Meuse, Liège, Belgiquemort en captivité le 12 décembre 1940 à Wien, Bundesland Wien, Autriche / Österreich , à l’âge de 31 ans.
DECOUVELAERE Alfred Jules Gémy, né le 28 décembre 1882 à Renescure, Nord, Hauts-de-France, FranceDécédé le 11 octobre 1915 - Bussy-le-Château, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 32 ans. Courtier en laines. Sergent au 243°d'infanterie.
de CRESSAC de SOLEUVRE Hélie Marie Eutrope Édouard né le 22 septembre 1897 - La Touche, Drôme, Auvergne-Rhône-Alpes, France, tué au combat de la Tranchée de la Courtine de Tirbach. le 19 juin 1917 - Craonne, Aisne, Hauts-de-France, France, à l'âge de 19 ans. Soldat au 25e régiment de dragons.
de DIESBACH de BELLEROCHE Eugène Ernest Ghislain, né le 7 février 1894 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat sur la côte 306 le 10 juillet 1916 à Saint-Hilaire-le-Grand, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 22 ans. Lieutenant au 90°d'infanterie.
de FAESTRAETS Ludovic Charles Marie Ghislain né le 27 juin 1878 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, décédé de ses blessures le 28 octobre 1918 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 40 ans. Capitaine-commandant de cavalerie au 1°Guides.
de FAVEREAU de JENERET Jacques René Marie Marie Jean Paul, Baron de Favereau de Jeneret, né le 2 avril 1924 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique et assassine par les nazis le 12 décembre 1944 Au KZ Versen, Meppen, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 20 ans. Membre de l'Armée secrète.
de FIERLANT DORMER Adrien "Charles" Maurice Joseph Ghislain, né le 31 janvier 1882 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique mort au combat le 22 février 1915 à Noordschoote, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 33 ans. Lieutenant aux 2°Guides.
de GÉRADON Georges Marie Gustave Joseph, écuyer, né le 8 mai 1897 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat dans la nuit du 17 au 18 mars 1918 à Pervijze, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l'âge de 20 ans. Soldat de 2°classe au 1°Artillerie lourde, 1°Groupe, 3°Batterie.
de GÉRADON Jean-Baptiste Victor Alexis Marie, Écuyer , né le 28 avril 1897 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 20 janvier 1918 à Pervijze, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Brigadier au 2°régiment d'artillerie lourde,
DEGOVE Étienne Marie, né le 20 mai 1882 à Doullens, Somme, Hauts-de-France, France, tué aux combats de l'Argonne le 30 juin 1915 à Bagatelle, Argonne, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 33 ans. Lieutenant au 8ème Bataillon de Chasseurs à Pied.
de GÜNZBURG Georges "Alexis", né le 6 mai 1887 - Paris XVI°, Paris, Île-de-France, France, tué au combat le 6 novembre 1914 - Zillebeke, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 27 ans. Sous-lieutenant des Royal Horse Guards.
de HALLEUX Emmanuel Émile François Ignace Joseph, né le 12 août 1891 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 12 janvier 1941 à Uccle, Bruxelles capitale, Belgique, à l'âge de 49 ans. Juge au tribunal de première instance de Liège.
de HALLEUX Alexandre, né le 31 mars 1882 - Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique blessé à mort au combat à Orsmaal et décédé en août 1914 - Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, à l'âge de 32 ans. Lieutenant au 3°Lanciers.
de HALLEUX Xavier né le 25 août 1897 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique tué au combat le 21 mars 1918 - Pervijze, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Volontaire de guerre, signaleur du 8° régiment d’artillerie.
de HALLOY Paul Louis , né le 5 juillet 1873 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué le 23 octobre 1914 à Saint-Georges, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France , à l'âge de 41 ans. Conseiller Provincial. Lieutenant au 14°de Ligne.
de HEMPTINNE Baudouin, né le 9 novembre 1909 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique et tué en combat aérien, en plein ciel le 5 mai 1942 à Dranouter, Heuvelland, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 32 ans. Officier de carrière.
de HEMPTINNE Édouard, né le 10 mai 1893 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 14 septembre 1914 à Beigem, Grimbergen, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 21 ans. Soldat de seconde classe au 1° de Ligne, 1/3.
de HEMPTINNE Étienne Bernard Marie Joseph , né le 27 décembre 1884 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, mort de ses blessures le 25 mai 1940 à Berck, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France, à l'âge de 55 ans. Capitaine-Commandant des Chasseurs ardennais.
de HEMPTINNE Hervé, né le 14 mars 1908 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 6 décembre 1944 aau KZ Ladelung, Schleswig-Holstein, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 36 ans.
de HEMPTINNE Hubert, né le 16 janvier 1904 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les SS en mai 1945 au KZ Oranienburg-Sachsenhausen, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l'âge de 41 ans.
de HEMPTINNE Ivan Marie Joseph Etienne Ghislain, né le 10 septembre 1909 à Namur, Namur, Belgique, assassiné par les SS le 4 novembre 1944 au KZ Neuengamme, Hamburg, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 35 ans. Chef de section de l'A.S.
de HEMPTINNE Raoul Marc Ghislain Marie Ferdinand, né le 29 mai 1884 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les SS au KZ-Flossenbürg le 1er mars 1945 à Flossenbürg, Bayern, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 60 ans, bourgmestre de Zevergem.
de HEMRICOURT de GRUNNE Eugène , né le 23 décembre 1883 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 26 mai 1940 à Adegem, Maldegem, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 56 ans.
de HEMRICOURT de GRUNNE Ferdinand, né le 11 septembre 1881 à Bauffe, Lens, Hainaut, Belgique décédé le 5 octobre 1915 à Dungu, Orientale, Congo-Kinshasa/République démocratique du Congo , à l'âge de 34 ans. Officier de carrière, Lieutenant au 1° Guides.
de HEMRICOURT de GRUNNE Rodolphe, né le 18 novembre 1911 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique tombé en combat aérien le 21 juin 1941 en Mer du Nord, à l'âge de 29 ans. Sous-lieutenant aviateur de la R.A.F.
de HEMRICOURT de GRUNNE Xavier, né e 11 juin 1894 à Rixensart, Brabant wallon, Belgique, assassiné par les nazis le 4 juillet 1944 au KZ Strzelce Opolskie, Województwo opolskie, Rzeczpospolita Polsk , à l'âge de 50 ans , Sénateur, bougmestre de Wezembeek-Oppem (1920-1926). Fondateur du mouvement de résistance "La Phalange", puis passé à l'"Armée secrète". Major au 2° Régiment de Chasseurs ardennais.
de HEPCÉE Charles Henry Marie Joseph, alias: Charley HALLOY, né le 14 mars 1911 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé par les boches de la Division "Das Reich" le 27 juin 1944 dans Bois de la Reulle, de Castelmaurou, Haute-Garonne, Midi-Pyrénées, France , à l’âge de 33 ans. Inhumé le 24 juillet 2012 dans le caveau de famille, Halloy, Braibant, Ciney, Namur, Belgique. Major aviateur et ARA, résistant.
de HEPCÉE Michel Albert René Louis Marie, né le 2 octobre 1916 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique, abattu en combat aérien au dessus de la Hollande en le 13 novembre 1943, à l’âge de 27 ans. Aviateur.
de JAMBLINNE de MEUX Herman, né le 21 octobre 1922 à Uccle, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné par les boches le 1er avril 1944 au KZ Esterwegen, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 21 ans. Réseau Comète.
DE JONGH Fréderic Émile , Alias dans le réseau: " Paul , Kiki , De Ridder ", né le 13 décembre 1897 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé le 29 mars 1944 à la Forteresse du Mont-Valérien, Suresnes, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France , à l’âge de 46 ans. Directeur de l'école primaire de la rue Gaucheret. Membre du réseau "Comète". Major ARA le 15 janvier 1943, il est aussi lieutenant-colonel FFC pour la France.
de KERCHOVE d'EXAERDE Christian-Charles Florent Marie Ghislain, né le 5 avril 1895 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé à l'ennemi dans la nuit du 23 au le 24 août 1917 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l'âge de 22 ans. Lieutenant au 5°de Ligne.
de KERCHOVE de DENTERGHEM Guy, né le 7 octobre 1917 à Paris XIV°, Paris, Île-de-France, France, tué en service aérien commandé le 18 janvier 1945 à Borgo, Haute-Corse, Corse, France , à l’âge de 27 ans. Sergent chef radio.
de KERCHOVE de DENTERGHEM Roger Christian Jean François Joseph Marie Ghislain né le 6 septembre 1882 à Spa, Liège, Belgique décédé le 11 décembre 1918 à l'hôpital de Brugge, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 36 ans, des suites des gaz de combat. Capitaine en second du 1°Lancier, 3°escadron.
de KERCHOVE d'OUSSELGHEM Renaud Eugène Marie Joseph Ghislain Colette, né le 14 juillet 1922 à Kapellen, Antwerpen, Belgique, tué par l'explosion d'une mine le 13 août 1945 à Losheim, Nordrhein-Westfalen, Allemagne, à l'âge de 23 ans. Volontaire 1940/1945 au 21°Bataillon de Fusiliers - 3°Compagnie.
DE KINDER François, né le 13 novembre 1897 - Antwerpen, Antwerpen, Belgique, fusillé sans jugement 30 août 1944 - Verdun, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 46 ans. Avocat. Ancien de 1914/1918, Major ARA.
de la KETHULLE de RYHOVE Arnold Marie Apollonie Robert Ghislain, né le 27 décembre 1887 à Sint-Michiels, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué à l'assaut du bois de Papegoed, le 11 septembre 1918 à Bikschote, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 30 ans. Sous-lieutenant au 24° de Ligne.
de la KETHULLE de RYHOVE Amaury Werner Armand Marie Gillain, né le 8 août 1895 à Beveren-Waas, Oost-Vlaanderen, Belgique, mort de ses blessures le 17 avril 1916 à l'ambulance "Elisabeth" à Calais, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 20 ans. Soldat au 2°Guide.
DE LANÈTE DAVID DE FLORIS Anne Marie Joseph "Paul", né le 7 octobre 1872 à Sainte Rose, La Réunion, France, mort à l'ambulance 4/11, des suites de blessures de guerre le 16 mai 1918 à Beauvoir, Oise, Hauts-de-France, France , à l’âge de 45 ans. Capitaine Adjudant-Major du 43ème RI.
DE LANÈTE DAVID DE FLORIS Marie Joseph "Jean" , né le 3 janvier 1884 à Suédan, Sumatra, Indonésie / Republik Indonesia, Né le 3 janvier 1884 - Suédan, Sumatra, Indonésie / Republik Indonesia, tué à l'ennemi le 6 septembre 1914 à Lobbes, Hainaut, Belgique , à l’âge de 30 ans. Lieutenant au 144°d'Infanterie.
DELBEKE Raymond Marie Auguste, né le 23 mars 1894 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au combat de la Maison du Passeur, le 28 février 1915 à Noordschote, Lo-Reninge, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Soldat de 2°classe au 5°Lanciers, 1°groupe, 1°escadron.
de LASTEYRIE du SAILLANT Gaspard Louis Guy né le 10 novembre 1868 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué au combat le 25 septembre 1915 à Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 46 ans. Chef de bataillon du 146ème RI.
DELCOURT Jean Marie Léon né le 1er février 1919 à Quimper, Finistère, Bretagne, France; mort au combat le 10 juin 1940 - Heudreville-sur-Eure, Eure, Normandie, France, à l'âge de 21 ans. Brigadier au 4° Hussard
DELCOURT Ignace, né le 31 juillet 1899 à Lille, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué pendant le bombardement le 7 juin 1940 à Beauvais, Oise, Picardie, France , à l'âge de 40 ans. Prêtre SJ, aumonier militaire.
DELCOURT Marc, né le 31 août 1874 à Valenciennes, Nord, France, tué au combat le 5 mars 1916 à Verdun, Meuse, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 41 ans, Officier de carrière, capitaine au 127°régiment d'Infanterie.
de L'ESCAILLE Jean Paul Léon Joseph, Baron de L'Escaille, né le 25 décembre 1900 à Rouen, Seine-Maritime, Haute-Normandie, France, mort de ses blessures le 3 juin 1940 , à Proven, Poperinge, West-Vlaanderen, Belgique à l’âge de 39 ans. Capitaine-Commandant le 13°escadron anti-chars.
de L'ESCAILLE Maurice Louis Hippolyte, Baron de L'Escaille, né le 14 février 1864 à Châlons-sur-Marne, Châlons-en-Champagne, Marne, Champagne-Ardenne, France, Mort de ses blessures à l'ambulance le 27 janvier 1917 à Les Monthairons, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 52 ans. Commandant, chef d'escadron au 129°d'Infanterie.
de LESSEPS Robert Georges Marie, né le 23 mai 1882 - Paris VIII°, Paris, Île-de-France, France mort de ses blessures reçues au combat le 4 septembre 1916 - Cerisy-Gailly, Somme, Hauts-de-France, France, à l'âge de 34 ans. Lieutenant (de réserve) au 27ème Régiment de Dragons, détaché au 7ème groupe mixte auto-mitrailleuses (auto-camions).
de L'ESTOURBEILLON Henry Marie Joseph né le 2 janvier 1904 à Porcaro, Morbihan, Bretagne, France mort au combat le 28 mai 1940 à Seclin, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 36 ans. Capitaine au 106°d'infanterie.
del FOSSE et d'ESPIERRES Henri, né le 23 février 1896 à Maulde, Tournai, Hainaut, Belgique, assassiné par les nazis le 28 février 1945 au KZ Flossenbürg, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 49 ans. Prisonnier politique.
de LE HOYE Émile Victor Ghislain né le 14 mai 1896 à Overijse, Vlaams-Brabant, Belgique, assassiné le 22 mars 1944 au KZ Dora-Mauthausen, Oberösterreich, Autriche / Österreich , à l’âge de 47 ans. Lieutenant A.R.A.
de LICHTERVELDE, Jean Alfred Ghislain Marie Joseph (John), né le 23 février 1894 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, déporté et fusillé le 31 janvier 1945 au KZ Sonnenburg, Slonsk, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l'âge de 50 ans. Résistant.
de LICHTERVELDE Gaston, né le 9 mars 1921 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, déporté et fusillé le 31 janvier 1945 au KZ Sonnenburg, Słońsk, Województwo lubuskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l’âge de 23 ans. Résistant.
de LICHTERVELDE Georges, né le 2 mai 1922 à Ittre, Brabant wallon, Belgique, déporté et fusillé le 31 janvier 1945 au KZ Sonnenburg, Słońsk, Województwo lubuskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l’âge de 22 ans. Résistant.
de LIEDEKERKE Jean-François de Paule né le 10 octobre 1897 à Bruxelles, Bruxelles capitale, BelgiqueTué au combat à Mikulince (Galicie) le 22 juillet 1917 (Mykulyntsi / Микулинці, Ternopil Oblast / Тернопільська область, Ukraine / Ukraïna-Україна) , à l’âge de 19 ans. Volontaire de guerre, soldat aux autos-canons mitrailleurs belges.
de LIEDEKERKE BEAUFORT Aymar, né le 21 octobre 1888 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué au combat le 29 février 1916 à Verdun, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 27 ans. Au 4e bataillon de chasseurs à pied.
de LIEDEKERKE de PAILHE Rasse Baudouin Jean Joseph Marie Ghislain, comte, né le 19 février 1901 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné le 7 avril 1945 dans les transports entre les KZ Dora-Mittelbau et Bergen-Belsen (Allemagne) , à l'âge de 44 ans.
de LIEDEKERKE de PAILHE Jacques Henri Ghislain Marie, alias: James, comte, né le 1er mai 1922 - Uccle, Bruxelles capitale, Belgique, tué le 3 septembre 1944 - Alle-sur-Semois, Vresse-sur-Semois, Namur, Belgique , à l’âge de 22 ans.
de LIEDEKERKE de PAILHE Rasse "Raphaël" Emile Marie Joseph Ghislain, comlte, né le 15 avril 1903 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé aux environs d'Utrecht aux Pays-Bas le 3 octobre 1943 à Utrecht, Utrecht, Nederland , à l'âge de 40 ans.
de LIEDEKERKE de PAILHE Guillaume Emile Louis Rasse Marie Ghislain comte, né le 24 janvier 1900 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, disparu pendant l'évacuation du KZ Dora-Mittelbau (Allemagne) en 1944, à l'âge de 44 ans.
de LIGNE Baudouin Henri Lamoral, Prince de Ligne, né le 28 janvier 1896 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mort des blessures reçues au combat le 8 septembre 1914 à Herentals, Antwerpen, Belgique , à l’âge de 18 ans. Sergent au 1°Guides.
de LIGNE Georges Alexandre Lamoral, Prince de Ligne, né le 10 décembre 1879 à Neuville-sous-Huy, Tihange, Huy, Liège, Belgique, tué le 18 août 1914 à Sint-Joris-Winge, Tielt-Winge, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 34 ans.Soldat de 2° classe T.A./C.A. 2 D.A.
della FAILLE de LEVERGHEM Arnould né le 27 septembre 1917 à Brandon, Saône-et-Loire, Bourgogne, France mort au combat le 13 octobre 1944 à Dar-Es-Salaam- دار السلام, Tanganyika, Tanzanie , à l’âge de 27 ans.
della FAILLE de LEVERGHEM André Gaston Joseph , né le 5 août 1887 à Brasschaat, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 23 octobre 1918 à Hansbeke, Nevele, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l'âge de 31 ans. Lieutenant au 20°de Ligne, 4/2.
della FAILLE de LEVERGHEM Henry Alphonse Alexandre Marie Joseph, écuyer, né le 21 juillet 1882 à Deurne, Antwerpen, Antwerpen, Belgique, mort de suite de ses blessures le 16 février 1919 à Deurne, Antwerpen, Antwerpen, Belgique , à l'âge de 36 ans.
della FAILLE d'HUYSSE Baudouin, baron, né en 1914, assassiné par les boches le 6 avril 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 31 ans. Membre du réseau "Les Amis de Charles".
della FAILLE d'HUYSSE François Julien Joseph Hubert Gaetan GhislainNé en 1895 à Huysse, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé au combat à De Panne, West-Vlaanderen, Belgique le 10 mai 1916 à l’âge de 21 ans. Inhumé le 1er juin 1921 - Gemeentelijke begraafplaats, Huysse, Oost-Vlaanderen, Belgique. Soldat 2°classe, engagé volontaire, 10°Ligne / 4 Cie mitrailleurs.
della FAILLE d'HUYSSE Xavier François Marie Joseph Ghislain, baron della Faille d'Huysse, né le 17 avril 1902 à Assebroek, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique et assassiné par les nazis le 3 mai 1945 à Sandbostel, Niedersachsen, Bundesrepublik Deutschland , à l'âge de 43 ans.
della FAILLE d'HUYSSE Marie-Madeleine,née en 1893, assassinée en février 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 52 ans. Membre du réseau "Tempo".
DELLOYE Georges Emile Armand, né le 29 novembre 1887 à Huy, Liège, Belgique, tué au combat au cours d'une attaque de nuit le 18 septembre 1918 à Boezinge, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 30 ans. Inhumé le 23 juin 1921 - Cimetière militaire, Veltem-Beisem, Herent, Vlaams-Brabant, Belgique. Sous-lieutenant au 7 Artillerie / 1 Groupe / 8 Bie.
del MARMOL Baudouin Antoine André, né le 6 janvier 1892 à Pepinster, Liège, Belgique, tombé au champ d'honneur à Sempst le 10 septembre 1914 à Zemst, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 22 ans. Engagé volontaire au 2° Lanciers.
del MARMOL René Joseph Marie Gérard Ghislain, né le 7 décembre 1911 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mort le 3 juillet 1941 à Caerphilly, Glamorgan, Wales, United Kingdom, à l'âge de 29 ans. Volontaire de guerre 1940-1945 - RAF.
de LONEUX Albert Georges Alphonse Antoine Joseph, né le 9 juillet 1891 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 6 août 1914 , à l’âge de 23 ans. Soldat de 2° classe au 14° de Ligne.
DELVAUX Joseph Martin, né le 26 mai 1878 à Dion-le-Val, Dion-Valmont, Chaumont-Gistoux, Brabant wallon, Belgique, tué au combat le 3 mai 1916. Capitaine en second au 8°de Ligne, bataillon 4, 1°Cie..
de MAROTTE de MONTIGNY Isabelle Ghislaine Marie Louise dite Louisa, née le 9 mars 1878 à Sint-Truiden, Limburg, Belgique, assassinée gazée par les nazis en mars 1945 - KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 67 ans. Membre des groupes de résistance Comète et Clarence.
de MAHIEU Louis de Gonzague Marie Joseph Antoine François, né le 19 janvier 1898 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 31 août 1918 à Wieltje-Saint-Jean, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 20 ans, officier, sous-lieutenant au 2°Grenadiers 1°Bon, 3°Cie.
de MANDAT-GRANCEY Eugène Antonin, vicomte de Mandat Grancey, né le 28 mars 1831, tué au combat le 2 décembre 1870 à Champigny-sur-Marne, Île-de-France, France, à l'âge de 39 ans, Officier de carrière, Lieutenant-colonel.
de MANDAT-GRANCEY Jean Charles Marie Galliot Chrétien Antoine, né le 21 avril 1896 à Paris, Paris, Île-de-France, France, mort dans l'ambulance 10/1 de ses blessures au combat le 4 décembre 1916 à Cappy, Somme, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France , à l’âge de 20 ans. Brigadier au 81° d'artillerie lourde.
de MANDAT-GRANCEY Martial Georges Louis Marie , né le 7 avril 1895 à Paris VIII°, Paris, Île-de-France, France, tué à l'ennemi le 6 septembre 1918 à Fismes, Marne, Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, France , à l’âge de 23 ans. Sous-lieutenant au 39° d'artillerie.
de MARMIER Alexandre Léonel Pierre dit Lionel, né le 4 décembre 1897 à Bellegarde-en-Marche, Creuse, Limousin, France, disparu en mer Méditerranée le 30 décembre 1944 à l’âge de 47 ans. Pilote de chasse, de l'aéropostale, d'essai, général de brigade aérienne.
de MARMIER François Reynald Étienne, Marquis de Marmier, né le 17 juillet 1866 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué au combat le 25 août 1914 à Rozelieures, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France , à l’âge de 48 ans. Capitaine au 210° régiment d'infanterie.
de MARMIER Paul "René", né le 5 septembre 1893 à Belfort, Territoire de Belfort, Franche-Comté, France, mort en mission le 20 novembre 1916 - Morlancourt, Somme, Picardie, France , à l’âge de 23 ans. Adjudant pilote au 3e groupe de chasse, escadrille Esc F 205.
de MEESTER de BETZENBROECK André Eugène Marie, né le 17 septembre 1873 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mort de ses blessures à Folkestone, Kent, South East, England, United Kingdom, à l'âge de 45 ans. Volontaire de guerre, adjudant T.A.S.I.
de MEESTER de HEYNDONCK Pierrené le 13 septembre 1904 à Rumst, Antwerpen, Belgique mort en captivité le 20 février 1941 au Stalag IA, Stablack, Kaliningradskaïa oblast-Калинингра́дская о́бласть, Russie / Российская Федерация , à l’âge de 36 ans.
de MEEÛS Francis Ferdinand Marie Eugène, comte, né le 4 juin 1867 à Ohain, Lasne, Brabant wallon, Belgique, tué au combat le 19 octobre 1918 à Maldegem, Oost-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 51 ans. Officier de carrière, capitaine-commandant, adjudant-major du 1°Guides, 4°escadron. "Mon Major, je me permets de revendiquer l’insigne honneur de charger à vos côtés."
de MEEÛS Jacques Stanislas Joseph Ghislain, Comte, né le 15 juin 1893 à Lillois-Witterzée, Braine-l'Alleud, Brabant wallon, Belgique, tombé en combat aérien le 15 juillet 1917 à Vladslo, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Sous-Lieutenant aviateur, engagé volontaire.
de MELOTTE de LAVAUX Paul Auguste Marie Octave, chevalier, né le 21 avril 1896 à Liège, Liège, Belgiqueabattu en combat le 11 mars 1918 à Calais, Pas de Calais, Nord-Pas-de-Calais, France, à l'âge de 21 ans.Engagé volontaire, lieutenant d'aviation.
de MENTEN de HORNE Camille Frédéric Jean Wenceslas, baron de Menten de Horne, né le 14 août 1870 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 5 août 1914 à Plainevaux, Neupré, Liège, Belgique, à l'âge de 43 ans, Capitaine-commandant au 2°Lanciers, 4°escadron.
de MENTEN de HORNE Éric, né le 14 novembre 1914 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé par les SS. le 20 octobre 1943 au Tir national, Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 28 ans, résistant armé.
de MENTEN de HORNE Georges, né le 5 mai 1913 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué en combat en plein ciel le 2 janvier 1944 au-dessus de l'Allemagne, à l’âge de 30 ans. Lieutenant navigateur à la R.A.F. Officier de carrière.
de MONTPELLIER d'ANNEVOIE Jean Gustave Anne Marie Joseph Ghislain, né le 23 janvier 1897 à Arbre, Profondeville, Namur, Belgique, mort des suite de ces blessures à l'hopital militaire le 27 juin 1918 à Hoogstade, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans. Brigadier au 1er régiment d'artillerie.
de MOREAU d'ANDOY Guillaume Fernand Gabriel Marie Ignace Ghislain, né le 28 février 1901 à Namur, Namur, Belgique, tombé au champ d'honneur le 25 mai 1940 à Meulebeke, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 39 ansPrêtre, curé de Ciergnon, aumônier militaire au 13° de Ligne, 3°bataillon.
de MOREAU d'ANDOY Jean Ghislain Paul, chevalier, né le 29 mars 1906 à Namur, Namur, Belgique etdécédé de la tuberculose car laissé sans soins par les nazis le 3 décembre 1944 au KZ Dora-Mittelbau, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 38 ans. Bourgmestre de Wierde. Membre du réseau Clarence.
de NÈVE de RODEN Marcel Ernest Marie, né le 15 juillet 1886 à Eine, Oudenaarde, Oost-Vlaanderen, Belgique, mort en captivité le 3 juillet 1940 au camp de prisonniers de Weilburg-an-der-Lahn, Hessen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 53 ans.
DENOZ Joseph Arnold, né le 6 novembre 1905 à Grand-Rechain, Herve, Liège, Belgique, fusillé à la Citadelle de Liège comme partisan armé de l'armée secrète le 28 octobre 1943 à Liège, Liège, Belgique , à l’âge de 37 ans. Garde-chasse. Résistant membre du Front de l'Indépendance (FI; commandant de brigade) et de l'Armée secrète (AS ZV S3).
de PECHPEYROU COMMINGES de GUITAUT Armand Marie Athanase "Pierre" , né le 2 juillet 1894 à Meudon-la-Forêt, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France, tué au combat le 28 mai 1940 à Narvik, Nordland, Norvège / Norge , à l’âge de 45 ans. Vétéran de 1914-1918, capitaine d'infanterie 2ième Etranger.
de PIERPONT Ulric Anne Joseph Marie Ghislain, né le 17 juin 1877 au château de Herk-la-Ville, Herk-de-Stad, Limburg, Belgique, décédé le 23 juillet 1916 à l'Hôpital des petites soeurs des pauvres, Calais, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France , à l'âge de 39 ans, Capitaine commandant au 3°Lanciers E/M.
de PLAN de SIEYÈS de VEYNES Joseph Marie Amédée, né le 5 décembre 1888 à Valence, Drôme, Rhône-Alpes, France, tué à l'ennemi, durant la bataille de la Somme le 13 octobre 1916 à Belloy-en-Santerre, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 27 ans. Officier de carrière. Capitaine au 42°d'Infanterie coloniale.
de PRELLE de la NIEPPE Adrien Alfred Jules Bernard Joseph Marie Ghislain, Écuyer, né le 16 mars 1893 à Nivelles, Brabant wallon, Belgique, tué au combat le 18 août 1914 à Budingen, Zoutleeuw, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 21 ans. Maréchal des logis au 2ème Régiment de Guides.
de PRET ROOSE de CALESBERG Gaston, né le 15 décembre 1894 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué dans un bombardement le 18 janvier 1918 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 23 ans. Sous-lieutenant auxiliaire au 1°Lanciers.
de QUIRINI Paul né le 15 avril 1915 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique. Décédé le 30 mai 1940 à Willemstad, Noord-Brabant, Nederland , à l’âge de 25 ans. Moine OSB, , brancardier.
de RADIGUÈS de CHENNEVIÈRE Charles Marie Jean , né le 4 novembre 1922 à Annevoie, Annevoie-Rouillon, Anhée, Namur, Belgique assassiné le 22 octobre 1944 au KZ Güsen, Mauthausen, Autriche / Österreich, à l’âge de 21 ans, membre du réseau Clarence.
de RADZITZKY d'OSTROWICK Henri, né en 1919, tué en action le 1er octobre 1944 à Sandfort, Limburg, Nederland , à l'âge de 25 ans. Volontaire à la Brigade Piron, Pvt, 4897, 1st Motorized Unit.
DERASSE Louis Désiré Lucien, né le 19 août 1910 à Anserœul, Mont-de-l'Enclus, Hainaut, Belgique, assassiné par les nazis en avril 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne, à l'âge de 34 ans. Agent commercial, adjudant ARA (Armée secrète, Renseignements et Action).
de RAUGLAUDRE Jacques Joseph François, né le 24 juin 1895 à Valenciennes, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué au combat le 19 juillet 1917 à Craonne, Aisne, Picardie, France , à l’âge de 22 ans. Novice bénédictin. Caporal au 32° d'Infanterie.
de ROEST d'ALKEMADE, Jean, né le 7 mars 1894 à Mozet, Gesves, Namur, Belgique, tué au combat le 28 septembre 1918 dans la forêt d'Houthulst, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Sous-lieutenant pilote à la 7°escadrille.
DERSCHEID Jean-Marie Eugène Léon Charles né le 19 mai 1901 à Sterrebeek, Zaventem, Vlaams-Brabant, Belgique exécuté le 13 mars 1944 à Potsdam, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 42 ans. Professeur d'Université. Lieutenant ARA.
de RYCKMAN de BETZ Gaston Berthold Eugène Marie Ghislain né le 18 septembre 1873 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, tué à l'ennemi dans le secteur de Bertonval le 9 mai 1915 - Mont-Saint-Éloi, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France , à l’âge de 41 ans
de SADELEER Étienne Jacques Émile , né le 28 avril 1889 à Saint-Josse-ten-Noode, Bruxelles capitale, Belgique et tué au combat le 26 mars 1918 durant la bataille de la Somme, Amiens, Somme, Picardie, France , à l’âge de 28 ans. Volontaire de guerre, Sergent-interprète.
de SAEDELEER Emmanuel, né le 5 avril 1889 à Aalst, Oost-Vlaanderen, Belgique, décédé de pneumonie le 24 février 1918 à l'infirmerie "Prince Charles", C.I.A.X. à Sint-Rijkers, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique et inhumé à La Panne, West-Vlaanderen, Belgique à l’âge de 28 ans. Cordonnier. Soldat de 2°classe au 2°Guides.
DE SAEDELEER Victor Benedikt Albrecht né vers 1896, tué au combat le 5 octobre 1914 à Aalst, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de peut-être 18 ans. Engagé volontaire, Caporal au 9°de Ligne 10°Cie.
de SAINT-EXUPÉRY Antoine Jean-Baptiste Marie Roger né le 29 juin 1900 à Lyon, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, France, abattu en combat aérien le 31 juillet 1944 - en mer , à l’âge de 44 ans. Pilote et auteur du "Petit prince".
de SÉLYS LONGCHAMPS Jean Michel Paul Marie Ghislain baron de Selys Longchamps, né le 31 mai 1912 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, décédé le 16 août 1943 à Manston, Kent, South East, England, United Kingdom , à l'âge de 31 ans, inhumé dans le Minster Cemetery à Manston, Kent, South East, England, United Kingdom. Flight Lieutenant, pilot, Royal Air Force.
DESSAIN Éric, né le 17 avril 1895 à Mechelen, Antwerpen, Belgique, assassiné le 18 octobre 1944 - KZ Dora-Harzungen, Nordhausen, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 49 ans. Commandant de la province d'Anvers de l'Armée secrète.
de STREEL Jean Alfred Marie Joseph né le 10 novembre 1894 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au champ d'honneur le 28 mai 1917 à Dury, Somme, Hauts-de-France, France, à l'âge de 22 ans.
de STEENHAULT de WAERBEECK Albert, né le 3 août 1915 à Vollezeele, Galmaarden, Vlaams-Brabant, Belgique.Tombé en mission aérienne 16 septembre 1944 à Annapolis, Mary land, Canada , à l’âge de 29 ans.
DESURMONT Jacques Alfred Josephné le 7 juillet 1891 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, décédé le 27 mai 1916 à Moreuil, Somme, Picardie, France , à l'âge de 24 ans. Sergent pilote.
DESURMONT Paul Marie Joseph Émile, né le 11 mars 1893 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi à l'attaque du « Fortin de Beauséjour » le 17 février 1915 à Beauséjour, Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 21 ans. Sergent au 43°d'infanterie.
de THEUX de MEYLANDT et MONTJARDIN Henri Fernand Ghislain, Chevalier, né le 12 mars 1895 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique tombé au combat le 24 octobre 1914 à Schoorbakke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 19 ans. Soldat de 2°classe, matricule 279/2470, Service de Santé.
de THEUX de MEYLANDT et MONTJARDIN Robert, Chevalier, né le 8 août 1909 à Aywaille, Liège, Belgique. Assassiné par las nazis le 2 mars 1945 au KZ Dora-Mittelbau, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 35 ans. Ingénieur civil des mines.
de THEUX de MEYLANDT et MONTJARDIN Antoine Guy Charles Marie Joseph Ghislain Chevalier de Theux de Meylandt et Montjardin et du Saint Empire, né le 5 janvier 1923 à Fronville, Hotton, Luxembourg, Belgique, tué en service le 8 juin 1945 à Gronau, Nordrhein-Westfalen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 22 ans. Membre du réseau "Armée secrète". Puis engagé volontaire.
de THEUX de MEYLANDT et MONTJARDIN Xavier-Charles Marie Gérard Léon Eugène, né le 4 juillet 1910 - Chênée, Liège, Liège, Belgique, tué au combat le 10 mai 1940 au Fort d'Eben-Emael, Liège, Belgique, à l'âge de 29 ans.
de THIBAULT de BOESINGHE Jeanné le 10 février 1917 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique, décédé le 25 juillet 1940 à Bedburg-Hau, Nordrhein-Westfalen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 23 ans. Officier de carrière. Capitaine aviateur.
de THOMAZ de BOSSIERRE Gaston Leo Louis Joseph Ghislain, né le 28 novembre 1876 à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique tué à l'ennemi le 23 octobre 1914 à Stuivekenskerke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l'âge de 37 ans. Volontaire de guerre, soldat de 2°classe au 2°carabiniers 1/4.
de THYSEBAERT Eugène Xavier Marie Joseph Ghislain , Baron de Thysebaert, né le 14 mai 1885 à Jambes, Namur, Namur, Belgique, mort en captivité le 5 juillet 1918 à Stuttgart, Baden-Württemberg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 33 ans. Volontaire de guerre. Soldat de 2° classe - régiment d'Artillerie, position fortifiée de Namur.
DEVAUX Pierre Paul Alexandre Joseph, né le 9 décembre 1887 à Saint-Amand-les-Eaux, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 8 juillet 1916 à Hardecourt-aux-Bois, Somme, à l'âge de 28 ans. Sous-lieutenant au 156° d'infanterie.
de VAULX de CHAMPION Marianna Caroline Emma , née le 2 avril 1879 à Bouillon, Luxembourg, Belgiqueassassinée par les nazis le 14 janvier 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 65 ans, membre du réseau Clarence.
DEWANDRE Germaine, née le 8 juin 1881 à Charleroi, Hainaut, Belgique, assassinée, brulée vive par les rexistes le 18 août 1944 au Château de Mont-sur-Marchienne, Mont-sur-Marchienne, Charleroi, Hainaut, Belgique , à l’âge de 63 ans. Infirmière.
de WASSEIGE Armand Joseph Laurent Ghislain, né le 2 août 1884 à Wépion-Vierly, Namur, Namur Belgique, assassiné par les nazis le 2 janvier 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide ,Niedersachsen, Allemagne, à l'âge de 60 ans, bourgmestre, membre de l'armée secrète, prisonnier politique.
de WASSEIGE Eugène Maximilien Laurent Joseph Ghislain, né le 16 juin 1906 à Namur, Namur, Belgique assassiné par les nazis le 24 août 1943 au KZ Neuengamme, Hamburg-Neuengamme, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 37 ans. Juge au tribunal de première instance de Namur.
DEWÉ Marie-"Madeleine" née peut-être en 1915, assassinée le 17 janvier 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland, à l’âge de peut-être 31 ans, membre du réseau Clarence.
DEWÉ Walthère , né le 16 juillet 1880 à Liège, Liège, Belgique, abattu en rue par un officier allemand, le 11 janvier 1944 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 63 ans. Fondateur des réseaux de renseignements clandestins au cours des deux guerres mondiales : La Dame blanche en 1916 et le réseau Clarence en 1940.
de WILDE d'ESTMAEL André Jean Auguste Marie Joseph, né le 1er mai 1889 à Barbençon, Beaumont, Hainaut, Belgique, tué par des éclats d'obus le 14 février 1916 à Eggewaartskapelle, Veurne, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 26 ans. Sous-lieutenant au 14°de Ligne, 3°compagnie.
de WOOT de TRIXHE, Fernand Charles Marie Joseph Ghislain, Baron, né le 19 octobre 1886 à Presseux, Sprimont, Liège, Belgique, tué au combat le 29 mai 1917 à Adinkerke, De Panne, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 30 ans. Inhumé le 1er juin 1917 au Cimetière militaire, Adinkerke, De Panne, West-Vlaanderen, Belgique. Docteur en droit, engagé volontaire, Premier sergent-pilote.
de WITTE Jacques Raymond Édouard François Marie, né le 20 avril 1891 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué à l'ennemi le 5 octobre 1915 à Saint-Hilaire-le-Grand, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 24 ans. Sous-lieutenant au 117°d'infanterie.
de WOUTERS de BOUCHOUT Paul Marie Werner François, chevalier , né le 7 mai 1894 à Roosbeek, Boutersem, Vlaams-Brabant, Belgique, tué au combat le 4 octobre 1918 à Stadenberg, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 24 ans. Capitaine en second au 7°d'Artillerie, 3°groupe, 5°batterie.
de WOUTERS d'OPLINTER Guy Emile, né le 20 septembre 1893 à Watermael-Boitsfort, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 23 août 1914 à Boninne, Namur, Namur, Belgique, à l'âge de 20 ans. Volontaire de la compagnie universitaire.
d'HALLUIN André Benoît Édouard Marie Joseph, né le 19 octobre 1891 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, assassiné par les nazis le 26 février 1945 au KZ Dachau, Oberbayern, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 53 ans.
d'HALLUIN Édouard Léon Joseph né le 28 février 1889 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, mort au champ d'honneur le 23 février 1916 - Mont-Saint-Eloi, Nord, Hauts-de-France, France , à l’âge de 26 ans. Capitaine au 300°d'infanterie..
d'HALLUIN Jacques Jean Joseph, né le 14 novembre 1890 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi au Bois d'Ailly le 2 mai 1915 à Saint-Mihiel, Meuse, Grand Est, France , à l’âge de 24 ans. Sous-lieutenant au 33°d'infanterie.
d'HARCOURT Robert Louis Marie "Guillaume" , né le 19 janvier 1888 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué à l'ennemi au combat pour Berry Au Bac, Juvincourt , le 16 avril 1917 à Berry-au-Bac, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 29 ans. Lieutenant au 81e régiment d'artillerie lourde.
d'HESPEL Edmond Ferdinand Marie Joseph,Comte, né le 15 mai 1892 au Château de la Tombe, Kain, Tournai, Hainaut, Belgique mort de ses blessures le 1er novembre 1914 à Folkestone, Kent, South East, England, United Kingdom , à l’âge de 22 ans. Sous-lieutenant au 3°Chasseurs à pied.
d'HESPEL Paul Marie Ludovic, né le 12 janvier 1897 à Saint-Josse-ten-Noode, Bruxelles capitale, Belgique, tombé sous les balles ennemies au cours d'une attaque de la ferme Navarin à la tranchée des tantes au cours de l'offensive française de Champagne le 29 septembre 1915 - Sainte-Marie-à-Py, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 18 ans. Brigadier au 11°Cuir.
d'HESPEL François Jean Edmond Marie né le 20 août 1893 à Nogent-lès-Montbard, Côte-d'Or, Bourgogne, France, tué à l'ennemi pendant la bataille de la Somme le 28 octobre 1916 à Soyécourt, Somme, Picardie, France , à l’âge de 23 ans. Sous-lieutenant au 12°d'Artillerie.
d'HESPEL Joseph Marie Louis Frédéric Ghislain, Comte , né le 9 août 1890 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 14 octobre 1918 à Rumbeke, Roeselare, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ans. Lieutenant au 6°d'Artillerie, 3°Groupe, 102°bataillon.
d'HUART Auguste Henri Adrien Fernand , Baron d'Huart, né le 16 mars 1871 à Longwy, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France, tué au combat le 4 juillet 1916 à Éclusier-Vaux, Somme, Picardie, France , à l’âge de 45 ans. Officier de carrière au 5° hussards.
DHULLU Albert Georges, né le 8 septembre 1893 à Santes, Nord, Hauts-de-France, France, tué au hameau de Seu le 5 septembre 1914 à Châtillon-sur-Morin, Marne, Grand-Est, France, à l'âge de 20 ans Cultivateur. Soldat au 43°d'Infanterie.
DHULLU Louis Joseph, né le 2 janvier 1896 à Gondecourt, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 5 mai 1917 à Craonne, Aisne, Picardie, France, à l'âge de 21 ans, soldat au 49°régiment d'Infanterie.
DILLARD Pierre Marie Georges né le 12 avril 1891 à Blois, Loir-et-Cher, Centre-Val de Loire, France, tué au combat en mer, le 24 mai 1915 dans le détroit des Dardanelles /Çanakkale boğazı, Turquie / Türkiye Cumhuriyeti, à l'âge de 24 ans. Officier de marine à bord du Dupleix.
DINCQ Pierre Auguste Marie-Joseph Ghislain,né le 11 mai 1899 à Mons, Hainaut, Belgique, décédé le 21 mai 1945 au KZ Dachau, Oberbayern, Bayern, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 46 ans. Ingénieur.
DOMKEN Armand Louis Joseph Marie Emmanuel, né le 26 avril 1891 à Verviers, Liège, Belgique, tombé au combat le 3 juillet 1916 à Niakarunzu, Kato, Mwanza, Tanzanie , à l’âge de 25 ans, Sous-officier de la force publique aux Autos-canons-mitrailleuses.
DONNAY de CASTEAU Emmanuel Marie Ghislain, né le 27 août 1885 à Thieusies, Soignies, Hainaut, Belgique, tué à l’ennemi le 24 avril 1915 à Steenstraete, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 29 ans. Lieutenant faisant fonction de capitaine en second au 1°Grenadiers.
DONNY Jacques, Baron Donny (3e), né le 30 mars 1894 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, fusillé par les boches le 29 février 1944 - Stuttgart, Baden-Württemberg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 49 ans.Directeur de sociétés. Membre du réseau "Comète".
DOUXCHAMPS Marie-Louise, née le 1° novembre 1880 à Namur, Namur, Belgique, assassinée par le nazis le 24 décembre 1944 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 64 ans.
DORET Gaston Georges Guillaume Ildefonse, né le 30 août 1892 à Bad Vöslau, Niederösterreich, Autriche / Österreich, tué au combat le 7 octobre 1918 à Bourbourg, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 26 ans. Engagé volontaire, brigadier chauffeur au 5°Lanciers.G.P.A.R. C.T./1°Division de Cavalerie.
d'OULTREMONT Henri François Marie, comte d'Oultremont né le 18 août 1866 à Bruxelles, Belgique, tué au combat le 22 octobre 1914 à Tervaete, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 48 ans. Officier de carrière, major d'Infanterie aux 1° Grenadiers. «Vous allez voir comment sait mourir un d’Oultremont».
d'OULTREMONT de WÉGIMONT et de WARFUSÉE Antoine Anne Marie Joseph Ghislain , né au Château de Beusdael le 27 octobre 1911 à Sippenaken, Plombières, Liège, Belgique. Tombé au champ d'honneur durant la bataille de la Lys le 26 mai 1940 à Wervik, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ans. Lieutenant de réserve au 1er régiment de Guides.
DRION du CHAPOIS Hubert Antoine François , écuyer, né le 5 avril 1899 au château de Feluy, Seneffe, Hainaut, Belgique, décédé le 3 septembre 1918 à Champagné, Sarthe, Pays de la Loire, France, à l'âge de 19 ans. Aspirant officier, soldat de 2°classe au CIAX 1°Cie.
DUBARLE Dominique Eugène Félicien Pierre-"André", né le 11 août 1879 à Troyes, Aube, Champagne-Ardenne, France, tombé au combat le 4 mars 1915 au Bois de Bouvigny, Colline de Notre-Dame de Lorette, Ablain-Saint-Nazaire, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France, à l'âge de 35 ans. Capitaine au 31° Bataillon de chasseurs à pied.
DUBARLE Louis Dominique Joseph Pierre "Robert" , né le 16 octobre 1881 à Tullins, Isère, Rhône-Alpes, France, mort de ses blessures le 15 juin 1915 à Schnepfenriedkopf, France , à l’âge de 33 ans. Capitaine au 68° Bn de Chasseurs.
DUBARLE Robert Etienne Marie "Pierre", né le 20 juillet 1909 à Saint-Dié, Vosges, Lorraine, France, tué par éclats d'obus le 15 décembre 1944 au Bois du Bonhomme, Haut-Rhin, Alsace, France, à l'âge de 35 ansOfficier de carrière au 3°Rgt de tabors marocains.
du BESSEY de CONTENSON Olivier né le 20 novembre 1914, tué le 23 mai 1944 à Monte-Pizzuto, Rieti, Lazio, Italia , à l’âge de 29 ans. Capitaine aux Goums Marocains.
DUBOIS Louis Henri Maurice Joseph, né le 25 juin 1885 à Lille, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, mort de ses blessures le 16 juin 1915 à Senlis, Oise, Picardie, France , à l'âge de 29 ans. Caporal au 243° régiment d'infanterie.
DUBOIS Stéphane Joseph DUBOIS, né le 22 novembre 1879 à Lille, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, mort des suites de ses blessures lors de l'assaut le 27 février 1916 de La Ferme Navarin, Souain-Perthes-lès-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l'âge de 36 ans. Capitaine au 19°bataillon des Chasseurs à pied.
du BOIS de NEVELE Emile Charles Ferdinand Henri Marie, né le 28 octobre 1893 à Donk, Ekeren, Antwerpen, Antwerpen, Belgique et tué le 10 octobre 1917 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 23 ans. Inhumé au Cimetière militaire de Oeren, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique. Caporal au 15°de Ligne Cie 3.
du BOIS de VROYLANDE Robert Fernand Ghislain Marie, né le 6 avril 1907 - Antwerpen, Antwerpen, Belgiqueassassiné le 16 décembre 1944 au KZ Ellrich, Buchenwald, Ettersberg, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l'âge de 37 ans.
DUBRULLE Eugène Emmanuel Ernest Joseph, né le 15 novembre 1879 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France; tué à l'ennemi le 4 septembre 1914 à Boussois, Nord, Hauts-de-France, France, à l'âge de 34 ans. Directeur d'une société d'assurances, Sergent du 1°d'Infanterie territoriale.
DUBUS Louis, né le 11 février 1892 à Lys-lez-Lannoy, Nord, Hauts-de-France, France. Tombé à l'ennemi à la bataille du Versant Chaulne le 4 septembre 1916 à Lihons, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 24 ans. Voyageur de commerce, caporal 233e RI.
du CHASTEL de la HOWARDERIE Emmanuel Henry Marie Charles Raymond Adolphe Christian Juste Timoléon Ghislain, comte, né le 5 février 1920 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mortellement blessé en service commandé le 8 novembre 1944 au large de Freetown, Western Area, Sierra Leone, à l'âge de 24 ans. Engagé volontaire dans l'artillerie anglo-belge de défense des navires.
du CHASTEL de la HOWARDERIE Emmanuel Marie Edouard François Ghislain, Comte du Chastel de la Howarderie, né le 18 octobre 1888 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mort au combat le 23 juin 1915 à Boezinge, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique, à l’âge de 26 ans. Engagé volontaire, adjudant au 2°Carabiniers, 4/1.
du CHASTEL de la HOWARDERIE Louis-Antoine François Marie Joseph Anne , né le 19 février 1922 à Saint-Michel-de-Livet, Calvados, Basse-Normandie, France. Tué à l'ennemi le 17 novembre 1944 à Badonviller, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France , à l’âge de 22 ans. Volontaire au Rgt de marche du Tchad.
d'UDEKEM d'ACOZ Roger Albert Herman Emmanuel Joseph Marie Ghislain, né le 3 janvier 1894 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 28 septembre 1918 à Woumen, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Étudiant. Sous-lieutenant auxiliaire au 13°de ligne, 1°bn.
DUFUMIER Henri Jules Joseph, né le 14 décembre 1881 à Saint-Omer, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, décédé d'un éclat d'obus dans les reins alors qu'il inspectait une tranchée au front en Picardie le 27 novembre 1916 à Morval, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France , à l’âge de 34 ans. Professeur d'Université. Capitaine au 125°d'Infanterie 6°Cie.
DULAIT André Julien Ghislain, né le 4 mai 1900 à Charleroi, Hainaut, Belgique, tué en combat aérien le 13 juin 1944 à Avesnes-lez-Aubert, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, à l’âge de 44 ans. Avocat. Capitaine-Aviateur.
DUMON Eugène, né en 1895, assassiné par les boches le 9 février 1945 au KZ Groß-Rosen, Rogoźnica, Województwo dolnośląskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska, à l’âge de 50 ans. Docteur en médecine, médecin colonial. Chef de Réseau Luc-Marc. Membre du réseau "Comète".
d'URSEL Antoine Aymard Louis Marie Joseph Adhémar, comte d'Ursel né le 23 janvier 1896 à Bruxelles, Belgique, tué au combat le 24 décembre 1943 à Biriatou, Pyrénées-Orientales, Aquitaine, France, à l'âge de 47 ans. Membre du réseau Comète.
d'URSEL Gérard Philippe François Marie Joseph, comte d'Ursel, né le 5 juin 1907 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique tué le 6 avril 1945 à Verl, Nordrhein-Westfalen, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 37 ans
d'URSEL Hubert Luc Pierre Baudouin Marie Ghislain, comte d'Ursel, né le 22 janvier 1922 à Watermael-Boitsfort, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 17 septembre 1944 à Hulst, Tessenderlo, Limburg, Belgique, à l'âge de 22 ans
d'URSEL Wolfgang Pie Benoît Marie Joseph Gabriel, comte d'Ursel né le 7 septembre 1882 à Hingene, Bornem, Vlaams-Brabant, Belgique, tué au combat le 18 août 1914 à Budingen, Zoutleeuw, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 31 ans. Lieutenant au 2°Guides.
DUSART Charles, né le 25 décembre 1860 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué à l'ennemi dans la nuit du 5 au 6 août 1914 à Liège, Liège, Belgique, à l'âge de 53 ans. Officier de carrière, colonel commandant le 11°de Ligne.
DYKMANS Jacques Joseph Marie Ghislain, né le 28 décembre 1893 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au champ d'honneur d'une balle dans la poitrine le 2 octobre 1918 à Most, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Prêtre S.J., Soldat de 2de classe, brancardier au 1° chasseurs à pied, Service de Santé 3 D.A.
ECONOMO von SAN SERFF Helen, Baronne San Serff, née le 1er juin 1908 à London, Greater London, England, United Kingdom, fuisllée par les boches le 13 avril 1945 - Sankt-Pölten, Bundesland Niederösterreich, Autriche / Österreich , à l’âge de 36 ans. Membre du Groupe de résistance Kirchl-Trauttmansdorff.
ECTORS Maximilien Jean-Marie Louis, né le 1er août 1895 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, BelgiqueDécédé le 11 août 1917 à Folkestone, Kent, South East, England, United Kingdom , à l’âge de 22 ans, des blessures reçues au combat. Volontaire de guerre.
EEMAN Charles Joseph Adolphe né le 5 janvier 1893 à Aalst, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé à l'ennemi le 18 août 1914 à Grimde, Tienen, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 21 ans. Soldat au 3.3.11 de Ligne, étudiant en ingénieur civil.
ELENS Willy Adriaan Alberic Joseph; né le 7 mars 1893 à Stokkem, Dilsen-Stokkem, Limburg, Belgique, tué pendant un assaut le 29 avril 1918 à Langemark, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Étudiant en médecine. Adjudant au 1° de Ligne.
ENGELHARD Gustave, né le 6 février 1884 au Bois Guillaume, Yvelines, Île-de-France, FranceTué à l'ennemi le 11 septembre 1914 à Réméréville, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France, à l'âge de 30 ans.Soldat de 2°classe au 41°d'Infanterie coloniale.
ENGELHARD Jean "René" né le 18 mars 1890 au Vésinet, Yvelines, Île-de-France, France, tué à l'ennemi le 27 septembre 1914 à Monplaisir, Ville-sur-Tourbe, Marne, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 24 ans. Soldat de 2°classe au 21°régiment d'Infanterie Coloniale.
ENGELHARD Louis "Maurice", né le 4 mai 1893 au Vésinet, Yvelines, Île-de-France, France, décédé le 5 mai 1917 à la Ferme Montazin, Marne, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 24 ans. Caporal pilote, 2°Groupe d'aviation, escadrille 224.
ENGELHARD Raoul Joseph, né le 18 janvier 1869 au Havre, Seine-Maritime, Haute-Normandie, France, décédé le 9 mai 1916 au Vésinet, Yvelines, Île-de-France, France, à l'âge de 47 ans. Caporal au 34° Tirailleurs sénégalais.
EVRARD Fernand Joseph né le 2 mai 1891 à Rochefort, Namur, Belgique, décédé le 29 juin 1915 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Etudiant en médecine. Infirmier militaire.
FALCON de LONGEVIALLE Albert Marie, né le 5 octobre 1887 à Les Côtes d'Arey, Isère, Auvergne-Rhône-Alpes, France.Tué à l'ennemi le 31 janvier 1914 à Lihons, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 26 ans. Sergent au 75°d'Infanterie en août 1914.
FALCON de LONGEVIALLE Émilien Marie "Joseph", né le 18 février 1882 à Les Côtes d'Arey, Isère, Auvergne-Rhône-Alpes, France. Tué à l'ennemi le 27 août 1914 - Doncières, Vosges, Grand Est, France , à l’âge de 32 ans. Lieutenant au 38°d'infanterie.
FALCON de LONGEVIALLE Marie François "Louis", né le 28 octobre 1883 à Les Côtes d'Arey, Isère, Auvergne-Rhône-Alpes, France. Tué à l'ennemi au combat de Noulette le 14 mai 1915 à Aix-Noulette, Pas-de-CalaisHauts-de-France, France , à l’âge de 31 ans. Sous-lieutenant au 158°d'infanterie.
FALCON de LONGEVIALLE Marie Joseph Auguste "Robert", né le 16 novembre 1880 à Les Côtes d'Arey, Isère, Auvergne-Rhône-Alpes, France, tué à l'ennemi le 29 septembre 1915 à Souain-Perthes-lès-Hurlus, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 34 ans. Lieutenant de réserve au 75°d'infanterie.
FALCON de LONGEVIALLE Marie Louis René "Guy", né le 13 décembre 1893 - Sainte-Foy-lès-Lyon, Rhône, Auvergne-Rhône-Alpes, France. Tué d'une balle à la tête à l'attaque du Mont-Haut, troisième bataille de Champagne le 17 avril 1917 à Prosnes, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 23 ans. Capitaine au 3°Zouaves.
FLIPO André François Antoine, né le 29 novembre 1896 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, porté disparu le 16 avril 1917 à Craonne, Aisne, Picardie, France , à l’âge de 20 ans. Aspirant au 208° d'Infanterie.
FLIPO Charles Romain Marie Joseph, né le 16 août 1884 à Tourcoing, Nord, France, disparu au combat le 24 février 1916 à Beaumont-sur-Vesle, Meuse, Lorraine, France, à l'âge de 31 ans, filateur de coton et sergent au 208°d'Infanterie.
FLIPO Romain Charles Marie Joseph né le 13 mars 1889 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France tué à l'ennemi le 20 juillet 1916 à Herleville, Somme, Picardie, France , à l’âge de 27 ans. Capitaine au 208°d'infanterie.
FOBE Jean Jules Valérie Marie Corneille, né le 3 janvier 1925 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé au combat le 3 septembre 1944 à Escanaffles, Celles, Hainaut, Belgique, à l'âge de 19 ans. A.S.
FROIDURE Alphonse Hubert né le 23 octobre 1880 - Comines, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi au Bois de Mort-Mare le 10 avril 1915 à Flirey, Meurthe-et-Moselle, Grand est, France , à l’âge de 34 ans. Soldat au 340°régiment d'infanterie.
GARROS Eugène Adrien "Roland" Georges, né le 6 octobre 1888 à Saint-Denis, La Réunion, France, tué au combat le 5 octobre 1918 à Vouziers, Ardennes, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 29 ans. Lieutenant pilote au 12° Groupe d'Escadrille de combat.
GAUTHIER Paul, né le 15 février 1897 à Saint-Gilles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat durant l'offensive des 100 jours le 30 septembre 1918 à Hoogstade, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Adjudant au 2°Grenadiers, 1er bataillon, 5ième Cie.
GHAYE Henri Dieudonné Frédéric, né le 2 décembre 1894 à Vottem, Herstal, Liège, Belgique, tué par éclats d'obus dans le ventre. le 18 mars 1916 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Soldat de 2°classe.
GEELHAND Othon Marie Joseph Ghislain, né le 18 mai 1914 à Kessel, Nijlen, Antwerpen, Belgique, assassiné au KZ Schützenhof-Bremen, Landes Freie Hansestadt Bremen, , à l’âge de 30 ans.
GENDEBIEN Georges Edmond Marc Louis Marie baron né à Marbais, Ham-sur-Heure-Nalinnes, Hainaut, Belgiquetué au combat le 12 mai 1940 à Temploux, Namur, Namur, Belgique. Capitaine commandant au 2°Lanciers.
GENDEBIEN Marc Marie Joseph Maurice Louis Ghislain né le 10 octobre 1912 à Acoz, Gerpinnes, Hainaut, Belgique, tombé en plein ciel le 19 novembre 1944 à Amersfoort, Utrecht, Nederland , à l'âge de 32 ans. Flying Officer, Lieutenant pilote de la RAF.
GILLÈS de PÉLICHY André,Baron Gillès de Pélichy, né le 17 janvier 1914 à Wondelgem, Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, mort aucombat le 25 mai 1940 à Wevelgem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 26 ans.
GILLÈS de PÉLICHY José Charles Raphaël Marie Ghislain, Baron Gillès de Pélichy, né le 18 juin 1923 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les barbares le 26 octobre 1944 au KZ Güsen, Mauthausen, Oberösterreich, Autriche / Österreich , à l’âge de 21 ans. Membre de l'Armée secrète.
GOEMAERE Henri-Joseph, né le 24 décembre 1892 à Saint-Josse-ten-Noode, Bruxelles capitale, Belgique, frappé d'une balle dans le cœur à l'attaque du pont de Plassendale-Nieuwpoort le 8 octobre 1914 à Slijpe, Middelkerke, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans. Etudiant à la faculté de droit de l'Institut Saint-Louis à Bruxelles. Soldat de 2°classe au 9°de Ligne.
GOEMAERE Joseph Valentin né le 11 mars 1896 à Saint-Josse-ten-Noode, Bruxelles capitale, Belgique, décédé le 16 juillet 1917 - Achel, Hamont-Achel, Limburg, Belgique , à l’âge de 21 ans. Prisonnier de guerre, évadé, mort électrocuté en essayant de franchir la frontière belgo-néerlandaise, à Achel.
GOETHALS Jacques Vincent Alberic Jules , né le 18 novembre 1889 à Kortrijk, West-Vlaanderen, Belgiquetombé en plein ciel le 9 octobre 1918 à Staden, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ans. Inhumé le 13 avril 1922 - Kortrijk, West-Vlaanderen, Belgique. Sous-Lieutenant pilote à la 10°escadrille de chasse.
GOFFIN Jules Ghislain Hubert Joseph, né le 31 mars 1897 à Noville-les-Bois, Fernelmont, Namur, Belgique, fusillé par les boches au fort de Reynauwen le 9 octobre 1943 à Utrecht, Utrecht, Nederland , à l’âge de 46 ans. Inhumé - Eijsden, Eijsden-Margraten, Limburg, Nederland. Docteur en médecine. Réseau "Clarence".
GOSSET Émile Louis, né le 22 février 1885 à Chouy, Aisne, Hauts-de-France, France, mort en captivité le 15 décembre 1918 à Piła, Województwo Wielkopolskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska, à l'âge de 33 ans. Soldat au 167°d'infanterie.
GOSSETGeorges Alexandre , né le 16 avril 1888 à Chouy, Aisne, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 6 septembre 1914 au combat du Bois de la Cuite à Sainte-Geneviève, Meurthe-et-Moselle, Grand Est, France, à l'âge de 26 ans. Soldat de deuxième classe au 367°d'Infnaterie.
GOUBAU Charles Honoré Louis Camille', né le 16 décembre 1888 à Mesen, West-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 28 mars 1945 au KZ Neuengamme-Hamburg, Hamburg, Allemagne, à l'âge de 56 ans, directeur aux "Anciens Etablissem*nts Alsberge et Van Oost sa" à Gand, commandant de l'Armée Secrète belge à Tronchiennes, réseau Comète.
GOUBAU Charles dit Carlos, né le 8 janvier 1922 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique assassiné par les nazis le 5 mars 1945 au KZ Haresdeich, Allemagne, à l'âge de 23 ans, membre de l'Armée Secrète belge, adjoint du commandant du réseau Comète.
GOBEAUX Louis Joseph Gillain, né le 20 juin 1890 à Hemptinne, Florennes, Namur, Belgique, décédé le 30 janvier 1918 de tuberculose au sanatorium de Eastleigh, Hampshire, England, United Kingdom , à l’âge de 27 ans. Représentant de commerce. Sergeant au 10°de Ligne.
GREINDL Jean Jules Édouard Baron Greindl, Alias: "Nemo", "Le Congolais", né le 10 avril 1905 - Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique mort le 7 septembre 1943, dans un bombardement de sa prison à Etterbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 38 ans. Planteur au Congo. Membre du réseau "Comète".
GREINDL René Marie Jules Maurice, né le 7 avril 1898 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgiqueassassiné par les nazis le 20 février 1945 à Ettersberg, Weimar, Thüringen, Bundesrepublik Deutschland , à l'âge de 46 ans, au KZ de Buchenwald. Ingénieur, volontaire de guerre 1914/1918. Commandant du Secteur 5 de la zone 5 de l'Armée Secrète en 1944.
GUYOT Jean-Marie, né le 24 mai 1882 à Sevrey, Saône-et-Loire, Bourgogne-Franche-Comté, France mort en déportation en 1944 à Cham, Bayern, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 62 ans. Marchand de bois et Membre de la résistance.
GUYNEMER Georges Marie Ludovic Jules, né le 24 décembre 1894 à Paris, Paris, Île-de-France, Franceabattu en combat, à bord du "Vieux Charles" le 11 septembre 1917 à Poelkapelle, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 22 ans. Capitaine d'aviation.
HACHEZ Alfred né le 15 juin 1919 à Namur, Namur, Belgique mort assassiné le 4 avril 1944 au KZ Dora-Mittelbau, Nordhausen, Thüringen, Allemagne / Deutschland.
HALLEUX Adolphe Alexandre Marie Henri, né en 1880 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique et tué à l'ennemi le 10 juillet 1916 , à l’âge de 36 ans. Lieutenant au 1°Grenadiers.
HALLAUX Joseph Ernest Norbert Ghislain né le 8 juillet 1894 - Grez-Doiceau, Brabant wallon, Belgique, Assassiné dans le dispensaire du camp de travail de Mittelbau le 3 septembre 1944 - KZ Dora-Mittelbau, Nordhausen, Thüringen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 50 ans. Soldat au 1°Grenadier en 1914-1918. Résistant.
HALLEUX Alexandre Aloïs Emile, né en 1882 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique et tué à l'ennemi le 13 août 1914 , à l’âge de 32 ans. Lieutenant au 3°Lanciers, 2°groupe, 4°Escadron.
HANQUET Émile Adelin Philippe Joseph Marie, né le 5 février 1888 à Liège, Liège, BelgiqueDécédé le 7 novembre 1918 à l'hôpital militaire de Calais, Calais, Pas-de-Calais, Hauts de France, France , à l’âge de 30 ans. Capitaine ff au 11°de ligne.
HANQUET Joseph Jules Ignace Marie Ghislain, né le 2 septembre 1918 à Ninane, Chaudfontaine, Liège, Belgique, assassiné par les boches le 9 septembre 1944 à Briscol, Érezée, Luxembourg, Belgique , à l’âge de 26 ans. Ingénieur civil, soldat à l'escadron mobile Z.5 de L'Armée secrète.
HANSSENS Vincent de Paula Paul Hubert Marie , né le 3 février 1890 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, frappé au cœur lors de l'attaque le 31 octobre 1914 à Ramskapelle, Nieuwpoort, West Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Volontaire de guerre, Sergent au 5°de Ligne, 2 Bn. (8 Cie)
HOUASSIN Alfred, Combattant 1940-1945, Mort pour la Liberté, la Patrie, pour nous.
HARFORD Sylvio Marcel, né en 1884, mort de la grippe espagnole le 11 octobre 1918 à Eastbourne, BN21, , East Sussex, England, United Kingdom à l'âge de 34 ans. Sapeur au 3° Bat de réserve du Canadian Engineers.
HARPIGNIES Georges Félix Pierre, né le 21 février 1900 à Famars, Nord, Hauts-de-France, France, tué par explosion le 23 mai 1940 à Essars, Nord, Hauts-de-France, France, à l'âge de 40 ans. Soldat au 1er régiment du train (1er RT), négociant en vêtements.
HAZARD Ariste Arthur Alfred Anicet né le 4 août 1884 à Cousolre, Nord, Hauts-de-France, France, tombé au combat des Dardanelles le 3 août 1916 aux Combats des Dardanelles à l'âge de 31 ans. 175e régiment d'infanterie (175e RI).
HAZARD Fernand, né le 9 août 1890 à Cousolre, Nord, Hauts-de-France, France, tué au combat le 6 juin 1918 à Saint-Euphraise-et-Clairizet, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 27 ans. Professeur. Sergent 22° d'Infanterie.
HELLÉ Robert-Paul Laurent, né le 30 janvier 1902 à Lunéville, Meurthe-et-Moselle, France, tué au fort de Dunes à Dunkerque, Nord, Hauts-de-France, France, sous les bombardements, le 2 juin 1940 à l'âge de 38 ans. Capitaine d'Artillerie au 12°DIM.
HENNEKINNE Jules Marie Léon Joseph, né le 29 septembre 1872 à Bousignies-sur-Roc, Nord, Hauts-de-France, France, assassiné en juillet 1944 au KZ Buchenwald, Ettersberg, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 71 ans. Presse clandestine.
HENNEQUIN de VILLERMONT Charles "Claude" Clément Edouard Martin Marie Benoît né le 29 octobre 1923 - Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 31 décembre 1944 au hameau de Nive-lez-Bure, Tellin, Luxembourg, Belgique , à l’âge de 21 ans. Résistant tué pendant la Bataille des Ardennes.
HENRY Jean, né le 2 mai 1897 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, Tombé au champ d'honneur le 22 octobre 1918 à Merendree, Nevele, Oost-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Sous-lieutenant auxiliaire au 18ème de Ligne.
HENRY de FRAHAN Gonzague Stanislas Ernest Eugène Marie, né le 9 mai 1922 à Woluwe-Saint-Pierre, Bruxelles capitale, Belgique tombé au combat le 4 septembre 1944 à Sint-Genesius-Rode, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 22 ans, chef de groupe de la 112°brigade de l'O.M.B.R. de l'Armée secrète.
HERTOGHE Jean Charles né le 19 juin 1900 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, fusillé par les boches le 15 mars 1943 à Breendonk, Puurs, Antwerpen, Belgique , à l'âge de 42 ans.
HEYMANS Jean né le 3 novembre 1904 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique. Assassiné par les boches le 4 avril 1945 au KZ Flossenbürg, Oberpfalz, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 40 ans. Prêtre.
HOLLANDE Georges Marie Joseph, né le 17 octobre 1890 à Valenciennes, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 19 février 1915 à Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 24 ans. Sergent-major au 127°d'Infanterie.
HOLLANDE Henri Marie Joseph Gabriel Adolphe, né le 7 avril 1881 à Valenciennes, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 16 juin 1915 à Quennevieres, Tracy-le-Mont, Oise, Picardie, France, à l'âge de 34 ans. Caporal au 178°d'Infanterie, 2°Cie.
HOLLANDE Robert Marie Joseph, né le 23 janvier 1895 à Valenciennes, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 17 décembre 1914 à Montauban-de-Picardie, Somme, Picardie, France, à l'âge de 19 ans. Caporal au 117°d'Infanterie, 9°Cie.
IMBERT Pierre Émile Léopold, né le 16 novembre 1888 à Vendôme, Loir-et-Cher, Centre, France, tué à l'ennemi le 29 septembre 1914 à Vaux-lès-Palameix, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 25 ans. Sous-lieutenant au 288°de Ligne.
IMBERT Théophile , né le 17 juin 1890 à Poujol, Saint-Santin-de-Maurs, Cantal, Auvergne-Rhône-Alpes, France, mort suite de blessures de guerre le 20 août 1914 à Brouderdorff, Moselle, Grand-Est, France, à l'âge de 24 ans. Soldat 139°régiment d'infanterie.
INGELS Jean Marie Joseph Hippolyte Antoine Ghislain, Jean de Gand dans le réseau. Né le 13 juin 1907 à Sint-Laureins, Oost-Vlaanderen, Belgique, fusillé par les boches au tir national le 20 octobre 1943 - Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 36 ans. Membre du réseau "Comète".
JACMART Robert Auguste Etienne Marie Joseph, né le 21 janvier 1895 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, tué à l'ennemi le 31 octobre 1918 à Petegem-aan-de-Leie, Deinze, Oost-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 23 ans. Brigadier au 4°artillerie de campagne
JANSSENS de VAREBEKE Jacques, né le 29 juin 1925 à Berchem, Antwerpen, Antwerpen, Belgique, décédé en 1944 , à l’âge de 19 ans.
JEAN Jules Edouard né le 30 août 1891 à Saint-Georges, Cantal, Auvergne-Rhône-Alpes, France, mort (blessures de guerre) au combat de Boisleux St-Marc le 1er octobre 1914 à Boisleux-Saint-Marc, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, à l'âge de 23 ans. Cultivateur . Soldat de 2e classe au 14e régiment d'artillerie (14e RA).
JEANDRAIN, Max, né le 14 septembre 1908 à Gembloux, Namur, Belgique, tué au combat le 24 mai 1940 à Harelbeke, West-Vlaanderen, Belgique, à l’âge de 31 ans.
JONCKHEERE Étienne André Marie Joseph Ghislain né le 21 janvier 1892 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat durant la bataille des casques d'argent, le 12 août 1914 à Halen, Limburg, Belgique , à l’âge de 22 ans. 10°de Ligne (2 Cie)
JOORIS Emmanuel Étienne Paul Joseph Ghislain , "Emmanuel VINCENT" pour le réseau, né le 18 mai 1914 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné par les boches le 20 mars 1945 au KZ Dora-Harzungen, Nordhausen, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 30 ans. Fondateur et Chef du réseau Beaver-Baton. Lieutenant-Colonel ARA.
JOORIS André, né le 2 mai 1910 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné par les boches dans la marche de la mort, le 22 avril 1945 à Bernried am Starnberger See, Oberbayern, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 34 ans. Membre de l'Armée secrète.
JOORIS Pierre Marie Charles Joseph Oscar Ghislain , "Jacques LUNCQ" dans le réseau. Né le 16 mai 1909 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique Fusillé dans les fossés de la forteresse le 5 novembre 1943 à Arras, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 34 ans. Avocat. Résistant.
KELDER Émile Gustave, né le 6 janvier 1883 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France. Disparu au combat le 10 juin 1915 à Hébuterne, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France , à l’âge de 32 ans. Soldat au 243°d'infanterie.
KERVYN de LETTENHOVE Charles Marie Bruno Ghislain , Baron , né le 29 octobre 1892 à Wakken, Dentergem, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 15 juillet 1917 à Vladslo, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Sous-lieutenant aviateur à la 4°escadrille.
KERVYN de LETTENHOVE Jacques Marie Joseph Bruno Paul, Baron, né le 22 février 1895 à Sint-Michiels, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique et tué au combat le 24 octobre 1914 à Zevekote, Gistel, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 19 ans. Volontaire de guerre, soldat de 2°classe au 3°Lanciers.
KERVYN de LETTENHOVE Joseph Marie Auguste Remi Bruno, Baron , né le 1er décembre 1894 à Sint-Michiiels, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 18 avril 1918 à Merchtem, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 23 ans. Lieutenant au 3°Lanciers.
KUBBEN Martin Amand, né le 15 septembre 1897 à Uikhoven, Maasmechelen, Limburg, Belgique, tué le 17 octobre 1918 - Adinkerke, De Panne, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans.
KUBBEN Theodoor, né le 9 avril 1899 - Uikhoven, Maasmechelen, Limburg, Belgique, tuéDécédé le 28 septembre 1918 - Oostnieuwkerke, Staden, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 19 ans.Caporal.
LACORD Maurice, né le 10 septembre 1876 à Ambazac, Haute-Vienne, Nouvelle-Aquitaine, France, tué à l'ennemi le 27 mai 1917 à Cuissy-et-Geny, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 40 ans. Tailleur d'habits. 2e canonnier servant au 112°d'artillerie lourde.
LAGASSE André, né le 26 novembre 1893 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique, décédé le 23 août 1914 à Wartet, Marche-les-Dames, Namur, Belgique , à l’âge de 20 ans. Aviateur.
LALOUX Louis Charles Aimé Victor Césaire, né le 29 mars 1886 à Havay, Quévy, Hainaut, Belgique, tué à l'ennemi le 1er octobre 1916 à Combles, Somme, Picardie, France , à l’âge de 30 ans. Soldat de 2°Classe au 350°d'Infanterie.
LE BÈGUE de GERMINY Alain Marie François Antoine, né le 20 juillet 1891 à Arras, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 6 septembre 1914 - Talus-Saint-Prix, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 23 ans. Lieutenant au 7° régiment de marche de Tirailleurs algériens.
LE BÈGUE de GERMINY Maurice, né le 11 mars 1897 - Rennes, Ille-et-Vilaine, Bretagne, France, décédé le 13 juin 1916 - Gallipoli, Turquie / Türkiye Cumhuriyeti , à l’âge de 19 ans. Engagé volontaires dans la marine.
LE BÈGUE de GERMINY Stanislas Jean Baptiste Marie Ghislaine, Comte, né le 3 juillet 1884 à Lille, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, décédé de ses blessures le 1er janvier 1915 à l'Hôpital militaire, Verdun, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 30 ans. Sous-lieutenant au 151°d'Infanterie.
LEBLICQ Jean-Baptiste, né le 4 septembre 1882 - Couture-Saint-Germain, Lasne, Brabant wallon, Belgique, assassiné par les boches le 28 janvier 1945 au KZ Buchenwald, Ettersberg, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 62 ans. Entrepreneur, membre de la Légion noire.
LECLERCQ Jules Jean Marie-Joseph, né le 6 décembre 1892 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, mort des suites de ses blessures sur le champ de bataille le 25 février 1915 à Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, France , à l’âge de 22 ans. Aspirant au 8°d'Infanterie.
LEDUC Edmond Jules Joseph Marie, né le 14 novembre 1908 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, mort le 20 février 1944 - Guben, Brandenburg, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 35 ans. Prêtre au 601e régiment de pionniers.
LEFEL Abram Jacob, né le 13 janvier 1890 à Lodz, Pologne, assassiné par les nazis le 7 avril 1945 au KZ Buchenwald, Thüringen, Allemagne, à l'âge de 55 ans.
LEFÈBVRE Jacques Théodore Joseph, né le 5 novembre 1888 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, décédé le 5 octobre 1918 à Fresnoy-la-Rivière, Oise, Hauts-de-France, France , à l’âge de 29 ans. Sous-lieutenant au service automobile du 8e escadron du train.
LEFÈBVRE Paul Marie Joseph, né le 11 décembre 1890 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, FranceDécédé le 23 août 1914 - Saint-Gérard, Mettet, Namur, Belgique , à l’âge de 23 ansé le 11 décembre 1890 - Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 23 août 1914 à Saint-Gérard, Mettet, Namur, Belgique , à l’âge de 23 ans.Sergent au 43° d’infanterie.
LEFÈBVRE Théodore Paul Jean-Marie Joseph né le 14 avril 1876 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France, tombé au combat le 4 septembre 1914 à Maubeuge, Nord, Hauts-de-France, France, à l'âge de 38 ans. Soldat de 2e classe au 2e régiment d'infanterie territoriale (2e RIT).
LEGRAND Louis, né le 5 janvier 1902 à Namur, Namur, Belgique, tué au combat le 27 juin 1944 en Normandie, France , à l’âge de 42 ans. Officier de carrière. Major B.E.M. d'artillerie à cheval, attaché au 23e Hussars britannique.
le GRELLE Albert Auguste Joseph Ghislain, comte le GRELLE, né le 10 septembre 1888 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique tué au combat le 26 octobre 1914 à Caeskerke, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 26 ans, brigadier au 1°Lancier.
LE JEUNE Georges Joseph, né le 8 février 1894 à Brest, Finistère, Bretagne, France, mort de ses blessures à l'hôpital militaire le 22 mars 1917 à Bourges, Cher, Centre-Val de Loire, France, à l'âge de 23 ans. Sous-Lieutenant de Cavalerie 2° Dragons, puis 1°groupe d'aviation.
LE JEUNE René Noël Joseph, né le 25 décembre 1891 à Lambézellec, Brest, Finistère, Bretagne, France et blessé à mort le 25 octobre 1916 à Verdun, Meuse, Grand-Est, France, à l'âge de 24 ans. Médecin aide major 2ème classe au 4°régiment mixte de zouaves et tirailleurs.
LEJEUNE de SCHIERVEL Jeanne Augustine Henriette Marie Joséphine Ghislaine, née le 28 octobre 1918 à Pepinster, Liège, Belgique assassinée par les nazis le 3 février 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Bundesrepublik Deutschland, à l'âge de 26 ans. Membre du réseau "Les Amis de Charles".
LEMAIRE Alphonse Gustave Marie Joseph, né le 21 décembre 1889 à Mouvaux, Nord, Hauts-de-France, France. Tué au combat de la tranchée de Calonne le 24 juin 1915 - Saint-Remy-la-Calonne, Meuse, Grand Est, France , à l’âge de 25 ans. Sergent au 9°Chasseurs à pied.
LE MESRE de PAS Charles Misaël Edouard , né le 13 décembre 1885 à Beernem, West-Vlaanderen, Belgiquetué au combat le 8 mars 1915 à la bataille de la Marne, Champagne-Ardenne, France , à l'âge de 29 ansBrancardier. Soldat de 2°classe au 201°d'Infanterie.
LE MESRE de PAS Gérard Antoine Ghislain Jean, né le 2 juillet 1889 à Beernem, West-Vlaanderen, BelgiqueTué au combat dans la nuit du 17 au 18 septembre 1915 à La Neuville-au-Pont, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l'âge de 26 ans. Sous-Lieutenant au 43°d'Infanterie.
LE MESRE de PAS Robert Joseph Henri Fernand né le 15 juillet 1894 à Cocquerel, Somme, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France, tué à l'ennemi, au combat de Dommiers, le 3 juin 1918 - Soissons, Aisne, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France , à l’âge de 23 ans. Lieutenant au 29° d'artillerie.
LE ROUGE de GUERDAVID Yves Gaston Joseph Marie, né le 15 avril 1892 à Botsorhel, Finistère, Bretagne, France, mort suite à ses blessures de guerre à l'ambulance de Somme-Suippe à Suippes, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 24 ans. Sous-lieutenant au 247° R.I.
LE SERGEANT d'HENDECOURT François Bruno Marie Ghislain, né le 30 décembre 1923 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique et assassiné le 28 février 1945 au KZ Flossenbürg, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 21 ans. Membre de la résistance.
LE SERGEANT d'HENDECOURT Jacques Louis Marie Ghislain, né le 19 janvier 1923 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique et assassiné le 13 mars 1945 au KZ Flossenbürg, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 22 ans. Membre de la résistance.
LESTIENNE Henri Joseph Narcisse, né en 1870, blessé au combat le 10 juin 1915 à Hébuterne, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France et décédé le 6 juillet 1915 - Amiens, Somme, Picardie, France , à l’âge de 45 ans. Prêtre-aumônier militaire.
LEURQUIN Albert Théophile Joseph, né le 19 juillet 1897 à Andenne, Namur, Belgique, assassiné par les boches le 30 janvier 1945 - KZ Neuengamme-Hamburg, Hamburg, Freie und Hansestadt Hamburg, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 47 ans. Officier de carrière, Major d'Artillerie au 2° R. A. A., Commandant la Zone 1 de l'Armée Secrète.
LEVIE Georges Lucien Marie, né le 31 octobre 1888 à Binche, Hainaut, Belgique, tué au combat le 8 octobre 1918 à Westrozebeke, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 30 ans. Volontaire de guerre, maréchal de logis 12°Artillerie, 6°division armée.
LEVIE Pierre Jean Gaby Marie Ghislaine, né le 19 mai 1894 à Charleroi, Hainaut, Belgique, tué au combat le 6 octobre 1914, à Duffel, Antwerpen, Belgique , à l'âge de 20 ans, soldat de 2°classe au 2°Carabinier, 1°bataillon, 4°Cie.
LINARD Edmond Felix Jean, né le 16 février 1877 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, mort de ses blessures reçues au combat le 18 mars 1915 à Zuidschote, Ieper, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 38 ans. Officier de carrière. Capitaine en second du 1° grenadier, 1°bataillon, 2°Cie.
LORTHIOIS André Joseph Floris, né le 11 novembre 1894 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France mort de maladie le 3 février 1916 - Châlons-sur-Marne, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 21 ans. Soldat de 2°classe du 19°escadron du Train.Mort de maladie.
LORTHIOIS Félix Marie-Joseph Charles, né le 4 novembre 1883 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 7 octobre 1914 à Pintheville, Meuse, Grand Est, France , à l’âge de 30 ans. Employé. Soldat au 165°d'Infanterie.
LOSSEAU Maurice Isidore Joseph Ghislain, né le 3 février 1893 à Givry, Quévy, Hainaut, Belgique, tué au combat le 28 mars 1918 à Nieuwendamme , à l’âge de 25 ans. Agriculteur. Sous-lieutenant auxiliaire au 3°Carabiniers - 10°Cie.
LONGUET de la GIRAUDIÈRE Maurice François Xavier Henri, né le 30 mai 1894 à Beauvais, Oise, Hauts-de-France, France, tué dans une contre-attaque de nuit le 21 décembre 1914 à Lachalade, Meuse, Grand Est, France , à l’âge de 20 ans. Soldat au 76°d'Infanterie.
LUNDEN René Henri Théophile Florent Marie Joseph , Baron Lunden, né le 2 juin 1902 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, mort des blessures le 3 avril 1942 - Chichester, West Sussex, England, United Kingdom , à l’âge de 39 ans. Capitaine Observateur-Pilote 23th Squadron.
MABILLE de PONCHEVILLE Albert Victor Joseph, né le 27 septembre 1891 à Lambersart, Nord, Hauts-de-France, France. Décédé des blessures reçues au combat le 13 octobre 1916 à Hargicourt, Somme, Hauts-de-France, France, à l’âge de 25 ans. Sous-Lieutenant au 5°Cuir.
MAELCAMP d'OPSTAELE Léon Charles Étienne, Baron, né le 13 août 1896 à Bruxelles, Bruxelles capitale, BelgiqueTombé en combat au-dessus de "De Moeren", le 22 août 1917 à Adinkerke, De Panne, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans. Volontaire de guerre. Premier Sergent Pilote.
MANSET Édouard Marie Daniel, né le 27 août 1911 à Arcachon, Gironde, Nouvelle-Aquitaine, France, décédé le 11 février 1940 à Ingouville, Seine Maritime, Normandie, France, à l'âge de 28 ans. Officier de carrière. 5°cuirassiers à pied (5e RCP).
MARCHAL Albert , né en 1916, fusillé par les boches au tir national le 20 octobre 1943 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 27 ans. Sergent au 2°Chasseurs Ardennais. Membre du réseau "Comète".
MARÉCHAL Georges, né le 11 décembre 1892, fusillé par les boches au tir national le 20 octobre 1943 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 50 ans. Membre du réseau "Comète".
MARTENS Albert Marie Victor Ghislain, né le 8 septembre 1896 à Harelbeke, West-Vlaanderen, Belgique. Tué au combat le 22 octobre 1918 à Merendree, Nevele, Oost-Vlaanderen, Belgique, à l’âge de 22 ans. Sous-lieutenant au 18° de Ligne / 2/3 (7 Cie)
MARTENS Charles Alphonse Edouard Louis né le 12 février 1923 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, tué au combat le 22 avril 1945 à Meeuwen, Noord-Brabant, Nederland, à l'âge de 22 ans, Soldat 2ème Bataillon de la Brigade Piron.
MARTENS Jacques Marie, né le 28 octobre 1894 à Harelbeke, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 13 mai 1916, à l’âge de 21 ans. Adjudant au 6 Régiment de Ligne / 2/4 (8 Cie). Volontaire de guerre.
MARTENS Jean Édouard Antoine Joseph Marie , né le 19 septembre 1893 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, Tombé au combat, le 22 octobre 1918 à Merendree, Nevele, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Lieutenant au 7ème bataillon du 18ème régiment de Ligne.
MASUREL André Charles Louis Joseph, né le 14 août 1883 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 25 septembre 1915 - Beauséjour, Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 32 ans. Sergent au 156°d'Infanterie.
MASUREL Jacques Ernest Joseph né le 24 avril 1886 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 7 septembre 1914 à Maubeuge, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France à l’âge de 28 ans. Adjudant au 1°d'Infanterie.
MASUREL Jean Alphonse Blaise, né le 1er février 1890 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 4 mars 1917 au Bois-des-Carrières, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 27 ans. Sous-lieutenant au 299°d'Infanterie.
MÉLOT Augustin Charles Marie Joseph, né le 16 septembre 1871 à Namur, Namur, Belgiqueassassiné le 6 novembre 1944 - KZ Neuengamme-Hamburg, Hamburg, Freie und Hansestadt Hamburg, Allemagne / Deutschland , à l'âge de 73 ans. Membre du réseau Comète.
MÉLOT Jean Joseph Etienne Marie, né le 15 février 1923 à Namur, Namur, Belgique tombé au combat le 10 juin 1944 à Hasselt, Limburg, Belgique , à l’âge de 21 ans au cours d'une action engagée pour délivrer des prisonniers politiques.
MÉLOT Suzanne Marie Joseph Jeanne, née le 6 juillet 1913 à Namur, Namur, Belgique, assassinée par les nazis le 6 février 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 31 ans. Membre du réseau Comète.
MERLIN Charles Marie, né le 10 novembre 1855 à Béthune, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais, France, décédé le 23 juin 1917 à Paris XVI°, Paris, Île-de-France, France , à l’âge de 61 ans. Officier de carrière, Chef d'escadron à l'état-major de la deuxième armée.
MERLIN Jacques Marie, né le 3 mars 1891 à Paris, Paris, Île-de-France, France, disparu pendant la bataille de la Somme à l'attaque du bois de Chaulnes le 13 octobre 1916 à Chaulnes, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 25 ans. Sous-Lieutenant au 25°d'Infanterie.
MERTENS Charles Marie Joseph Émile, né le 21 octobre 1883 à Kruibeke, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 3 octobre 1918 à Moorsele, Wevelgem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 34 ans. Soldat de deuxième classe au 12 d'Artillerie, 110 batterie.
MICHIELS Victor Oscar Jean Marie, Louis dans le réseau. Né le 15 décembre 1915 - Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique, abattu en rue par les boches, au coin de la rue Voltaire et de la rue E. Renan le 19 novembre 1942 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 26 ans. Avocat. Membre du réseau "Comète".
MIRABAUD Christian, né le 6 septembre 1912 - Margeney, Seine-et-Marne, Île-de-France, France. Tué au combat le 13 mai 1940 à Arendonk, Antwerpen, Belgique , à l’âge de 27 ans. Aspirant au 4° Dragons portés.
MOLS René Maria Joseph, né le 6 novembre 1894 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 28 septembre 1918 à Jonkershove, Houthulst, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 23 ans. Sergent au 22°de Ligne, 1°Cie.
MOMBER Edward Marie Félix, né le 16 juin 1888 à Biarritz, Pyrénées-Atlantiques, Aquitaine, France, tué au combat lors de la bataille de l'Yser le 20 juin 1917 , à l’âge de 29 ans. Officier de carrière, Major aux Royal Engineers, 177th Tunnelling Coy.
MONIN Henri né le 1er juillet 1892 à Charolles, Saône-et-Loire, Bourgogne-Franche-Comté, France, tué à l'ennemi le 25 août 1914 à Guebwiller, Alsace, Grand Est, France, à l'âge de 22 ans. Caporal au 58°d'Infanterie.
MONTRELAY Alexis Marie Alphonse André, né le 8 décembre 1895 à Lorient, Morbihan, Bretagne, France, Tué à l'ennemi le 11 juin 1918 à Gournay-sur-Aronde, Oise, Picardie, France , à l’âge de 22 ans. Inhumé - Catenoy, Oise, Picardie, France. Lieutenant au 33°d'artillerie.
MORAND Louis Marie Charles Claude Comte Morand (5e), né le 10 février 1894 à Orléans, Loiret, Centre, France, tué à l'ennemi le 20 décembre 1916 à Feuillères, Somme, Picardie, France , à l’âge de 22 ans. Cannonier au 87°Artillerie lourde.
MORELLE Charles Henri Louis Émile, Charlie dans le réseau, né le 20 janvier 1915 à Maizières-la-Grande-Paroisse, Aube, Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, France, assassiné par les boches le 18 mai 1945 - KZ Dachau, Oberbayern, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 30 ans. Membre du réseau "Comète".
MOTTE André Léon Joseph , né le 16 juin 1874 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France, mort à l'hopital suite à des blessures au combat le 29 juin 1916 à Vadelaincourt, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 42 ans. Sous-lieutenant au 340°d'infanterie.
MOTTE Édouard Joseph Louis Marie, né le 16 mars 1890 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, mort au combat le 7 août 1918 à Morvillars, Territoire de Belfort, Bourgogne-Franche-Comté, France , à l’âge de 28 ans. Brigadier au 111°Régiment d'Artillerie Lourde.
MOTTE François Alfred Edouard, né le 29 janvier 1893 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France. Tué à l'ennemi le 10 juin 1915 à Hébuterne, Pas de Calais, Nord-Pas de Calais, France , à l’âge de 22 ans. Inhumé - Beaumont-Hamel, Somme, Picardie, France. Sergent au 243°d'infanterie.
MOTTE Joseph Louis Julien Marie, né le 14 août 1895 à Roubaix, Nord, France, tué au combat le 17 août 1914 à Dinant, Belgique, à l'âge de 19 ans. Caporal au 33°d'Infanterie.
MOTTE Joseph Marcel Édouard Mariené le 19 juin 1917 à Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France, tué au combat le 28 mai 1940 à Beaufort-en-Argonne, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 22 ans. Militaire au 45°RAD.
MOTTE Georges Paul Émile, né le 11 mars 1895 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, disparu au combat le 12 juin 1918 à Cutry, Aisne, Picardie, France , à l’âge de 23 ans. Sous-lieutenant au 273°d'Infanterie.
MOTTE Jean Marie Joseph, né le 26 mars 1889 - Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, décès à l'Ambulance anglaise de ses blessures au combat le 19 octobre 1914 à Radinghem-en-Weppes, Nord, Hauts-de-France, France , à l’âge de 25 ans. Lieutenant au 23° Dragons.
MOTTE Raymond, né le 6 octobre 1894 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué au combat le 18 septembre 1914 à Berry-au-Bac, Aisne, Picardie, France , à l’âge de 19 ans. Diplômé de l'Institut technique de Roubaix, caporal au 43°d'infanterie.
MOTTE René Antoine Alexandre Tiburce Anne Marie Joseph, né le 11 août 1890 à Heist, Knokke-Heist, West-Vlaanderen, Belgique. Disparu au combat le 10 juin 1915 à Hébuterne, Pas de Calais, Nord-Pas de Calais, France , à l’âge de 24 ans. Caporal au 243°d'infanterie.
MOURLON BEERNAERT Pierre Jules Michel Marie Bernard, né en 1889 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tombé au champ d'honneur à la bataille de l'Yser le 22 octobre 1914 à Stuyvekenskerke, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Avocat. Engagé volontaire, soldat de 2°classe au second carabinier.
MOUSSET Victor né le 24 juin 1906 à Mornimont, Jemeppe-sur-Sambre, Namur, Belgique, fusillé par les boches le 15 juillet 1944 à Hasselt, Limburg, Belgique, à l'âge de 38 ans. Agriculteur. Membre de l'AS.
MUSCH Jacques, né le 30 janvier 1920 à Liège, Liège, Belgique, fusillé par les boches le 4 septembre 1944 à Odet-en-Condroz, Clavier, Liège, Belgique , à l’âge de 24 ans. Avocat. Membre de l'Armée secrète.
NÈVE de MÉVERGNIES Ferdinand Marie Joseph Corneille, né le 9 septembre 1887 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 22 décembre 1944 au KZ Blumenthal, Schleswig-Holstein, Allemagne, à l'âge de 57 ans.
NÈVE de MÉVERGNIES Michel Benoît Louis Paul Marie Joseph Corneille, né le 3 juin 1923 à Ougrée, Seraing-sur-Meuse, Liège, Belgique et tué au combat le 9 avril 1943 à Todstead-Farm, England, United Kingdom , à l'âge de 19 ans.
NICOLET Lucien Hubert Joseph né le 21 octobre 1889 à Gomzé-Andoumont, Sprimont, Liège, BelgiqueTué au combat le 16 octobre 1918 à Wijnendale, Torhout, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ans et inhumé en 1918 à Keiem, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique. Soldat au 19° de ligne.
NICOLET Nicolas "Joseph", Né le 25 novembre 1889 à Cornesse, Pepinster, Liège, Belgique, tombé au champ d'honneur, suite d'une plaie au flanc droit provoquée par une balle de fusil, le 24 octobre 1915 à Reninge, Lo-Reninge, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Soldat de 2°classe au 4°de Ligne, 3/3.
OBERT de THIEUSIES Élisabeth, Vicomtesse Obert de Thieusies, née le 11 août 1893 à Thoricourt, Silly, Hainaut, Belgique, assassinée en mars 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 51 ans, Réseau "Comète".
OPSOMER Albert né le 22 mars 1918 à Kortrijk, West-Vlaanderen, Belgique, assassiné le 7 mars 1945 au KZ Mauthausen-Gusen, Bundesland Oberösterreich, Autriche / Österreich, à l'âge de 33 ans. Commandant de l'AS.
ORTEGAT Jacques né le 21 avril 1912 à Mechelen, Antwerpen, Belgique, disparu en mer le 16 décembre 1942, à l’âge de 30 ans. Officier de marine, captain Royal Navy.
OUDOT Marie Paul Adoïs , né le 7 mars 1872 à Vernierfontaine, Doubs, Bourgogne-Franche-Comté, France, tué à l'ennemi le 22 décembre 1916 à Saint-Thierry, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 44 ans.Caporal à la 8°Compagnie du 78°Territorial d'Infanterie
OUTTERS Gérard Antoine Marie Saint Clément, né le 31 mars 1895 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 24 septembre 1914 à Saint-Remy-la-Calonne, Meuse, Grand Est, France, à l'âge de 19 ans, Caporal au 67°d'Infanterie.
PAPEIANS de MORCHOVEN dit van der STREPEN Christian Albert Fernand Marie Ghislain, Chevalier, né le 28 juin 1915 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, mort au champ d'honneur, alors qu'il s'élançait à la tête de sa section à l'assaut de l'ennemi, le 26 mai 1940 à Dentergem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 24 ans. Docteur en Droit, Officier de réserve.
PAPEIANS de MORCHOVEN dit van der STREPEN Christian Édouard Marie Ghislain Ludovic, né le 27 août 1885 à Tournai, Hainaut, Belgique, décédé à l’hôpital le 24 octobre 1914 à Dunkerque, Nord, Hauts-de-France, France , à l’âge de 29 ans.
PARIS Willy , né le 28 février 1926, tué au combat à Chatkol, Corée / 한국-韓國, le 8 avril 1953, inhumé à Jupille-sur-Meuse, Liège, Liège, Belgique , 26 ans, Soldat volontaire au bataillon de Corée.
PATINY Alexis Ernest Jean Joseph, né le 7 août 1896 à Saint-Josse-ten-Noode, Bruxelles capitale, Belgique, assasiné par les nazis le 13 avril 1945 au KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 48 ans. Fonctionnaire au Ministère de la Défense nationale.
PECHER Jacques Marie Maximilien Edouard Gustaaf , né le 25 juin 1890 à Antwerpen, Belgique, tué au combat le 30 octobre 1914 à Kaeskerke, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 24 ans. Soldat de 2°classe au 10°de Ligne, Cie 2/2.
PELGRIMS Gérard Jean Marie Hubert Corneille né le 14 janvier 1893 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, mort au combat le 28 octobre 1914 à Ramskapelle, Nieuwpoort, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 21 ans. Soldat au 6°de Ligne.
PETIT Gabrielle Aline Eugénie Marie Ghislaine, Mlle Legrand dans le réseau. Née le 20 février 1893 à Tournai, Hainaut, Belgique, fusillée par les huns le 1er avril 1916 - Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 23 ans. Infirmière.
PIAT Henri César Georges Marie Joseph, né le 19 avril 1895 à Estaires, Nord, Hauts-de-France, France, blessé à mort au combat, mort le 20 décembre 1915 à Houdain, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, à l'âge de 20 ans. Première classe au 2° bataillon du 21° régiment d'Infanterie.
PICARD Marie Pauline, née le 23 septembre 1872 à Ixelles, Belgique, torpillée sur le Lusitania le 7 mai 1915 en mer du Nord, face à l'Angleterre, à l'âge de 42 ans, inhumée en mai 1915 à De Panne, West-Vlaanderen, Belgique. Infirmière.
PIERS de RAVESCHOOT Alfred Polydore Léon Désiré Marie Ghislain, né le 24 mai 1890 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, décédé de maladie le 24 octobre 1916 à Muaza, Congo-Kinshasa / République démocratique du Congo , à l’âge de 26 ans, inhumé à Dar-Es-Salaam- دار السلام, Tanganyika, Tanzanie. Sous-lieutenant au 2°de Ligne.
PIGEOT Lucien né en 1891 - Recogne, Libramont-Chevigny, Luxembourg, Belgique, disparu au combat à Boninne, Namur, Namur, Belgique le 23 août 1914, à l'âge de 23 ans. Soldat Deuxième Classe au 3°bn (III Bn) du 10°de Ligne (10 Li).
PIRMEZ Hermann Frédéric Charles Jean Joseph François Antoine Ghislain, baron, né le 28 octobre 1892 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique assassiné le 13 février 1945 au KZ Dachau, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l'âge de 52 ans.
PIRMEZ Maurice Emmanuel Emile Jeann Joseph Edouard Ghislain, Baron, né le 1er novembre 1919 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique assassiné le 18 août 1945 au KZ Coswig, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l'âge de 25 ans, membre de l'Armée secrète.
PIRSOUL Léon, né le 13 juillet 1885 à Bruxelles, Belgique, assassiné par les nazis le 15 décembre 1944 - au KZ Groß-Rosen, Niederschlesien, Allemagne, à l'âge de 59 ans. Professeur.
PLAYOUST Marcel Émile Marie Joseph, né le 18 août 1891 à Melbourne, Victoria, Australia. Tué à l'ennemi pendant la Bataille de la Somme le 4 septembre 1916 à Barleux, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 25 ans. Soldat au 5°d'infanterie coloniale.
PLAYOUST Stéphane Louis Émile, né le 13 juillet 1888 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, France, mort des suites de ses blessures le 16 avril 1917 à Juvincourt-et-Damary, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 28 ans. Sous-lieutenant au 82°d'Infanterie.
POELS Maximilien "Fernand" , né le 21 février 1889 à Dion-le-Val, Dion-Valmont, Chaumont-Gistoux, Brabant wallon, Belgique, tué au combat le 12 septembre 1914 à Tildonk, Haacht, Vlaams-Brabant, Belgique. Sergent-major au 1er carabiniers.
POLLET Édouard Louis Michel, né le 29 septembre 1882 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France tué au combat le 10 novembre 1914 à la Bataille de Bixschoote, Bikschoote, West-Vlaanderen, Belgique, à l’âge de 32 ans. Adjudant au 162°d'Infanterie.
POMPIDOU Antonin, Né le 17 novembre 1896 à Saint-Julien-de-Toursac, Cantal, Auvergne-Rhône-Alpes, France Tué à l'ennemi le 7 octobre 1916 à Chaulnes, Somme, Hauts-de-France, France, à l'âge de 19 ans. Soldat au 105°d'Infanterie.
POSWICK Ferdinand Jules Marie, né le 15 août 1864 à Pepinster, Liège, Belgique, décédé en prison le 30 août 1944 à Vught, Noord-Brabant, Nederland , à l’âge de 80 ans, membre du réseau Clarence.
PREUD'HOMME Charles Albert Michel, né le 12 juin 1893 à Huy, Liège, Belgique, tombé à l'ennemi le 26 août 1914 à Haacht, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 21 ans. Soldat de seconde classe au 7°de Ligne
PROUVOST Jacques Marie Joseph, né le 15 mars 1894 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, disparu au combat sur le champ de bataille le 1er janvier 1915 à La Harazée, Vienne-le-Château, Marne, Grand Est, France , à l’âge de 20 ans. Soldat de 2°classe au 87°d'infanterie.
RAILLARD Louis Auguste "Henri", né le 15 juin 1883 à Saint-Marc, Brest, Finistère, Bretagne, Fance, tué au combat le 17 décembre 1914 à Ovillers la Boisselle, Somme, Picardie, France, à l'âge de 31 ans, capitaine au 19° régiment d'Infanterie.
RAILLARD Henry, né le 26 avril 1916 à Brest, Finistère, Bretagne, France assassiné en 1943 au KZ Oranienburg-Sachsenhausen, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 27 ans.
RENIER Gustave Ferdinand Joseph, né le 30 novembre 1867 à Waremme, Liège, Belgique, mort au combat en 14-18, frappé par un éclat de grenade le 12 septembre 1914 à Beigem, Grimbergen, Vlaams-Brabant, Belgique , à l’âge de 46 ans. Capitaine-Commandant au 1° de Ligne.''
RENKIN Paul Louis Jules Laurent, né le 15 mai 1886 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 24 avril 1915 à Stuivekenskerke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique. Officier de carrière, Avocat, Sous-lieutenant au 9°de ligne .
RENNOIR Ernest, né le 26 février 1876 à Namur, Namur, Belgique, tombé à l'ennemi le 6 août 1914 à Liège, Liège, Belgique , à l'âge de 38 ans. Officier de carrière, capitaine au 11°de Ligne.
RÉQUILLART Paul Antoine Marie Joseph né le 6 janvier 1892 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, décédé le 19 septembre 1914 - Roucy, Aisne, Hauts-de-France, France , à l’âge de 22 ans. Sergent au 8°d'Infanterie.
RICHARD Marcel, né le 23 octobre 1914 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné le 28 janvier 1945 au KZ Flossenbürg, Oberpfalz, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 30 ans.
ROELANTS Jacques Guillaume Marie "Alphonse", né le 23 juillet 1894 à Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique, tombé au combat le 13 octobre 1914 à Kalebrug, Merendree, Nevele, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Maréchal des logis au 1°Guides 3°escadron.
ROBERT-JONES Adolphe John Edmond né le 15 juillet 1891 à Saint-Gilles, Bruxelles capitale, Belgique, mort à l’hôpital de campagne l'Océan, de ses blessures, fragments d'obus à l'intérieur du crâne le 5 mai 1917 à Hoogstade, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Sous-Lieutenant au 14°de ligne.
ROBERT-JONES Robert , né le 13 octobre 1893, fusillé par les boches le 20 octobre 1943 - Schaerbeek, Bruxelles capitale, Belgique , à l’âge de 50 ans. Membre du réseau "Comète".ROBIN Jacques,né le 28 février 1901 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné par les nazis le 18 octobre 1944 au KZ Güsen, Mauthausen, Autriche/Österreich, à l'âge de 43 ans. Avocat, conseiller communal de Bruxelles. Officier traitant de l'Armée secrète.
ROLAND-GOSSELIN Joseph Jean André, né le 24 août 1897 à Paris, Paris, Île-de-France, France, tué à l'ennemi au combat de Maulogi le 21 juillet 1918 à Hartennes-et-Taux, Aisne, Hauts-de-France, France, à l'âge de 20 ans. Caporal au 4°Zouaves.
ROLAND-GOSSELIN Louis François Marie Joseph, né le 12 mai 1891 à Paris, Paris, Île-de-France, France, blessé à mort au combat le 4 octobre 1914 à Arras, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, à l'âge de 23 ans. Maréchal des logis au 15°Dragons.
ROLAND-GOSSELIN Marie Maurice Gabriel "Michel", né le 21 janvier 1889 à Paris VIII°, Paris, Île-de-France, France, nlessé à mort au combat et décédé le 13 janvier 1916 - Barly, Pas-de-Calais, Hauts-de-France, France, à l'âge de 26 ans.adjudant au 27°Dragons.
ROLIN Gustave Marie Alberic Sylvain, né le 3 novembre 1892 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, mortellement blessé au combat et mort le 22 mai 1918 à Oostduinkerke, Koksijde, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Capitaine en second au 18°d’artillerie, 2°groupe, 2°batterie.
ROLIN Hippolyte Charles Léon Louis, né le 6 mai 1883 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 27 août 1914 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique , à l’âge de 31 ans. Lieutenant d'Artillerie.
ROLIN Louis Emiel Maria Alberic, né le 14 septembre 1886 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué à l'ennemi le 22 avril 1915 à Ieper, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ans. Engagé volontaire, soldat de 2°classe au 6° d'artillerie, batterie 102.
ROLIN Philippe , né le 27 juin 1923 à Brasschaat, Antwerpen, Belgique, tué au combat lors de l'attaque du pont sur le canal à Veele le 12 avril 1945 - Veele, Vlagtwedde, Groningen, Nederland , à l’âge de 21 ans. Sergeant, Escadron parachutiste SAS belge.
ROLIN Yves, né le 27 juillet 1921 à Brasschaat, Antwerpen, Belgique, abattu en combat aérien le 21 octobre 1944 à Szombathely, Hongrie / Magyar Köztársaság , à l’âge de 23 ans. Officier de carrière, lieutenant, passé à la RAF.
ROLIN HYMANS Gustave, né le 15 avril 1900 à Liège, Liège, Belgique, tué en combat aérien le 11 mai 1940 à 's Herenelderen, Tongeren, Limburg, Belgique , à l’âge de 40 ans. Inhumé à 's Herenelderen, Tongeren, Limburg, Belgique. Pilote de chasse, 1°sergent canonnier.
ROOMAN d'ERTBUER Jacques Ghislain, né le 1er février 1897 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, blessé mortellement et mort le 2 juin 1918 à Hoogstade, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 21 ans. Volontaire de guerre. Étudiant. Adjudant au 6° de Ligne, 3°bataillon.
ROUSSEL François Edmond, né le 5 septembre 1888 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France, tué à l'ennemi à l'attaque de la ferme de Mouvent, le 10 juin 1915 à Hébuterne, Pas-de-Calais, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France , à l’âge de 26 ans. Sergent au 243°d'infanterie.
ROUYR Henri Nicolas, né le 25 avril 1893 à Liège, Belgique, tué au combat à Merckem, Belgique le 8 mars 1918 à l'âge de 24 ans. Employé. Soldat de 2°classe au 14°de Ligne, 11°compagnie.
SAINT FLEURET Élie Joseph, né le 23 novembre 1882 à Le Cayrol, Aveyron, Midi-Pyrénées, France. Mort de maladie à l’hôpital auxiliaire 204 le 28 avril 1917 - Saint-Marcellin, Isère, Rhône-Alpes, France , à l’âge de 34 ans. Marchand de vins. Soldat de 2°classe au 342°d'Infanterie.
SALMON Dieudonnée, terrassée par une crise cardiaque à son arrestation le 14 janvier 1943. Membre du réseau "Clarence".
SCRÉPEL Paul Carlos Marie Joseph, né le 5 février 1867 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, décès à l'hôpital mixte d'Amiens de maladie contractée en service le 10 décembre 1918 à Amiens, Somme, Hauts-de-France, France , à l’âge de 51 ans.Capitaine au 1°RIT.
SECHEHAYE Paul "Pierre" Joseph, né le 5 février 1897 à Petit-Rechain, Verviers, Liège, Belgique. Décédé des suites de pleurésie contractée après avoir été gazé sur le front de l'Yser le 20 août 1918 à Nice, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France , à l’âge de 21 ans. Caporal au 1°régiment de Chasseurs à pied.
SCHEPPERS de BERGSTEIN Joseph Marie Antoine Maximilien Ghislain, né le 3 novembre 1894 à Mechelen, Belgique, assassiné par les nazis le 12 octobre 1944 au KZ Buchenwald, Thüringen, Allemagne, à l'âge de 49 ans.
SCHMITZ Claude Alain, né le 23 novembre 1919 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique, tombé en plein ciel le 26 août 1944 à Borre, Nord, Hauts-de-France, France , à l’âge de 24 ans. Pilote de chasse.
SCHOENMAECKERS Michel Ghislain Joseph Marie, né le 5 décembre 1919 à Rekem, Lanaken, Limburg, Belgique assassiné le 15 juin 1944 au KZ Sonnenburg, Słońsk, Województwo lubuskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska, à l'âge de 24 ans.
SERVAGNAT Henri Maurice, né le 20 juillet 1871 au Puy-de-Dôme, Auvergne-Rhône-Alpes,France, tué à l’ennemi pendant le combat du 30 juin 1915 au Bois de la Gruerie, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 43 ans. Lieutenant Colonel au 155e régiment d'infanterie (155e RI)
SIMON Jean, né le 7 octobre 1892 à Nancy, Meurthe-et-Moselle, Lorraine, France, décédé des suites de blessures le 27 mars 1917 - Montmirail, Marne, Champagne-Ardenne, France, à l'âge de 24 ans. Lieutenant au 4° Chasseurs.
SHERIDAN André Georges Marie Joseph, né le 6 mars 1868 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique morts de blessures de guerre le 4 mai 1916 au Le Mans, Sarthe, Pays de la Loire, France, à l'âge de 48 ans. Capitaine-Commandant au 4°Lanciers.
SNOY Ferdinand Philippe Marie Ghislain Baron , né le 22 septembre 1896 à Melsbroek, Steenokkerzeel, Vlaams-Brabant, Belgique, mort en captivité le 4 novembre 1940 à Eichstätt, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 44 ans. Capitaine au 1°Guides, prisonnier de guerre, mort en captivité à l'Ofslag VII B.
SOENENS Christian Marie Jules Joseph Ghislain, né le 14 novembre 1893 à Sint-Denijs-Westrem, Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé au champ d'honneur le 19 février 1916 à Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 22 ans. Caporal au 8°de Ligne, 2 Bn., 7 Cie.
SOENENS Robert Marie Clément Joseph Ghislain, écuyer, né le 23 janvier 1892 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tombé au champ d'honneur le 31 octobre 1914 - Veurne, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 22 ans. Soldat de 2°classe au 9°de Ligne, 1 Bn., 4 Cie.
SPETH Philippe Alfred, né en 1924, tué au combat le 22 avril 1945 à Capelle aan den IJssel, Zuid-Holland, Nederland , à l’âge de 21 ans. Soldat à la Brigade Piron.
STAATH Eugène né le 28 décembre 1905 à Paris, Paris, Île-de-France, France, décédé le 30 juin 1940 , à l'âge de 34 ans. Soldat au 620° pionniers.
STINGLHAMBER Guy Marie Isidor Léopold Eugène Emile Joseph, né le 2 avril 1901 à Leuven, Vlaams-Brabant, Belgique, exécuté à la hache le 22 mai 1944 à Brandenburg, Potsdam, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 43 ans. Lieutenant parachutiste SAS.
TAYMANS Charles Gustave Marie Joseph Ghislain né le 14 août 1896 à Tubize, Brabant wallon, Belgique, tué à l'ennemi le 15 octobre 1918 à Thourout, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 22 ans. Sous-lieutenant d'infanterie au 10e de Ligne.
TAYMANS Jean Paul Thadée Marie Joseph Ghislain né le 31 mars 1883 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, tué à l'ennemi le 28 novembre 1917 à Merckem, Houthulst, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 34 ans. Notaire. Adjudant au 19° de Ligne.
TAYMANS Pierre Eugène Marie Joseph Ghislain Thadée, né le 25 juin 1884 à Mont-Saint-Guibert, Brabant wallon, Belgique mort de ses blessures le 14 octobre 1918 à Hoogstade, Alveringem, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 34 ans. Avocat. 1° maréchal des logis au 5°Lanciers.
TERLINDEN Étienne Charles Antoine Joseph Marie, né le 10 février 1891 à Schaerbeek, Belgique, tué au combat le 5 octobre 1914 à Duffel, Antwerpen, Belgique, à l'âge de 23 ans. Licencié es lois, avocat. Volontaire de guerre, soldat de 2°classe au 1°Grenadiers.
TERLINDEN Robert Georges Jules Marie, né le 25 novembre 1886 à Saint-Gilles, Bruxelles capitale, Belgique, tué au combat le 4 octobre 1914 à Kissignies, Ruanda-Urundi, à l'âge de 27 ans. Sous-lieutenant aux 1°Lanciers.
TÉZENAS Guy Pierre Marie né le 21 novembre 1923 à Bormes-les-Mimosas, Var, Provence-Alpes-Côte d’Azur, France, tué au combat du Haut-Rhin le 25 janvier 1945 - Haut-Rhin, Grand Est, France, à l'âge de 21 ans. Caporal au 22e bataillon Nord-Africain (22e BNA).
THIRIEZ Maurice, né le 16 octobre 1894 à Lille, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi lors de l'offensive du Chemin des Dames au moulin de Laffaux le 8 mai 1917 à Laffaux, Aisne, Hauts-de-France, France, à l'âge de 22 ans. Maréchal des Logis chef du 9° Cuirassiers.
THURET François Théodore né le 27 avril 1903 - Paris, Paris, Île-de-France, France, tué au combat le 27 mai 1940 à Avelin, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France , à l’âge de 37 ans. Militaire au 605e RP.
THURET Pierre Gustave Eugène Achille né le 22 octobre 1888 à Paris VIII°, Paris, Île-de-France, France, tombe héroïquement à l'ennemi a l’assaut de la grande dune le 28 janvier 1915 à Lombardsijde, Middelkerke, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 26 ans. Officier de carrière. Lieutenant au 7°tirailleurs algériens.
TIBERGHIEN Georges Polydore Auguste, né le 18 décembre 1883 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FranceDécédé le 7 mai 1915 dans le torpillage du Lusitania, au large de l'Angleterre, à l’âge de 31 ans.
TIBERGHIEN Henri Paul Augustin Marcel Joseph, né le 23 août 1888 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi près de la Ferme Navarin, le 7 octobre 1915 à Souain-Perthes-lès-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 27 ans. Lieutenant au 273°d'infanterie, 21°Cie.
TIBERGHIEN Jacques Marie Joseph, né le 8 septembre 1892 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué à l'ennemi le 28 février 1916 au ravin de la Dame, Douaumont, Meuse, Lorraine, France , à l’âge de 23 ans. Aspirant au 8°d'Infanterie.
TIBERGHIEN Jules, né le 29 janvier 1892, décédé le 10 septembre 1917 à Ooigem, Wielsbeke, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 25 ans. Sergent aviateur à l'escadrille Spad 31.
TIBERGHIEN Maurice Charles Paul Joseph, né le 18 novembre 1893 à Tourcoing, Nord, France blessé mortellement au combat le 11 avril 1915 aux Éparges, Meuse, Lorraine, France, à l'âge de 21 ans. Sous-Lieutenant au 43°d'Infanterie, 11°compagnie.
TIBERGHIEN Robert Marie Joseph, né le 28 avril 1891 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, FranceDisparu au combat dans la nuit du 28 février au 1er mars 1915 à Mesnil-Les Hurlus, Wargemoulin-Hurlus, Marne, Champagne-Ardenne, France , à l’âge de 23 ans. Caporal au 8°d'Infanterie.
t'KINT de ROODENBEKE Edmond né le 16 septembre 1891 à Valenciennes, Nord, Hauts-de-France, France, décédé le 1er mai 1915 - De Panne, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 23 ans. Etat-major.
TORDOIR Arthur Edouard , né le 14 octobre 1891 à Incourt, Brabant wallon, Belgique, décédé le 30 septembre 1918 à Vinkem, Veurnes, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 26 ans. Soldat infirmier au 3 Bn. 13 °de Ligne , 5 Cie
TOULEMONDE Bernard Pierre Marie Joseph, né le 22 septembre 1912 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué au combat le 8 juin 1940 à Eeklo, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 27 ans. Soldat au 406 e RDCA.
TOULEMONDE Henri Charles Marie Joseph, né le 24 juin 1892 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 19 août 1914 à Dinant, Namur, Belgique, à l'âge de 22 ans. Caporal au 33°d'Infanterie.
TOULEMONDE Jean Émile Joseph, né le 17 avril 1891 à Tourcoing, Nord, Hauts-de-France, FranceDécédé le 14 juin 1918 Blessé à la cuisse au combat. La gangrène gazeuse s'installe et le tue à l'hôpital Saint- Louis à Paris, Paris, Île-de-France, France , à l’âge de 27 ans. Maréchal des Logis, 1°escadron du 6°Chasseurs.
TOULEMONDE Marc Henri Clément Marie, né le 10 janvier 1909 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué le 14 juin 1940 à Dosches, Aube, Grand-Est, France , à l’âge de 31 ans. Soldat au 1°train des équipages.
TOULEMONDE Paul Emile Clement, né le 25 juin 1894 à Roubaix, Nord, Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Francetué au combat le 15 août 1914 à Dinant , à l’âge de 20 ans. Caporal au 33°d'Infanterie.
TRÉSIGNIES Léon , né le 26 mars 1886 à Bierges, Wavre, Brabant wallon, Belgique, tué à l'ennemi le 26 août 1914 à Pont-Brûlé, Grimbergen, Vlaams-Brabant, Belgique , à l'âge de 28 ans. Caporal du 3°Bataillon du 2°Chasseurs, 2°Compagnie.
USANDIZAGA Françoise , née le 29 août 1908, assassinée par les boches le 12 avril 1945 - KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 36 ans. Membre du réseau "Comète".
van DELFT Jacques, né le 15 juillet 1915 à Ginneken, Breda, Noord-Brabant, Nederland, mort le 4 septembre 1944 à Sint-Andries, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 29 ans
van den HOVE d'ERTSENRYCK Albert, né le 20 août 1908 à Charleroi, Hainaut, Belgique tué au combat le 15 septembre 1940 à Wye, Kent, South East, England, United Kingdom , à l’âge de 32 ans. Capitaine de la RAF.
van de KERCHOVE d'HALLEBAST Valéran, né le 13 août 1893 à Tournai, Hainaut, Belgique, tombé à l'ennemi le 26 août 1914 à Betekom, Begijnendijk, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 21 ans. Sous-lieutenant au 4°Lanciers - 5°escadron.
van der BURCH Yves Horace Adrien Marie Ghislain, Comte, né en 1918, assassiné par les nazis le 16 mars 1945 au KZ Flossenbürg, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 27 ans. Membre du réseau "Les Amis de Charles".
van der BURCH Guillaume Baudouin Marie Arthur Ghislain, Comte van den Burch, né le 11 août 1880 à Jambes, Namur, Namur, Belgique, blessé à mort au combat le 10 août 1914 - Orsmaal-Gussenhoven, Linter, Vlaams-Brabant, Belgique, à l'âge de 33 ans, Lieutenant au 3°Lanciers, 1°groupe, 2°escadron.
van der PLANCKE, Albert Amedee Frederic Marie Ghislain, né le 13 octobre 1887 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique. Décédé le 16 septembre 1916 à De Panne, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 28 ansInhumé le 18 août 1921 à Sint-Kruis, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique. Soldat de 2°classe au 4°Génie, Cie des Pionniers.
VANDERREST Georges Léon Joseph Marie Ghislain, né le 29 octobre 1887 à Bruxelles, Bruxelles capitale, Belgique tué au combat le 22 octobre 1914 à Stuyvekenskerke, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 26 ans, volontaire de guerre, soldat de 2°classe au 2°Carabiniers.
van der STRATEN WAILLET Gérard Frédéric Paul Joseph Ghislain, baron van der Straten Waillet, né le 12 mars 1914 - Marche-en-Famenne, Luxembourg, Belgique, assassiné par les nazis le 23 mai 1940 à Roeselare, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 26 ans, prêtre, aumônier militaire.
van de VELDE Adrien, né le 9 février 1903 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 29 janvier 1945 au KZ Dachau, Oberbayern, Bayern, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 41 ans.
van de WALLE Arnould Antoine Gunther Marie Joseph Ghislain, né le 3 janvier 1898 - Brugge, West-Vlaanderen, Belgique. Fusillé par les nazis le 16 juin 1944 - Brunswick-Braunschweig, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 46 ans. Capitaine commandant. Membre de la Légion belge.
van de WALLE de GHELCKE Paul Antoine Jacques Léon né le 18 février 1917 à Ixelles, Bruxelles capitale, Belgique, tombé au combat, en plein ciel en Mer du Nord. le 8 février 1942 - En mer , à l’âge de 24 ans. Pilote aviateur de chasse RAF.
van de WERVE de SCHILDE Robert Marie Joseph Barbe Ghislain, né le 18 novembre 1885 à Antwerpen, Belgique, assassiné par les nazis le 28 août 1944 au KZ Buchenwald, Thüringen, Allemagne, à l'âge de 58 ans.
van de WERVE de VORSSELAER Léon Alfred Marie Joseph Ghislain né le 14 octobre 1919 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique tué au combat le 3 février 1945 - Dalfsen, Overijssel, Nederland , à l'âge de 25 ans.Pilote de chasse à la R.A.F.
van ELDER Yvonne, née le 6 juillet 1895 à Saint-Gilles, Bruxelles capitale, Belgique, assassinée par les nazis le 25 mars 1945 - KZ Bergen-Belsen, Lohheide, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 49 ans. Prisonnière politique.
VAN HERCK Laurent François Lucien né le 29 décembre 1891 à Geel, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 4 mai 1916 à Kaaskerke, Diksmuide, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 24 ans. Infirmier.
van MALE de GHORAIN Baudouin Léon Jeanne Marie Joseph Ghislain, né le 1er juin 1908 à Grotenberge, Oost-Vlaanderen, Belgique et tué au combat le 18 mai 1940 à Brasschaat, Antwerpen, Belgique , à l’âge de 31 ans
van NEROM Cécile, Alias: Tante Ursule, née en 1897, lâchement assassinée par les boches en 1945 au KZ Ravensbrück, Brandenburg, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 48 ans. Membre du réseau "Comète".
van OOST Henri, né le 3 janvier 1925 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, fusillé le 26 février 1945 à Aalst, Oost-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Sous-lieutenant de l'Armée Secrète.
van OOST Paul, né le 14 mars 1920 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, prisonnier de guerre, assassiné par les nazis lors de l'avance des Russes en 1945 , à l'âge de 25 ans.
van OUTRYVE d'YDEWALLE Hubert Étienne Auguste, chevalier, né le 21 avril 1909 à Sint-Andries, Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les nazis le 4 avril 1945 à Straubing, Bayern, Allemagne, à l'âge de 35 ans, Docteur en droit au barreau de Bruges. Bourgmestre de Beernem. Membre de l'"Armée secrète".
VANPRAAG Maxime, Noms de code sont « Rouleau », « Eric » ou encore « Monsieur Jean ». Né le 26 septembre 1910 à Saint-Gilles, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné par les boches le 6 avril 1945 à KZ Dora-Mittelbau, Nordhausen, Thüringen, Allemagne / Deutschland, à l'âge de 34 ans. Avocat. Commandant du réseau Zéro.
van SANTEN Albert Louis, né en 1882 à Meldert, Belgique. Décédé le 20 février 1915 à Langensalza, Thüringen, Bundesrepublik Deutschland , à l'âge de 33 ans, soldat de 2° classe au 13° de Ligne.
Van SPAENDONCK François Theodore Pieter Maria, né le 11 février 1920 à Tilburg, Noord-Brabant, Nederland, assassiné par les nazis le 4 mars 1945 au KZ Buchenwald, Thüringen, Allemagne, à l'âge de 25 ans.
van SPAENDONCK Robert Franciscus Antonius Ignatius né le 30 juillet 1916 à Tilburg, Noord-Brabant, Nederland, fusillé par les boches le 26 mai 1944 à Loon op Zand, Noord-Brabant, Nederland, à l'âge de 27 ans. Résistant armé.
van RUYMBEKE Émile Kenneth Vésale Lothaire , né le 5 juillet 1890 à Aurora, Illinois, United States of AmericaDécédé de ses blessures le 28 septembre 1918 à London, Greater London, England, United Kingdom , à l’âge de 28 ans. Officier.
van ZUYLEN van NYEVELT Émile Anselme Marie Joseph Alfred Ignace Ghislain, Baron, né le 27 août 1874 à Brugge, West-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 10 août 1914 à Namur, Namur, Belgique , à l’âge de 39 ans.
van ZUYLEN van NYEVELT Étienne Jean Marie Ghislain, né le 29 mai 1916 à Ginneken en Bavel, Noord-Brabant, Nederland, tué en combat le 6 avril 1943 en mer du Nord , à l'âge de 28 ans. Sergent aviateur volontaire à la RAF, 609° Squadron.''
VERHAEGEN Alfred Arthur Stanislas Gabriel Corneille, né le 26 août 1921 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, décédé le 26 septembre 1944 - Thorn, Maasgouw, Limburg, Nederland , à l’âge de 23 ans
VERHAEGEN Jean Baptiste Marie Corneille, écuyer, né le 9 octobre 1892 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné par les teutons le 17 février 1945 - KZ Schandelah, Niedersachsen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 52 ans.
VERHAEGHE de NAEYER Michel, né le 24 septembre 1925 à Oostende, West-Vlaanderen, Belgique tué en action le 4 septembre 1944 à La Gorgue, Nord, Hauts-de-France, France.
VERHEYDEN Theofiel Joseph Ferdinand Albert, "Frère Samuel", né le 5 février 1917 à Lubbeek, Vlaams-Brabant, Belgique, tué le 30 mai 1940 à Willemstad, Moerdijk, Noord-Brabant, Nederland, à l'âge de 23 ans. Moine bénédictin, brancardier au 7°de Ligne 1° bataillon et 4°cie.
VERHOOSEL Louis Henri, né le 14 juillet 1892 à Antwerpen, Antwerpen, Belgique, tué au combat le 23 avril 1915 à Steenstrate, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique, à l'âge de 22 ans. Soldat de seconde classe au 1°Grenadiers 3/3.
VERWILGHEN Joseph Maria Albert Corneel, né le 7 mars 1891 à Sint-Niklaas-Waas, Oost-Vlaanderen, Belgique tué au combat le 1er novembre 1914 à Torhout, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 23 ans. Soldat de seconde classe au 8° de Ligne, 4/1.
VERWILGHEN Theodoor Maria Firmijn Corneel, né le 8 juin 1894 à Sint-Niklaas-Waas, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 21 octobre 1914 à Ramskapelle, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 20 ans. Soldat de seconde classe au 3° de Ligne, 1/2.
VIENNE Jean Marie Joseph, né le 12 janvier 1895 à Tourcoing, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France, tué au combat le 9 novembre 1916 à la bataille de la Somme, Sailly-Saillisel, Somme, Picardie, France , à l’âge de 21 ans. Aspirant au 161°d'Infanterie.
VILLIERS Algernon Hyde, né le 1er février 1886 à Chelsea, London, Greater London, England, United Kingdom, mort au combat à la Bataille de Cambrai, le 23 novembre 1917 à Cambrai, Nord, Hauts-de-France, France, à l'âge de 31 ans. Lieutenant, Lothians and Border Horse attached to Machine Gun Corps.
VINÇOTTE Gérard, né le 28 mars 1920 à Woluwe-Saint-Lambert, Bruxelles capitale, Belgique, assassiné le 30 novembre 1944 au KZ Groß-Rosen, Rogoźnica, Województwo dolnośląskie, Pologne / Rzeczpospolita Polska , à l’âge de 24 ans. Adjudant A.R.A.
von und zu TRAUTTMANSDORFF-WEINSBERG Josef Hieronymus né le 30 juin 1894 à Ormož, Styria, Slovénie-Republika Slovenija, fusillé par la Gestapo le 13 avril 1945 - Sankt-Pölten, Bundesland Niederösterreich, Autriche / Österreich , à l’âge de 50 ans.Membre du Groupe de résistance Kirchl-Trauttmansdorff.
WARIN Georges Adonis, né le 31 octobre 1887 à Pâturages, Colfontaine, Hainaut, Belgique. Tué au combat de Bois-Saint-Jean, le 6 août 1914 - Ougrée, Seraing-sur-Meuse, Liège, Belgique , à l’âge de 26 ans. Sergent au 9°de Ligne.
WATTINNE Henri Jules Adèle Marie Joseph, né le 14 février 1885 à Roubaix, Nord, Hauts-de-France, France, tué à l'ennemi le 22 janvier 1915 à La Harazée, Vienne-le-Château, Marne, Grand Est, France, à l'âge de 29 ans. Soldat de 2°classe au 94° d'infanterie.
WILLEMOT Gérard Guillaume Edouard Marie, né le 15 mai 1901 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, assassiné le 19 février 1945 au KZ Dora-Mittelbau, Weimar, Thüringen, Allemagne / Deutschland , à l’âge de 43 ans. Assureur, Lieutenant ARA, réseau Luc-Marc.
YSEBRANT de LENDONCK Gérard , né le 29 juillet 1892 à Gent, Oost-Vlaanderen, Belgique, tué au combat le 27 mai 1940 à Langemark, Langemark-Poelkapelle, West-Vlaanderen, Belgique , à l’âge de 47 ans. Major de cavalerie.
4 - Malgré nous.
DEWALQUE Maurice Louis Marie Alexandre, né le 23 septembre 1920 à Malmedy, Liège, Belgique et y décédé le 28 mars 1999 - Malmedy, Liège, Belgique , à l’âge de 78 ans.
HEYEN Gustave, né le 13 juin 1913 dans les cantons de l'Est, décédé le 5 février 1943 à Stalingrad - Volgograd-Волгоград, Russie / Российская Федерация , à l’âge de 29 ans. Boucher.
5 - Curieux, extraits de nos Chroniques de famille. Il faut dire que cette bonne vieille nostalgie n’est plus ce qu’elle était.
LE MONDE DE MES ANCETRES : Charles Quint était l'héritier des Habsbourg, des ducs de Bourgogne et de l'Espagne. Lors de son abdication (1555) à Bruxelles, il partage entre son frère (le Saint-Empire Germanique) et son fils (la généralité des dix-sept provinces des Pays-bas et l'Espagne) et les Pays-Bas sont dénommés les Pays-Bas espagnols (la Hollande, la Belgique). Après la mort de Charles Quint (1556), les Pays-Bas du Nord obtiennent finalement leur indépendance sous le nom de Provinces-Unies. Les Pays-Bas espagnols se limitent à la Belgique. En 1714, les Pays-Bas du Sud, passent des Habsbourg d'Espagne aux Habsbourg d'Autriche et deviennent les Pays-Bas autrichiens. En 1795, la France annexa l'ensemble du territoire de la Belgique actuelle. En 1814 : Chute de l'Empire, la Belgique, en 1815, est intégrée au Royaume des Pays-Bas. Le 4 octobre 1830, l'indépendance est proclamée par le gouvernement provisoire. Le 4 juin 1831, Léoplod 1er devient le premier roi. 1865 - 1909 : Léopold II, 1909 - 1934 : Albert 1er, 1934 - 1951 : Léopold III, 1951 - 1993 : Baudoin 1er, 1993 - 2013 : Albert II, 2013 - : Philippe 1er
L’inventeur du jeu d’échec, était, dit-on, égyptien. Lorsqu’il eut donné à Pharaon les règles de son jeu, Pharaon, enthousiaste, lui demanda ce qu’il voulait comme récompense."Peux-tu, Puissant Pharaon, mettre un grain de riz sur la première case et doubler le nombre obtenu à chaque case ?"Le Pharaon sourit de cette demande modeste, et donna ordre d’apporter une poignée de riz. Sur la case 1, 1 grain, case 2, 2 grains, case 3, 4 grains, case 8, 128 grains, case 11, 1.024 grains, Pharaon ne riait plus, on alla chercher un boisseau. Case 19, 262.144 grains. Maintenant, c’est par charrettes qu’on apporte le riz, et Pharaon s’obstine. Case 23, 4.194.304 grains, case 29, 536.872.012 grains, case 30, 1.073.745.024 grains, case 31, 2.147.490.048 grains, et ma calculette refuse d’aller plus loin, la production entière d'Égypte n’y suffirait pas.Telle est notre lignée. En 1000 ans, nous n’avons que 31 ancêtres directs, père, grand-père et ainsi de suite, mais 1 milliard de couples se seraient unis en l’an mille pour engendrer chacun de nous. Infiniment plus que l’Europe et le monde entier ne portaient d’habitants à ce moment, car les estimations donnent à cette époque 235 millions d'individus dans le monde, soit 1/8 seulement des humains nécessaires…..Deux milliards d’aïeux, en l’an mille est-ce possible ? Cela est possible mathématiquement, mais cela ne tient pas compte des innombrables croisem*nts entre cousins, proches ou plus ou moins proches qui représente bien 90% de notre lignée. Mais cela prouve, qu’après 1.000 ans, tout le monde descend de tout le monde et rend bien stupides nos querelles de clochers. Je vais, pour nos ancêtres lointains, essayer de prendre dans l’histoire des milliers d’inconnus dont nous descendons et sans lesquels nous ne serions pas là, les anecdotes amusantes ou singulières. Mais je vais me contenter de l’Histoire tournant autour de ceux qui sont reconnus membres de notre famille.Le destin de nos ancêtres fut aussi varié que tous les destins du monde réunis, la plupart moururent dans leur lit, après une vie sans histoire. Mais certains tombèrent sous les coups des Vikings, d’autres furent tués à Bouvines, Courtrai ou Azincourt, sur l’Yser ou à Verdun, à Stalingrad, dans les camps des nazis ou au combat contre eux, d’autres encore moururent de la peste ou au bout d’une corde, sur les bûchers de l’Inquisition ou sous le couteau d’un assassin. Certains furent bourreaux et d’autres victimes. Certains furent Rois, d'autres manants. Il y en avait à la prise de Jérusalem. Tous ont laissé dans nos gènes ce qui fait notre monde d’aujourd’hui.
1099, juin, vendredi, 15. Au lever du soleil, les oliphants sonnent dans le camp des croisés qui s’avancent pour attaquer une fois de plus. Godefroi et son jeune frère Eustache de Boulogne arrivent à s'approcher des murailles à bord de cette tour recouverte de peaux de bêtes fraîchement écorchées et ainsi protégées du feu que, du haut de leurs remparts jettent les Sarrasins.. Comme un géant de bois, la lourde tour craque et oscille en s’avançant, lentement, très lentement près du coin N.-E. de la muraille. De la fumée monte vers le ciel. Les Turcs musulmans du haut des murs, jettent des fa*gots en flammes, déversent des chaudrons d’huiles brûlantes et de poix enflammée. Leurs hululements aigus, triomphants d’abord, mais de plus en plus rageurs et angoissés, emplissent l’air étouffant. Mais la tour de bois avance encore, écrasant les corps des tués, et Godefroy de Bouillon donne l’ordre de couper les cordes qui retiennent le pont-levis. Un flamand du nom de Lethold de Tournai fut le premier à mettre le pied dans la ville, suivi de son frère, Englebert. Godefroy prend pied sur le rempart. Eustache est à sa droite et Baudouin du Mont le suit. Ils sautent dans la fournaise des hourds en feu, leurs longues épées sifflantes fouillent la fumée devant eux. Tancrède de Hauteville mène l'assaut sur la partie ouest et est l'un des premiers croisés à entrer dans la ville. Il fait des centaines de prisonniers, tente de les conduire dans l'asile d'une mosquée. Notre ancêtre, Gozalon de Bohagne, à la tête de ses hommes d’armes se rue à leur suite. Frappant sauvagement de leurs lourdes haches de forestiers, les Ardennais avancent dans la masse des assiégés, qui peu à peu perd du terrain. Tous les défenseurs de la ville s'enfuirent des murs à travers la cité et les nôtres les suivirent et les pourchassèrent en les tuant et les sabrant jusqu'au temple de Salomon, où il y eut un tel carnage que les nôtres marchaient dans leur sang jusqu'aux chevilles.Entrés dans la ville, nos pèlerins poursuivaient et massacraient les Sarrasins jusqu'au temple de Salomon, où ils s'étaient rassemblés et où ils livrèrent aux nôtres le plus furieux combat pendant toute la journée, au point que le temple tout entier ruisselait de leur sang. Enfin, après avoir enfoncé les païens, les nôtres saisirent dans le temple un grand nombre d'hommes et de femmes, et ils tuèrent ou laissèrent vivant qui bon leur semblait. Au-dessus du temple de Salomon s'était réfugié un groupe nombreux de païens des deux sexes, auxquels Tancrède et Gaston de Béarn avaient donné leurs bannières en guise de protection. Les croisés coururent bientôt par toute la ville, raflant l'or, l'argent, les chevaux, les mulets et pillant les maisons, qui regorgeaient de richesses.Puis, tout heureux et pleurant de joie, les nôtres allèrent adorer le Sépulcre de notre Sauveur Jésus et s'acquittèrent de leur dette envers lui. A travers l’incendie et les nuages de fumée, les tours de Jérusalem dressent leurs sommets dans le ciel bleu. Dans le lointain, dominant les crépitements des quartiers en flammes et la rumeur confuse de la bataille, des chants s’élèvent. Jérusalem est conquise, Jérusalem est nôtre.
1113. Renaud I de BAR, dit le Borgne, comte de Bar, de Mouson, de Brie & de Verdun, fut pris dans le château de Bar par l'empereur Henry V. l'an 1113. Ce prince alla ensuite assiéger Mouson, & voyant que les habitans faisoient une vigoureuse défense, il fit élever une potence & menaça d'y faire attacher le comte, s'ils ne se rendoient, les assiégez demandèrent jusqu'au lendemain pour délibérer, la nuit même la comtesse de Bar qui s'étoit enfermée dans Mouson accoucha d'un fils, auquel les bourgeois prêtèrent aussitôt serment de fidélité, & le lendemain ayant été sommez de nouveau d'ouvrir leurs portes, ou que leur comte alloit être pendu, ils répondirent que cela les inquiétoit moins à présent, qu'ils avoient un nouveau comte. (Père Anselme de Sainte-Marie)
1348 Ordre de la Jarretière Le nobilissime ordre de la Jarretière (de l'anglais : Most Noble Order of the Garter) est un ordre de chevalerie britannique, par Édouard III.La création de cet ordre fut décidée par le roi lors d'un bal à Calais, où il dansa avec sa maîtresse, la comtesse de Salisbury. Celle-ci avait, en dansant, fait tomber sa jarretière. Le roi, galamment, la ramassa sous les quolibets des danseurs, la mit à son genou et coupa court aux railleries par ces mots : "Messieurs, honni soit qui mal y pense. Ceux qui rient maintenant seront très honorés d'en porter une semblable, car ce ruban sera mis en tel honneur que les railleurs eux-mêmes le chercheront avec empressem*nt."Cet ordre, aujourd'hui le plus ancien ordre de chevalerie qui subsiste encore, rassemblait autour du souverain vingt-cinq chevaliers, membres à part entière. Les hommes sont appelés chevaliers compagnons, et les femmes dames compagnons. L'ordre inclut aussi des membres supplémentaires (de la famille royale ou des souverains étrangers), appelés chevaliers et dames surnuméraires.La devise de l'ordre est : "Honi soit qui mal y pense", avec un seul n, certainement à cause de l'orthographe moins contraignante de l'époque.Les chevaliers et dames de l'ordre sont nommés par la reine sans consultation du premier ministre. Il s'agit du plus grand honneur du Royaume-Uni, à l'exception de l’ordre du Chardon en Ecosse.
1431 Toison d'Or. Mai, 31. On brûle à Rouen Jeanne. Elle est vendue aux Anglois par le bon duc Philippe de Bourgogne, heureux de venger ainsi l’assassinat de son père. Car si la fille inspirée meurt criminelle, le Roi oint par elle cesse d’être royal et redevient le douteux dauphin qui a ordonné par un signe secret la boucherie où est mort Jean Sans Peur. Notre famille est alors féale aux Rois de France. Par pas dévouement aveugle, mais parce que la Principauté de notre beau pays de Liège se sent plus en sécurité sous la protection lointaine d’un Roi de France pas trop sûr de son trône que d’un Duc de Bourgogne trop proche et trop puissant. De plus, nous sommes apparentés à la couronne de France.Le bon duc Philippe a créé l’ordre de la Toison d’or. Cette chevalerie qui a commencé dans une alcôve à Bruges. Une dame rousse, ici et là, une dame très rousse a querellé son ducal amant. Et pour se faire pardonner, le duc a créé l’ordre de la toison d’or, la veille de son mariage que notre rouquine lui reprochait…. Cet ordre si célèbre de la chevalerie n’est qu’une plaisanterie de cavalier et qui plus est, Philippe a fait croire à sa future femme qu’il le créait en l’honneur de leur mariage.Philippe le bon, effrayant lors de ses colères, mais pardonnant vite, ce qui explique probablement le surnom que lui a gardé la postérité, aimant la bonne chère, était d'une sensualité débordante (trente maîtresses connues).
Ainsi donc les deux ordres les plus célèbres de l'Occident ne sont que des hommages aux maîtresses royales.
1818 Décembre, la neige bloque les routes et les ménestrels qui habituellement venaient chanter Noël n'avaient pas pu arriver. Joseph Mohr, alors prêtre des Alpes autrichiennes, composa un chant pour Noël et l'apprend à ses paroissiens.Et en ce jour de Noël 1818, pour la première fois monta vers le ciel cette douce mélodie qui fera et pour l'éternité, depuis, le tour du monde à chaque Noël.Les raisons de la composition du chant ne sont pas certaines. Une autre hypothèse serait que l'orgue vieillissant de l'église n'était plus en état et que Mohr et Gruber ont alors créé un chant destiné à être accompagné à la guitare.
Douce nuit, sainte nuit !Dans les cieux ! L'astre luit.Le mystère annoncé s'accomplitCet enfant sur la paille endormi,C'est l'amour infini !C'est l'amour infini !
1830, août. La petite histoire veut qu'en 1830, un fermier s'inquiéta des escarmouches dans les rues bruxelloises à l'occasion de la révolution brabançonne. Il cacha un lot de racines de chicorées dans une cave sombre de Schaerbeek. Pour être certain de ne pas être découvert, il cacha son installation sous quelques pelletées de terre. Quelques semaines plus tard il retourna chercher son trésor et quelle ne fut pas sa stupéfaction de voir apparaître les gros bourgeons blancs qui ornaient ses racines: le chicon ou witloof était né!
1883 Aout, 27. Krakatoa était une île qui mesurait 9 km de long sur 5 km de large. Elle était couverte d’une végétation luxuriante typique des régions tropicales humides.Dormant depuis 1680, le Krakatoa s'est réveillé ce 20 mai. L'activité décroît pendant quelques semaines, mais, le 19 juin, de nouvelles explosions se produisent. Les bateaux continuent pourtant à emprunter le détroit de la Sonde : celui qui passe le 14 août navigue dans l'obscurité pendant quatre heures tellement les émissions de cendres sont épaisses.L'apocalypse commence le 26 de ce mois à 13 heures : une violente explosion est entendue à plus de 50 km du volcan, suivie d'une autre, encore plus forte vers 14 heures, puis d'une série de détonations sans cesse plus violentes jusque vers 17 heures. L'explosion de 14 heures a été accompagnée de projections fantastiques de cendres dont une partie est propulsée à plus de 27 km de hauteur et dont une autre partie retombe, recouvrant tout dans un rayon de 160 km autour du Krakatoa, plongeant toute cette région dans une nuit totale.À 10h02, aujourd'hui, l'éruption projette 20 km3 de rochers dans l’atmosphère et forme un immense trou béant au fond de la mer. Des millions de litres d’eau s’y engouffrent, provoquant une deuxième explosion gigantesque. Puis vient enfin le pire, une explosion effroyable, le bruit le plus fort entendu par des oreilles humaines est entendu dans toutes les Indes néerlandaises bien sûr, mais aussi au centre de l'Australie, à Alice Springs, et dans le sud-ouest de l'océan Indien, dans l'île de Rodrigues, situées respectivement à 3 500 et à 4 800 km du Krakatoa. Dans un rayon de 160 km autour du volcan, la nuit est totale pendant vingt-deux heures, quelques vitrines éclatent, des becs de gaz s'éteignent. Un énorme tsunami balaya les côtes faisant 36.000 morts. Il parcourut des milliers de kilomètres avant de perdre de sa force. On le signala jusqu’à San Francisco.Une mer colossale (aussi haute peut-être qu'un cocotier) déferle à plusieurs reprises les 26 et 27 août sur les côtes de Java et de Sumatra. Dans les régions basses bordant le détroit de la Sonde, tout est balayé, détruit, tordu, emporté par des vagues monstrueuses venant les unes après les autres.À Marak, une vague de 46 mètres déferla sur la ville ; quand elle se retira, rien n’indiquait que l’endroit ait jamais été habité. À Teluk Betung, grand port de la région de Sumatra, l’eau monta à 22 mètres, nivelant tout.Une oscillation anormale des eaux a été enregistrée par les marégraphes jusque dans le golfe e Gascogne et dans la Manche, à 18.000 km du lieu de la catastrophe.Le bruit de l'explosion fut entendu sur environ un douzième de la surface de la terre ce qui en ferait le phénomène sonore le plus important de l'histoire humaine.Le panache de cendres volcaniques monta à 40 km dans l’atmosphère, accomplit plusieurs fois le tour du globe, et répandit suffisamment de particules pour abaisser la température moyenne mondiale de 0,25°C l’année suivante. Ces poussières furent également à l’origine des couchers de soleil flamboyants, puis rouge lie-de-vin qui inspirèrent nombres d'artistes, ainsi que des colorations vives inhabituelles de la lune. Dans plusieurs villes des States, des lueurs rougeoyantes furent prises pour des incendies et l’on fit appel aux pompiers.Ces phénomènes, provoqués par la diffraction de la lumière par les particules de lave pulvérisées montées dans la stratosphère, se manifestèrent pendant environ trois ans.Mais l’éruption a eu des effets bénéfiques sur l’environnement local. Un an seulement après le cataclysme, de l’herbe pointait sur les bouts d’îlots épargnés. Deux ans plus tard, 26 espèces de plantes y poussaient et en 1924, ces fragments de terre étaient recouverts d’une forêt dense. Les régions proches comme Lampung, infertiles avant l’éruption, devinrent très fertiles. Cela attira une population importante.On estime par ailleurs que cette éruption permit la survie du rhinocéros de Java.À Java, plus de 100 millions de personnes vivent sous la menace constante d’une trentaine de volcans. Mais la richesse des terres permet jusqu’à trois récoltes de riz annuelles.
1900 Mai, 17. Commencé en octobre de l’an dernier, le siège de Mafeking est levé. Baden-Powel a gagné. La guerre des Boers lui a donné l'occasion de prouver ses indéniables qualités militaires. Gouverneur de la place de Mafeking assiégée par les Boers, il a soutenu le siège pendant 217 jours contre des forces nettement supérieures, sans flancher. Aux 10.000 assaillants, il ne peut opposer qu'un millier d'hommes, mais il pallie cette infériorité numérique par une excellente organisation des ressources humaines dont il dispose : il emploie des jeunes garçons à des tâches de ravitaillement, de transmission de messages ou d'éclairage, ce qui lui permet d'affecter tous ses combattants à des missions défensives. Les compte rendus de la presse confèrent au siège de Mafeking et à son rusé défenseur une importante notoriété en Angleterre. Une fois Mafeking délivrée par une colonne de secours commandée par le général Mahon et le colonel Plumer, Baden-Powell devient un véritable héros populaire. Il est nommé major-général pour faits de guerre et reçoit le commandement de la police montée sud-africaine (South-African Constabulary), de 1900 à 1903.
1908 Avril, 9. J’ai assisté aujourd’hui à un spectacle grandiose. Une revue des troupes en l’honneur de l’anniversaire de Léopold II. C’est un des malheurs des Rois de ne pouvoir vieillir en cachette et que ce soient des centaines de trompettes et tambours qui annoncent à tout le peuple que son Roi se rapproche de l’ombre hospitalière d’une crypte sinistre. J’étais sur les marches du palais de Justice, abrité par le péristyle colossal de ce géant de pierre et j’avais sous les yeux l’admirable perspective de la rue de la Régence. La foule grouillait, palpitait sous un soleil caniculaire.Un état-Major, scintillant, doré, pommadé, serré sous l’uniforme et maîtrisant des chevaux excités par la foule ouvrait le cortège. Puis, des régiments d’infanterie suivis de la cavalerie. De la masse des troupes, jaillissaient mille éclairs des épées, des plaques, des casques. L’ensemble des troupes défilait en sections nettement définies, les carabiniers, en jaune, les grenadiers en rouge, les guides, jaunes et panaches blancs. Et lentement, à pas cadencés, les troupes descendent la pente, régiment par régiment, formidables masses animées d’un monde ordonné et débouchant sur la place tambours battant la mesure donnée par la canne à pommeau d’argent d’un énorme tambour-major, très crâne, le poing sur la hanche jonglant avec sa canne et marquant du heurt saccadé de toute sa personne la mesure aux caisses tonitruantes le suivant. Électrisées, les troupes défilent devant l’état-major, raides, mécaniques, alignées au cordon. Le bataillon passe, précédé de ses officiers qui jettent des commandements brefs et se figent pour passer devant le général dans une attitude glacée, pétrifiée sur deux jambes martelant le pavé et faisant sonner les éperons. Les grenadiers apparaissent, annoncés par leur éclatante musique, reîtres énormes et crânes auxquels le bonnet à poil donne un air féroce et terrible, puis, parade de la cavalerie, chevauchée des guides, trop beaux, trop magnifiquement costumés sur leurs splendides chevaux. Enfin, la clôture, l’artillerie dans le tonitruant fracas de ses caissons et de ses craches-la-mort. C’est un beau spectacle, beau par l’ordre, la symétrie. A voir nos troupes, d’allure régulière, de bonne tenue, d’importance et si disciplinées, nous nous sentons envahis de confiance. C’est une garantie pour les jours de danger.
Un objet est tombé le 30 juin 1908, à 7h17mn11s heures locales (minuit chez nous), dans la vallée de la rivière Toungouska pierreuse, un affluent du Iénisséi, le grand fleuve sibérien. Au-dessus du site de l'explosion, des flammes et un nuage de fumée, que des témoins comparèrent à une "fontaine de feu", furent observés montant vers le ciel à une hauteur supérieure à 20 km. Les Toungouzes, seuls et rares habitants de la région, crurent que c'est leur dieu du feu, Ogdy, qui tombait sur la Terre. La nuit du 30 juin au 1er juillet 1908, fut exceptionnellement brillante partout en Europe et en Sibérie occidentale. Dans le Caucase, dans le sud de la Russie, la nuit fut si claire qu'il était possible de lire à minuit sans l'aide d'une lumière artificielle. Les nuits suivantes furent encore nettement plus claires que la normale. Cet effet, dû à la dispersion d'un très abondant nuage de poussières abandonnées dans l'atmosphère avant ou pendant l'explosion qui diminua très lentement et dura pratiquement deux mois, jusqu'à la fin août.
Décembre, 28. Un épouvantable désastre a ravagé les côtes de Calabre et de Sicile. Il mourut ce jour-là, à l'extrémité de la péninsule italienne, en une nuit d'épouvante, cent cinquante mille personnes. Il y a deux villes face à face, Reggio en Calabre et Messine en Sicile. Ces deux villes ont été ravagées par un tremblement de terre suivi d'un raz-de-marée d'une puissance colossale. Puis le feu s'est déclaré partout pour compléter le travail de destruction des éléments. Tout s'est écroulé, chaque maison est devenue le tombeau de ses occupants. Et pour faire mourir ces 150.000 êtres, il a à peine fallu le temps d'une pierre tombant dans un puits. Toute l'Italie est devenue le refuge d'une cohue de blessés qui viennent gémir ou mourir le plus loin possible de la catastrophe. Sur les routes errent des affamés, des pauvres sans logis, sans pain, vêtements réduits en guenille. 1.000 orphelins demandent des parents qu'ils n'ont plus, mille autres des parents blessés ou fous, mille parents demandent à tous les échos où sont leurs enfants… L'horrible débandade! La Calabre n'est plus aujourd'hui qu'un charnier. Une bande de loups à face humaine s'est ruée en meute, parmi les ruines fumantes et les râles des mourants, pour les achever et voler, piller les ruines. Pour contrer ces vautours, l'armée a été réquisitionnée et a disputé le champ de mort aux pillards. Ordre a été donné d'abattre les pillards, sans procès.
1909, octobre, 1. En débarquant à Düsseldorf nous avions remarqué dans la physionomie de la ville et des habitants quelque chose d'insolite. Une fièvre couvait. Toute la ville se portait dans le sens de panneaux portant l'inscription "Z III". Il s'agissait du Zeppelin et toute la ville s'était mise à la sauce Zeppelin. Chez le marchand de cigares, d'énormes cigares figuraient un ballon dirigeable, les charcutiers donnent la forme du Zeppelin à leurs boudins. Chez le papetier, lithographes, photographes un amoncellement de zeppelins de toutes les grandeurs, en peinture, gravures, aquarelles, photographie, fusain, etc. Et partout le portrait du comte von Zeppelin. Dans dix ans qu'en restera-t-il? Le Zeppelin aura alors mille concurrents et nous serons habitués à voir notre ciel obscurci par le voyage de mille vaisseaux aériens. Mais aujourd'hui, les audacieuses excursions du comte von Zeppelin à bord de son colossal ballon dirigeable sont vraiment des choses merveilleuses et admirables. Le dirigeable partait de Francfort le matin à 6 heures. A 8 heures les habitants de Düsseldorf se ruent déjà malgré la pluie vers la plaine d'atterrissage. Et le Zeppelin n'est arrivé qu'à 6 heures. Il y avait un enthousiasme indescriptible. Les éditions spéciales des journaux paraissent d'heure en heure et se distribuent gratuitement dans les rues, les cafés et les trams. On se bat pour en obtenir un exemplaire. J'ai gardé un de ces journaux. On suit l'aéronaute d'heure en heure, au-dessus de chaque ville, village ou hameau. En quittant Düsseldorf, nous n'y pensions plus. En arrivant à Cologne, nous étions assis tout paisiblement dans notre compartiment. Devant nous, deux militaires songeaient et ne disaient mot, deux autres voyageurs dormaient. J'avais le nez collé à la vitre et je contemplais la cathédrale. Et au moment où le train s'engage sur le pont, nos compagnons de route tantôt si silencieux bondirent de leur place vers la fenêtre et crient: "Die Zeppelin, die Zeppelin!" Et nous avons vu le Zeppelin III en plein vol. Une masse formidable, longue, grise et brillante, glissant majestueusem*nt au-dessus du rhin. Le train s'arrête, vite nous descendons et courrons à l'extrémité des quais. Une cohue nous y a précédés. Le Zeppelin passait alors au-dessus du pont. L'impression est inoubliable, le spectacle dépasse toute imagination. Une énorme machine, longue comme un cuirassé, immense et cependant élégante est suspendue dans les airs à 80 mètres de hauteur environ. Elle évolue lentement, avec une certaine grâce, faisant des boucles au-dessus du Rhin. Dans les nacelles suspendues sous le ballon on voit distinctement des formes humaines. Les quais du Rhin, le pont, la gare, les toits sont couverts d'une foule extasiée. Les trams sont arrêtés, des grappes d'hommes accrochées aux montants et aux plates-formes. Toute la vie s'arrête dans la contemplation de cette merveille. J'ai compris l'enthousiasme des Allemands quand j'ai eu la chance d'être témoin de cet exploit. Je suis si empoigné par cette vue que je n'ai que trop tard l'idée de le photographier.
Décembre, 17. Mort du Roi Léopold II. Voici en quelques lignes le résumé d'un roman de 10 ans, que j'espère avoir été d'amour et non vénal. Fille de fonctionnaire, Blanche Zélie Joséphine Delacroix, alias Caroline Lacroix, est née à Bucarest, le 13 mai 1883. Léopold II, son aîné de cinquante ans l'a rencontrée en 1899, alors qu'elle avait seize ans en est tombé éperdument amoureux. N'oublions pas que le mariage royal, qui se terminera en 1902 par la mort de la Reine, n'était pas un mariage d'amour, mais un mariage arrangé pour motif dynastique. Or ce mariage s'était plus ou moins dissous, le Roi n'ayant pas conservé d'héritier mâle. Prestige royal, calcul intéressé, amour sincère et réciproque, fascination, nul ne le saura, mais Blanche répond à l'amour du roi. Il la comble de cadeaux tels le château de Balaincourt dans le Val d'Oise et la Villa des Cèdres à Cap Ferrat où il a acquis un d'immense domaine. Il la fait aussi baronne de Vaughan au grand scandale des Belges et de la Cour. Le roi eut deux fils de cette union qu'il finit par conclure d'un mariage morganatique cinq jours avant sa mort. Lucien Philippe Marie Antoine (1906-1984) et Philippe Henri Marie François (1907-1914) furent adoptés en 1910 par le second mari de la baronne Vaughan, Antoine Durrieux qui leur donna son nom. Il n'y eut pas de descendance. Celle que Léopold aimait appeler Très-Belle s'éteignit le 12 février 1948.
1912, février. Antoine Depage (cousin d’Auguste Bareel) crée une aide médicale dirigée vers les Balkans. Il est parvenu à convaincre la Croix-Rouge d'envoyer quatre ambulances belges aux Balkans. Une est allée en Turquie (puis l'Empire de Tabouret), une autre en Bulgarie, et deux sont allées en Serbie. Marie (photo) et son fils aîné ont accompagné Antoine en Turquie. Dans une certaine mesure, Antoine et Marie étaient les précurseurs de"médecins sans frontières." Marie a participé à la gestion de l'ambulance belge de Kicha et qui a abrité 1.200 malades. À ce moment-là son équipe a dû traiter une manifestation de choléra venant de Constantinople. Antoine Depage a dénoncé les autorités qui ont emprisonné les malades dans les mosquées. La basilique de Sainte Sophie en a abrité 3.000 dans des conditions hygiéniques déplorables. Antoine écrira plus tard, "la terre de la mosquée célèbre était couverte de sept couches de tapis encrassé de quarante centimètres d'ordures parce que la mosquée n'avait plus été nettoyée depuis 1453."
Avril, 17. Éclipse de soleil. La prochaine aura lieu à la fin du siècle. Pendant un siècle les deux astres poursuivront leur éternel voyage dans l’espace et il faudra 80 ans de temps pour qu’ils se retrouvent dans une position à peu près semblable à celle qu’ils occupèrent aujourd’hui.Un fait divers de journaux. On lance un immense paquebot d’une Cie de navigation anglaise. C’est le plus grand et le plus luxueux des vaisseaux existants. Chargé d’émigrants, de noblesse, de milliardaires, il quitte le port pour effectuer son premier voyage qui doit être la traversée de l’Atlantique. Avec les frais qu’il a coûté, les frais du voyage, les bagages des passagers, il représente 40.000.000 francs. Au large de Terre-Neuve, il heurte une colossale banquise, un iceberg. Il est 10 heures du soir. À deux heures du matin, l’immense caravansérail, défini insubmersible, coule. Il n’en reste, pendant quelques minutes, qu’un formidable remous. L’océan a une profondeur de 3.200 mètres. Aucun être humain n’ira jusque là observer la destinée de ce navire et de ses passagers. (Mais si, mais si ! On y est allé en 2003) Grâce à la télégraphie sans fil, des vaisseaux qui croisaient non loin ont pu s’approcher et ont recueilli 800 passagers. Le reste près de 2.000, est broyé par la dent des squales (Réellement gelés à mort en moins d'un quart-heure). La population d’un village. Le nom du bâtiment est "Titanic".
Juin, vacances en Allemagne et mœurs bizarres outre-Rhin.Beaucoup d’étudiants avec leurs maîtresses. Rien n’est plus curieux à observer que le sérieux et l’affectation du cérémonial de présentation entre ces jeunes gens. Quantité de joues sont affreusem*nt balafrées.Il s’agit du résultat de la ''Mensur, une coutume tout à fait idiote des étudiants allemands. Les Allemands sont arrivés à croire que ce jeu n’est ni brutal, ni choquant, ni dégradant. Ils allèguent qu’il est l’école de sang-froid et de courage pour la jeunesse allemande. Mais l’étudiant allemand aurait besoin de beaucoup plus de courage pour ne pas se battre. Il ne se bat pas pour son plaisir, mais pour satisfaire un préjugé qui retarde de 200 ans. Le seul effet que produit sur lui la Mensur est de le rendre brutal. Il se peut que ce jeu exige de l’adresse, mais on ne s’en aperçoit pas. Ce n’est qu’un essai réussi pour réunir le grotesque, le dégradant et le déplaisant. Sur n’importe que prétexte, et même sans, ils se provoquent en duel, parfois plusieurs membres d’une confrérie défient une autre confrérie. La pièce est nue, sordide, les murs sont souillés d’un mélange de tâches de bière, de sang et de suif. Le plafond est enfumé, le plancher couvert de sciure de bois. Une foule d’étudiants riant, fumant, causant, quelques-uns uns assis par terre, d’autres perchés sur des chaises ou des bancs, forment le cadre. Au centre, se faisant face, les combattants sont debout, bizarres et rigides, avec de grosses lunettes protectrices, le cou bien enveloppé dans d’épaisses écharpes, cuirassés du col aux pieds d’une sorte de matelas sale et les bras ouatés tendus au-dessus de leur tête. Ils ont un air burlesque de personnage de pendule de la forêt noire. On donne aux combattants la position requise, le signal est donné et les lourds sabres s’entrechoquent : il s’agit d’infliger la blessure la plus hideuse au visage de l’adversaire. Il n’y a ni adresse, ni élégance dans le jeu, le plus fort, celui dont le bras emmailloté peut tenir le plus longtemps sans trop faiblir ce lourd sabre, soit pour parer, soit pour frapper, est le vainqueur. Tout l’intérêt du spectacle est dans les blessures. Elles sont toutes ou presque sur le sommet du crane ou la partie gauche du visage. Le sang gicle dans tous les sens, y compris sur les spectateurs, le sol est rendu glissant par la sciure imbibée de sang, mais ces imbéciles continuent jusqu’à ce que la figure soit toute en sang. Et pour soigner, on aggrave tant qu’on peut la cicatrice, exprès, on en rejoint mal les lèvres, en espérant que la cicatrice restera visible toute la vie. Chaque opération de pansem*nt est accomplie le plus brutalement possible. Le but de l’étudiant est de quitter l’université porteur du plus grand nombre de cicatrices. C’est très viril et provoque l’envie des écoliers et l’admiration des jeunes filles de la-bas !!! L’heureux propriétaire de quelques belles cicatrices peut espérer épouser une femme qui lui apportera une dot des plus confortables, au moins quelques dizaines de milliers de francs. Mais la bataille elle-même n’est que le commencement du jeu. Le second acte a lieu dans la salle des pansem*nts. Les docteurs sont d’habitude des médecins diplômés de l’an dernier et qui se font une clientèle. Ils prennent plaisir à leur boulot. Leur rôle est d’amplifier autant que possible les souffrances ce qu’un vrai médecin refuserait. La façon dont l’étudiant blessé supporte le pansem*nt compte autant pour sa réputation que la manière dont il a été blessé. Chaque opération est faite le plus brutalement possible, et les camarades épient la victime pour voir si elle traverse l’épreuve avec joie et sérénité.Le soleil se couche, sa pourpre incendie le Rhin, Bonn disparaît dans une auréole orangée. L’heure est inoubliable. Quatre étudiants avec leurs "dames", inspirés par de copieuses libations, chantent magnifiquement les belles chansons d’étudiants. À cette heure et là, cette mélodie est profondément impressionnante. Tandis que nous redescendions, ils s’interrompent pour nous lancer des quolibets et nous traiter d’Anglais. Ils cessent de chanter pour redevenir idiots et manifester leur ébriété. Les rues sont éclairées. Puis soudain, une façade sombre, quatre ou cinq fenêtres ouvertes. Quelques bougies sinistres vacillent sur des tables. Ce sont des étudiants qui tiennent une "commer". Ils ont éteint les lustres et allumés dans le goulot des bouteilles quelques chandelles. En cercle autour de la table, raides et silencieux, coiffé de la casquette à visière, ils boivent… C’est la Kneipe. La distraction consiste pour deux étudiants de s’insulter, naturellement pour rire. Ils se provoquent dans un duel à boire. On désigne un arbitre, on remplit les chopes de un litre et les hommes se font face, cramponnés à leurs verres. L’arbitre donne le signal du départ et on entend la bière descendre rapidement les pentes de gosiers. L’étudiant qui choque le premier le cul de sa chope vide sur la table est proclamé vainqueur. Parfois, on honore certains convives en leur portant un toast particulier, appelé "salamandre", qui est plus solennel. Tous se lèvent et se tiennent comme un régiment au garde à vous. Sind die Stoffe parat? Interroge le président. Sunt ! Répondons-nous d’une seule voix. Ad exercitium Salamandri, Eins ! Nous frottons nos verres d’un mouvement circulaire sur la table, Zwei, de nouveau les verres tournent, Bibite ! Et avec un ensemble automatique tous les verres sont vidés et maintenus en l’air. Eins ! Le pied de chaque verre vide frôle la table avec un bruit de ressac, Zwei ! Le mouvement reprend et meurt, Drei ! Les verres frappent la table et nous nous retrouvons assis.
1914, 4 août. À 8 heures 20, la première vague de felgrau franchit la frontière à Gemmenich, à 45 kilomètres de Liège. La gendarmerie belge ouvre le feu, puis se replie. Les troupes de défense montent en ligne. L’éclaireur belge de cavalerie, le cavalier Fonck du 2°Lancier découvre l’attaque et est abattu. Ce sera le premier mort belge de la guerre… Les Allemands se ruent sur Liège défendu par le Général Leman et la 3°DA ( division d’armée de 3 ou 4 brigades), renforcée d’une brigade de la 4°DA et des unités de forteresse. 30.000 Belges contre 80.000 Allemands en six brigades renforcées d’obusiers et de trois DC (division de cavalerie) sous le commandement du général von Emmich. Les Belges tiendront 10 jours, là où le Kaiser avait dit en zébrant l’air de sa main: "Je prendrai Liège comme ça". Le but du maréchal Moltke est de s’emparer des ponts de Liège, intacts, par une attaque brusquée. Les ponts de Visé sont détruits et défendus, le maréchal doit donc descendre plus au sud pour traverser la Meuse sur un pont d’équipage. Liège résiste aux Allemands, les forts leur tuent beaucoup d’hommes. Nous sommes fiers. Le colonel Dusart du second bataillon du 11ième de ligne a le triste privilège d’être le premier officier commandant tué à l’ennemi. Le bois Saint Jean où le 1er bataillon du 9°de Ligne occupait trois redoutes pour barrer le passage aux 38° et 43°brigades allemandes a laissé un souvenir hallucinant aux combattants tant belges qu’allemands. Les Allemands vont comprendre que s’ils avaient compté sur une résistance symbolique de la part de l’armée belge, ils se sont lourdement trompés. La 34°brigade allemande est vaincue cette terrible nuit dans les combats du 5 au 6 août 1914. La peur tenailla tellement la brigade allemande qu’elle repassa la Meuse avec les débris de ses unités et battit en retraite jusqu’à Mouland. Près de 900 soldats furent faits prisonniers et 1500 soldats ennemis furent mis hors combat. Le 7 août, les 12 Cies du 89°grenadiers furent réunies en 4 Cies dont l’effectif total ne dépassait pas 600 hommes ! Des 8 commandants de bataillon de la 34°brigade, un seul, un major commandant du II/90, sortit indemne du combat ! 180 soldats belges tombèrent lors de ce combat dont parmi eux les hommes du 3°bataillon du 12°de forteresse qui avaient les premiers enrayé de leurs tranchées la progression du 90°.Nosse colonel Dussard, li capitinne Rennoir èt saqwants aûtes sôdârts ont toumé-là, â tchamp d’oneûr. Mi, dj’a stu blessi d’ine bale di fusik è li spale. Mins on serdjant-major di m’rédjumint qu’esteût blessî, qu’aveût l’vinte drovou èt lès deûs djambes cassêyes, qui hoûléve di mâ, qwand i sépit qu’nosse Colonel èsteût touwé, i d’manda â commandant dèl Creû-Rodje dès Al’mands qu’on l’pwèrtasse dilé l’cwêrs dè colonel Dussard. Là, tot vèyant l’mwêrt al têre, li serdjant-majôr, qu’èsteût coûki, so ‘ne civîre, lèva s’tièsse tot l’salowant èt tot d’hant è flamind : « Adieu, mon Colonel, c’est pour la Patrie ! »…èt i mora. ("Notre colonel Dussard, le capitaine Rennoir et beaucoup d’autres soldats sont tombés là au champ d’honneur. Moi j’ai été blessé d’une balle de fusil dans l’épaule. Mais un sergent-major du régiment était blessé, il avait le ventre ouvert et les deux jambes cassées, il hurlait de mal. Quand il sut que notre Colonel était tué, il demanda au commandant de la Croix-Rouge allemande qu’on le porte près du corps de notre colonel. Là en voyant le mort par terre, le sergent-major qui était couché sur une civière, leva sa tête en saluant et en disant en flamand : «Adieu mon Colonel, c’est pour la patrie !» et il mourut."
12 août. Le général de Witte (qui deviendra baron de Witte de Haelen, l’arrière-grand-père de Pierre Scheppers de Bergstein) commande à Haelen une Division de Cavalerie (DC) et estattaqué par plus de 5.000 cavaliers allemands soutenus par 2.000 chasseurs à pieds et les 18 canons des 2° et 4° corps de cavalerie. Le général de Witte commandant la DC belge ne dispose que de 2.400 cavaliers (1° et 2°Guides, 4° et 5°Lanciers), 450 carabiniers cyclistes, deux compagnies du 1Cy, qui sèmeront tellement la terreur chez les Allemands qu'ils deviendront pour eux "Der Schwartse Teufel" et 3 batteries à cheval (six canons).Une longue colonne de cavalerie ennemie et d'artillerie a traversé Hasselt ce matin et marche vers l'ouest; une autre la double, par le sud. Ils sont dix régiments et des meilleurs, dragons et hussards, uhlans et cuirassiers, plus de cinq mille chevaux qui, flancs pressés, se hâtent. De 8 heures du matin à 18 heures, durant 10 longues heures d’enfer, nos soldats font face et repoussent les forces de l'ennemi pourtant plus de trois fois supérieures en nombre, qui lancent pas moins de huit charges de cavalerie pour prendre Haelen et arracher le village à nos diables noirs qui auront trente tués et plus de 100 blessés, et refouler le mince cordon de nos cavaliers démontés. Les cuirassiers pesants ouvrent la marche, ils viennent, gainés de gris, sur leurs chevaux énormes. Et voici que soudain les lisières de Haelen s'illuminent. Les « diables noirs » sont là. Une centaine, pas davantage, qui vont se battre pendant deux heures, transformant en autant de fortins les maisons du village, rompant et décimant l'attaque qui s'arrête, désemparée, puis s'étend, insidieuse, et prudente, à travers les fourrés. Nos vaillants carabiniers cyclistes sont déjà au feu et défendent chèrement les positions qu'ils occupent: avec le concours des pionniers-pontonniers cyclistes, ils ont fouillé la terre, approfondi les fossés, organisé les haies et les clôtures, barricadé les chemins et les routes, installé leurs fusils mitrailleurs aux endroits favorables et ils sont décidés à infliger un rude châtiment à l'envahisseur.Il faudra céder enfin, mais pas à pas, défendent chaque sillon, chaque buisson et pour faire front à l'autre bout du village, sur le chemin de fer, où l’échelon de réserve recueille les survivants. Tout à coup, l'avalanche des escadrons allemands surgit, et, dans un galop furieux, se précipite sur les fantassins, qui reçoivent le choc sans sourciller, à coups de feu et de baïonnettes. Les escadrons allemands, entraînés par leur élan, poursuivent leur route et arrivent vers les lanciers belges, qui ont mis pied à terre, en arrière des cyclistes, et qui reçoivent la charge par un feu roulant à courte distance. Le galop de ces masses hurlantes et cliquetantes fait vibrer le sol, les longues lances acérées et tenues en arrêt semblent devoir renverser tout sur leur passage; mais, à la première décharge des carabines de nos lanciers, aidés puissamment par les quatre fusils mitrailleurs que dirigent avec sang-froid les lieutenants Scouvemont et Ouverleaux, et de loin par le feu de trois escadrons du 1re guides, placés à droite du champ de combat, la masse pirouette et se désagrège. Les premiers escadrons sont suivis d'autres. Cette deuxième charge est reçue comme la première, la troisième comme la seconde. Sept charges successives sont ainsi écrasées.Les batteries allemandes, hors de portée des nôtres, crachent leurs feux sur nos troupes qui se lassent. Le moment est critique, il est 15 heures, les guerriers sont nerveux, épuisés, mais voilà que nos autres troupes qui marchaient au canon depuis des heures débouchent sur le champ de bataille. Ils sont partis à 10 heures de Hauthem-Sainte-Marguerite, à 25 kilomètres qu'ils viennent de faire à 5km/h, avec leur barda, sous le soleil, ce sont les fantassins de la 4° brigade mixte, envoyés par le G. Q. G. à la rescousse de la division de cavalerie. Ces hommes sont couverts de sueur et de la poussière d’une longue marche à allure forcée au soleil sur des chemins de sable. Ils vont, sans arrêt, par un soleil de plomb. Les chiens des mitrailleuses, privés d'eau, la gueule en feu, tombent d'épuisem*nt; les hommes les remplacent. Les trois batteries de la 4°brigade mixte (six canons) suivies des 4 bataillons des 4°et 24°de Ligne viennent de parcourir au pas accéléré 25 kilomètres par une chaleur torride. Les premiers arrivés aux environs du champ de bataille, entendant la mitraille se sont spontanément, sans recevoir d'ordre, mis au pas de course. Sans reprendre haleine, nos fantassins fourbus, harassés, pieds en sang se déploient, s'agenouillent sur place, épaulent, ouvrent le feu, contre attaquant furieusem*nt à la baïonnette et repoussent partout, en une charge héroïque, l'ennemi, le débusquant de nos hameaux et de nos fermes et lui font repasser la Gette dans le plus fâcheux désarroi. Le lieutenant Danneels, au plus fort de la mêlée ramasse l'étendard du 24°de Ligne, dont le porte-drapeau vient d'être foudroyé par une salve adverse, rallie les soldats hésitants devant la mort de presque tous leurs officiers à la tête de leurs troupes décimées et la vue du drapeau rétablit l'enthousiasme parmi les hommes et les conduit à la victoire. Le lieutenant Danneels sera tué à l'ennemi le 28 avril, en 1915.
Debout, au milieu de la route, méprisant les obus brisants qui abattent des chevaux autour d'eux, les shrapnells qui atteignent leurs chevaux de main, les balles qui sifflent dans les branches, le général de Witte et son état-major, donnant aux troupes l'exemple du mépris du danger, suivent les phases de la lutte. La bataille, quand déjà le soleil descendait à l'horizon, semblait encore indécise. A ce moment, nos artilleurs observent un mouvement de recul de la ligne ennemie qui, sous la poussée de notre infanterie, commence à refluer vers le pont et le village de Haelen. Aussitôt, ils font feu de tous leurs canons vers le couloir où s'engouffrent les fuyards; ceux-ci entraînent, malgré les efforts et les menaces des officiers, les régiments de cavalerie arrivant encore à la rescousse. La fuite, à la nuit tombante, dégénère en une débandade folle qui ne s'arrêta qu'à Hasselt et à Herck-Saint-Lambert où les troupes battues se fortifièrent hâtivement pour s'opposer à toute poursuite éventuelle. Des corbeaux jettent leur croassem*nt lugubre dans la nuit, presque noire déjà. La galopade des chevaux effarés et éperonnés cruellement par leurs cavaliers martèle le pavé. Sous la pluie incessante de projectiles belges, les dix régiments allemands, magnifiques le matin, ne forment plus qu'une cohue désordonnée qui foule aux pieds les fantassins, les morts et les blessés et abandonne les officiers et les généraux. A l'autre extrémité du champ de bataille, nous entendons s'élever les chants de victoire des troupes belges qui saluent leur premier fait d'armes.Les pertes allemandes seront lourdes, plus de 3.000 hommes tués. Les pertes du côté belge se montent à 22 officiers tués au combat et 1.100 hommes morts, blessés et disparus.Le champs de bataille jonché des casques allemands en nickel et chrome qui brillent comme de l'argent, fera que cette bataille prendra le nom de « bataille des casques d'argent ».
22 août. La 3°division d’infanterie coloniale française se bat à Rossignol. C’est un des grands désastres de la bataille des frontières. Ce corps d’élite, composé de volontaires a bivouaqué ici, et le lendemain à Rossignol l’unité entière, officiers, troupiers, intendants, infirmiers, clairon et musique était entourée et anéantie. Prise à partie par deux divisions allemandes, sans liaisons, la 3°DIC n’avait aucune chance. Comme toujours, les officiers français sacrifient leurs troupes au panache de l’attaque, tandis que le Hun sera lui économe de ses troupes.Il est près de huit heures, le 2°bataillon (de 750 à 1.000 soldats ) du 1°R.I.C. qui formait l'avant garde et qui marchait en colonne de route derrière les dragons, s'engage à gauche et à droite de la chaussée, pour forcer le passage. En face tout un régiment (4 bataillons ) allemand : le 157°R.I. Une lutte atroce à 1 contre 4 s'engage dans les sous-bois. Les clairons sonnent la charge sans arrêt et les Marsouins, en pantalon garance et képi, se lancent en avant, chargeant " Á la fourchette !" Les Allemands, plus prudents, en gris et casques d'acier, utilisent le terrain, des carrières et des levées de terre leur offrent des retranchements tout préparés. Leur feu est terriblement efficace et le 2°bataillon du 1er R.I.C. subit d'effroyables pertes. Alors le général français engage les deux autres bataillons du 1°R.I.C. Mais le Général commandant la XII°division silésienne, au lieu de chercher, comme son adversaire, à forcer le passage à tout prix, décide de déborder par l'ouest la résistance française. Pour ce faire, il engage, dès avant neuf heures, le 63°régiment d'infanterie soutenu par un groupe d'artillerie, sur les layons de la forêt de Chiny, qui débouchent au nord du village des Termes. À l'est, la XI°division qui progresse rapidement a des vues sur la cuvette Breuvanne-Rossignol où piétinent les gros de la 3°D.I.C. Le chef allemand apprécie rapidement et sainement la situation et, sans désemparer, pousse ses forces sur Tintigny et Saint-Vincent pour couper la retraite de la colonne française engagée au nord de la Semoy et qui ne dispose que du pont de Breuvanne pour se replier. Ce pont devient l'objectif prioritaire de l'artillerie de la XI°division et Breuvanne est menacé par un bataillon de grenadiers.À Rossignol, le général commandant français s'entête à vouloir forcer le passage, il engage deux bataillons du 2°R.I.C. pour soutenir le 1°régiment. Vers 10 heures le recul de tout le 1°régiment paraissant inévitable, il confie au général adjoint le soin d'organiser un centre de résistance à Rossignol ; le bataillon du 2°R.I.C. non engagé dans la forêt et le 3°R.I.C. (qu'un officier de liaison est allé chercher au sud de Breuvanne où il doit se trouver car il marche derrière l'artillerie divisionnaire arrêtée en colonne de route entre Breuvanne et Rossignol ) assureront la défense du village. Il n’y eut pas un seul rescapé. Les Allemands massacrèrent les Français, ne faisant aucun prisonnier et pour se venger de la résistance qu’ils avaient rencontrée assassinent tous les habitants civils de Rossignol qu’ils peuvent attraper.Le 1°Colonial eut plus de 2.000 tués, mais les Allemands en avouèrent 5.000.
26 et 27 août. Le 2°Chasseurs à Pied se distingua lors des trois premières sorties d'ANVERS et de l'attaque du Fort de BREENDONCK, le 4 septembre 1914. Après divers déplacements, le Régiment qui avait quitté Mons le 3 août 1914, gagna Willebroeck pour participer à partir du 21 août, à la défense du 4°secteur de la position fortifiée d’Anvers. Au cours de la première sortie, le 26 août, le 3°bataillon est arrêté dans sa progression par le canal de Willebroeck dont la rive Ouest est occupée par les Allemands. Le peloton du 1er Sergent-major Wery, auquel appartient Trésignies, a reçu l’ordre de franchir l’obstacle à Pont Brûlé, sur le territoire de Grimbergen. Les Chasseurs parviennent à atteindre la rive Est à hauteur du pont, mais celui-ci est levé et sa manœuvre se commande de la rive ennemie, il faut coûte que coûte, parvenir à abaisser le pont-levis. Trésignies se présente comme volontaire pour traverser le canal à la nage, griffonne quelques mots "Pour les miens, si je ne reviens pas." C’est sur un bout de papier, l’adieu suprême du soldat à sa femme, à son enfant. Un bout de papier qu’il remet à son chef de peloton et plonge. Ému par tant d’héroïsme, Wery lui crie : "Trésignies, au nom du Colonel, je vous nomme Caporal". Il parvient à atteindre le mécanisme du pont, mais il le manœuvre à l’envers. Ses camarades lui crient son erreur, il s’en rend compte et, tandis que le pont commence à s’abaisser, le Allemands ouvrent le feu, criblant de balles mortelles notre héroïque Chasseur.Le Caporal Trésignies fut cité à l’ordre du jour de l’Armée, à la date du 15 septembre 1914, en ces termes : "Ce militaire s’est offert à son Commandant pour traverser à la nage le canal de Willebroeck afin de glisser le tablier du pont qui devait se manœuvrer de la rive fortement occupée par l’adversaire. A été frappé mortellement pendant qu’il actionnait le mécanisme du pont. Sachant qu’ il allait à la mort, le Caporal Trésignies avec un courage d’une simplicité héroïque, a écrit son nom sur un bout de papier qu’il remit à un Sous-officier, puis partit pour ne plus revenir. Ce Caporal honore son Régiment, l’Armée et la Nation."
12 septembre. Midi. Les troupes belges refluent à Hansbrug. À la tête du pont se tient, à cheval, le général Bertrand, avec une escorte de trois gendarmes dont l’un porte son fanion. Devant, dans la plaine, l’enfer de la bataille. Tout à coup, c’est la panique et une houle de fantassins en troupe hachée par le feu des Allemands recule, croyant tout perdu. La mitraille fauche l’escorte du Général Bertrand. Celui-ci calme sa monture, met pied à terre, ramasse son fanion, saute en selle, le plante fièrement sur son étrier et, superbe, sortant un revolver d’une fonte, entraîne ses soldats repris d’enthousiasme en contre-attaque. Il est rejoint par le colonel Meiser qui a rassemblé tous les clairons qu’il a rencontrés. Il les groupe et fait sonner la charge pour une armée de fantômes. Le général Bertrand et le colonel Meiser botte à botte entraînent les restes des 9° et 14°de ligne, auxquels se mêlent les rescapés épars des autres régiments qui marchent au canon, en une contre-attaque foudroyante. Le Hun entendant sonner la charge par les clairons d’une division d’armée, voyant un fanion de général en tête de charge là où il croyait déjà avoir percé le centre de notre armée et l’avoir exterminé, hésite, puis recule et fuit devant cette charge d’une armée fantôme. L’assaut allemand a les reins rompus.
22 octobre.Ce même jour, pour repousser les Allemands qui ont franchi l'Yser à la soudure des 1 et 4 DA, et occupent la boucle de Tervaete, l’ordre arrive aux bataillons décimés, épuisés de se porter en avant. Henri François Marie d'OULTREMONT, notre «cousin», est major adjoint d'État-Major au 1er Régiment des Grenadiers, Officier de l'Ordre de Léopold, décoré de la Croix de Guerre et cité à l'ordre du Jour de l'Armée Belge pour avoir fait preuve d'une bravoure et d'un dévouement magnifiques, il commande le 1°Grenadier. Il reçoit l’ordre d’une contre-attaque suicide contre les têtes de pont allemandes. «Vous allez voir comment sait mourir un d’Oultremont» répondit-il à l'ordre d’attaquer à la baïonnette qui lui est donné. Puis il déposa son revolver désormais inutile sur la table de son supérieur, prit sa canne et rejoint son unité. L’attaque est prévue pour 16 heures.Le lieutenant Arthur Pasquier, un autre de nos "cousins" reçoit l’ordre de prévenir le major que l’attaque est reportée à 16h15. "Le plus grand et le plus hirsute des officiers des Grenadiers, lui dit un commandant, auprès duquel je me renseigne où trouver son supérieur. C’est bien cela, et je reconnais immédiatement ce brave officier, gesticulant avec sa canne et qui va trouver la mort dans cette attaque désespérée".A quatre heures 15, un clairon répété par d’autres sonne les notes stridentes de la charge, que l’on est surpris d’entendre dans cette fournaise.Le major chargea en courant vers les mitrailleuses ennemies, suivi de tous ses hommes qui n'hésitèrent pas à se faire tuer à ses côtés. "Il n'en imposait pas seulement à ses hommes par son indomptable courage, son idéal, son désintéressem*nt, sa compétence et son exemple de chaque jour ; ce grand seigneur était pour ses soldats d'une sollicitude et d'une urbanité exquise".La contre-attaque du 1°Grenadiers, furieuse, muette, désespérée, s'est brisée et perdue dans ce gouffre de mort, écrasée sous l'étreinte, couchée comme une moisson par le fauchage mortel de deux cents mitrailleuses.Mais elle a permis aux troupes épuisées de se reprendre...
Alors, on voit une chose splendide, inouïe et grandiose. Les lignes de soldats espacés se lèvent, courent de fossés en fossés. Tous les débris flottants se reforment en bloc; dans le rang renaissant chacun prend une place, au hasard de l'endroit où il s'est trouvé, les blessés se relèvent, s'incrustant dans la masse pour augmenter son poids; des secteurs les plus proches, des troupes accourent et se fondent aux autres. Puis tout s'ébranle, d'abord péniblement, d'un formidable effort, dans l'ouragan de fer; et, d'un sursaut farouche, un élan les jette dans les lignes prussiennes: fantassins, cavaliers, pionniers, artilleurs, soldats et officiers, valides et éclopés, tous se ruent pêle-mêle sur l'énorme adversaire, fonçant droit devant eux dans les brèches ouvertes au bout des baïonnettes. Par endroits, dans le chaos informe des troupes entremêlées, une ligne plus nette marque les points que les troupes voisines sont venues renforcer : là sous l'impulsion d'une énergie plus fraîche, se dessinent des saillants qui poussent en avant en entraînant le reste. Et de toute cette mêlée, couvrant les fracas grondants de la bataille, un cri monte, vainqueur, poussé par une seule voix dans trois mille poitrines, croissant, s'enflant sans cesse de son propre délire, courant sur toute la plaine comme une rumeur d'orage: "Vive le Roi! Vive la Belgique!..."
1915, Avril, 7, La ville de Van, à l'est de la Turquie, se soulève à l'instigation des Russes et proclame un gouvernement arménien autonome.24. Les nationalistes du gouvernement ottoman saisissent ce prétexte pour accomplir leur dessein d'éliminer la totalité des Arméniens. À Istanbul, capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement ottoman. C'est le début d'un génocide, le premier, mais hélas pas le dernier, du XXième siècle.Le ministre de l'Intérieur Talaat Pacha ordonne l'assassinat des Arméniens d'Istanbul puis des Arméniens de l'armée. C'est ensuite le tour des nombreuses populations arméniennes de l'est du pays.Voici le texte authentique d'un télégramme du ministre à toutes les autorités turques, civiles et militaires : "Le gouvernement a décidé de détruire tous les Arméniens résidant en Turquie. Il faut mettre fin à leur existence, aussi criminelles que soient les mesures à prendre. Il ne faut tenir compte ni de l'âge, ni du sexe. Les scrupules de conscience n'ont pas leur place ici".Les Arméniens sont massacrés sur-le-champ par l'armée ou réunis en longs convois et déportés vers le sud. Ces marches se déroulent sous le soleil de l'été, sans vivres et sans eau. Les gardes sont d'une cruauté totale, clouant des sabots de chevaux dans les pieds des notables. Elles débouchent sur une mort rapide. Au total périssent pendant l'été 1915 les deux tiers des Arméniens de Turquie, soit environ 1,2 millions de personnes.
Mai, 7. Torpillage du Lusitania. Marie Depage, née Picard, (cousine par alliance d'Auguste Bareel, le grand-père d’Anne-Isabelle) et le docteur James Houghton s'occupent de calmer plusieurs enfants et femmes, et de les aider à monter dans des bateaux de sauvetage. Marie fait aussi un bandage à la main de Freeman, le champion léger d'amateur de boxe de l'Angleterre, qui s'est blessé en aidant à la descente des bateaux de sauvetage. L'évêque Théodate, passant tout près, se rappelle avec admiration que les yeux de Marie étaient "brillants, mais courageux."Pendant que l'eau monte jusqu'aux ponts, Marie et James Houghton se sont dirigés vers l'arrière. Ils sautent du bastingage juste comme le pont s'inonde et sont aspirés par l'épave qui s'enfonce. Le docteur Houghton est frappé à la tête pendant qu'ils coulent et la force de l'eau les sépare. Marie s'empêtre dans les cordages se trouvant sur le pont, mais parvient à se libérer. Le docteur Houghton voit alors Marie lutter, mais emportée au loin.Le corps de Marie sera identifié par son mari. Elle a été enterrée en Belgique pas loin de l'hôpital de Panne. Toutes les fois qu'Antoine regardait par sa fenêtre il pouvait voir la tombe de sa collaboratrice et femme bien-aimée. Pittsburgh, Pennsylvanie, apprenant sa mort, était fière de la compter en tant que citoyen honorifique. La mort de Marie Depage (et des autres victimes du Lusitania, soit plus de mille personnes dont 124 américains) marque l’opinion publique outre Atlantique, qui comprend la nécessité pour les Etats-Unis d’abandonner la politique de neutralité, d’entrer en guerre et de rejoindre la cause des alliés. La Reine Elisabeth s’engage alors résolument aux côtés de Depage, et elle paie de sa personne en assistant régulièrement elle-même le chirurgien militaire en salle d’opération.Nouveau coup dur, le Docteur Depage apprend l’arrestation d’Édith Cavell, qui jouait à Bruxelles un rôle actif dans un réseau d’évasion de soldats anglais.
Octobre . Le procès, le jugement et l’exécution de l’infirmière sont expédiés en quelques jours.12. Ce matin Édith Cavell, amie et collaboratrice du couple Depage-Picard, est exécutée par un peloton allemand pour avoir fait évader des soldats alliés par la Hollande neutre. La mort d’Édith Cavell est exploitée par la propagande alliée : son exécution est représentée sur des cartes postales, des affiches et même des timbres, et provoque l’enrôlement de centaines de volontaires dans l’armée britannique.
'Le 19 octobre 1918, la division de cavalerie opérait dans les environs d’Oedelem, à 7 kilomètres au sud-est de Bruges. Comme durant la guerre de tranchées, nos cavaliers combattaient à pied ; pourtant, l’espace était libre, les chevaux suivaient à courte distance... Qu’il eût fait bon de charger !Le jour était à son déclin, nos tirailleurs avaient repoussé les arrière-gardes allemandes qui s’installèrent dans le petit bois de Kattine et, semblaient décidé à défendre cette position. Plusieurs lignes de mitrailleuses étaient en action et forçaient nos hommes à se terrer. À 16h30,le Major Van Strydonck, commandant le 2°groupe du 1°Guides reçoit un ordre de l’Etat-Major : "Franchir par un coup de force à cheval les lignes de mitrailleuses à hauteur de Burkel, se rabattre et prendre l’ennemi à revers, deux auto-mitrailleuses précéderont la colonne."Le rêve de tout cavalier : la charge ! Allait-il se réaliser ? L'ordre est précis, il se répand, un murmure l'accompagne. Les hommes s’agitent, les yeux resplendissent de joie, déjà les mains se crispent sur la garde des sabres à larges coquilles d'acier.La charge ! Le plein galop, sabre au clair ! Toutes les aspirations des cavaliers vont se réaliser...Mais le temps presse, déjà les brumes du soir estompent les lointains. Un bruit de moteur, toutes caparaçonnées d'acier, les deux auto-mitrailleuses, longent la colonne. Devant Kattine, la fusillade fait rage. Nos lignes de tirailleurs attirent l’attention de l’ennemi, que les batteries d’accompagnement arrosent d’obus.Bride abattue, un cavalier accourt : Mon major c'est l'heure. Le capitaine commandant Francis de Meeus, adjudant-Major du 1°Guides, apportait l'ordre d'attaque.Le Major Van Strydonck se dresse sur ses étriers et d’un geste large tire son sabre, un bruit de ferraille passe en l’air, strié de blanches étincelles. Puis serrant les mains du commandant : "Au revoir, Meeus". Pour un cavalier, pour un Meeus, la tentation est trop forte, "Mon Major, je me permets de revendiquer l’insigne honneur de charger à vos côtés."Soit...Automatiquement, sabre au poing, visage grave, menaçante, la masse s'ébranle et s’enfonce au pas dans la grisaille du soir. Dans les intervalles de la fusillade, on perçoit le souffle ardent des chevaux qui, l'oreilles dressées, les narines ouvertes sentent eux aussi l’approche de la bataille. La figure de tous les hommes s’est contractée, leurs yeux sont rivés sur l’horizon....vers l’ennemi.....vers la bataille.L’espace couvert est franchi, la colonne prend le trot. Au frappement alternatif des sabots sur le pavé de la route, se mêlent le froissem*nt des cuirs, le cliquetis des sabres... Un grand souffle farouche plane sur cette marée d'hommes qui s'avance semblable à un bélier de bronze.Subitement, dans les brumes mauves du soir, apparaissent les lisières du bois de Kattine. Brusquement le chef lève son sabre : "En avant, mes enfants....pour le Roi !" Et dans cette atmosphère de bataille où ricanent les balles et miaulent les obus, une clameur immense s’élève : "Hourra ! Vive le Roi !..." Comme un ressort bandé qui se détend subitement, la colonne prend le galop. Une longue file de bras brandissant des sabres s'agite, les cris redoublent, le galop s'allonge, se précipite. C’est la charge avec son frisson d’épopée. La première ligne de mitrailleuses ennemies est dépassée, la course continue vers le deuxième bois qui cache Burkel.Là, les fusiliers-marins allemands de la 4°compagnie, blêmes de terreur, voient bondir vers eux ce torrent qui mugit....En joue ! ! ! Les deux chefs couchés sur l’encolure de leur coursier, accélèrent encore l’allure. Tout à coup le bois s’allume d’éclairs rougeoyants, les chevaux de tête s’écroulent, le commandant de Meeus, frappé à mort, disparaît dans l'affreux tourbillon…Une nouvelle décharge crépite des maisons de Burkel, les chevaux se cabrent, piétinent, bondissent au-dessus des fossés...écrasant des corps. L’auto-mitrailleuse est bloquée en travers de la route. "Pied à terre". Les cavaliers lâchant leur sabre, empoignent leur carabine; en tirailleurs, sous bois, harcèlent l’ennemi décontenancé par ce brusque changement de combat. 17 heures...le feu cesse... l'Allemand est en fuite.La nuit enveloppe le contour des choses, une buée laiteuse se lève de terre, de-ci de-là un coup de feu...un cri...un râle. Les unités reformées dans les bois, procèdent à l’appel : une voix grave répond à l’appel pour les morts : "Mort au Champ d’Honneur".
Fin 1918. Si dans la mémoire collective la première guerre mondiale reste l’évènement le plus tragique du début du 20ème siècle il en est un autre qui s'est avéré encore bien plus meurtrier... la grippe espagnole ! Selon les estimations entre 20 et 40 millions de personnes ou même 100 millions (après intégration des évaluations rétrospectives concernant les pays asiatiques, africains et d'Amérique du Sud.) ont succombé à cette épidémie dans le monde en à peine deux ans. A titre de comparaison, on évalue à 13 millions le nombre de morts dus aux combats en 4 ans et demi durant la "grande guerre".Apparue au début de 1918 en Chine, on pense que l’origine de l’épidémie devait se situer en Asie Centrale et dans le Middle West américain, où la maladie s’est attaquée aux porcs ou aux volailles avant d’être transmise aux humains. Cette variante de la grippe aurait donc trouvé le moyen de passer de l’animal à l’homme par le biais d’une mutation. L’épidémie s’est propagée rapidement aux Etats-Unis. En l’espace d’une semaine, l’ensemble de l'Amérique du Nord était touché.Le déploiement massif des forces armées américaines en Europe ainsi que des forces coloniales a sûrement facilité la propagation du virus sur le vieux continent.Les hôpitaux du monde entier sont bondés. À Lyon, on procède aux inhumations jour et nuit. On entasse les cadavres plus qu'on ne les enterre. En octobre 1918, à New York, on utilise une pelle à vapeur pour creuser des tranchées afin d'enterrer temporairement les corps des victimes de la grippe espagnole.Si l’épidémie de 1918 a été aussi meurtrière, c’est que le virus était d’une variété inconnue. Le virus de la grippe espagnole était de plus associé au redoutable bacille de Pfeiffer, cause des pneumonies et des pleurésies qui ont accompagné cette épidémie.Les décès furent essentiellement de jeunes adultes, ce qui surprend : les jeunes adultes sont habituellement la génération la plus résistante aux grippes. Ceci a d'abord été expliqué par le fait que cette tranche d'âge (notamment pour des raisons professionnelles ou de guerre) se déplace le plus ou vit dans des endroits où elle côtoie de nombreuses personnes (ateliers,...). La multiplicité des contacts accroît le risque d'être contaminé. Cette constatation a été faite par les historiens (notamment lors de l'épidémie de choléra à Liège en 1866). En fait c'est le système immunitaire de cette classe d'âge qui a trop vigoureusem*nt réagi à ce nouveau virus, en déclenchant une "tempête de cytokines" qui endommageait tous les organes, au point de tuer nombre de malades.Cette grippe se caractérise d'abord par une très forte contagiosité : une personne sur deux contaminée. Elle se caractérise ensuite par une incubation de 2 à 3 jours, suivie de 3 à 5 jours de symptômes : fièvres, affaiblissem*nt des défenses immunitaires, qui finalement permettent l'apparition de complications normalement bénignes, mais ici mortelles dans 3% des cas, soit 20 fois plus que les grippes « normales ». Elle ne fait cependant qu'affaiblir les malades, qui meurent des complications qui en découlent. Sans antibiotiques (découverts 10 ans plus tard), ces complications ne purent pas être freinées.La mortalité importante était due à une surinfection bronchique bactérienne, mais aussi à une pneumonie due au virus. L'atteinte préférentielle d'adultes jeunes pourrait peut-être s'expliquer par une relative immunisation des personnes plus âgées ayant été contaminées auparavant par un virus proche.À la fin de 1918, se révéla particulièrement meurtrière. Les victimes décédaient en 3 jours !Le bilan humain est tout simplement monstrueux : on estime que près de la moitié de la population mondiale (1.000.000.000 de malades) a été touchée par ce virus. Certains Etats ont payé un lourd tribut en vies humaines. Environ 550.000 américains meurent ce qui est bien plus que les pertes cumulées des deux guerres mondiales, de la guerre de Corée et de celle du Viêt-Nam. En France, on parle de 408.000 victimes, mais la censure de guerre en limita l'écho, les journaux annonçant une nouvelle épidémie en Espagne, pays neutre et donc moins censuré, alors que l'épidémie faisait déjà ses ravages en France. En Alaska, 25% de la population est fauchée. On comptabilise également 112.000 victimes anglaises, des milliers de victimes en Afrique et entre 13 et 20 millions de morts pour le seul sous-continent indien.Elle serait la pandémie une des plus mortelles de l'histoire dans un laps de temps aussi court, devant les 34 millions de morts (estimation) de la Peste noire, mais comparable en nombre de victimes à celle du Sida. Car ce dernier continue cependant à tuer au-delà des 24 millions de victimes déjà comptabilisées.
1927, Mai, 9. Les Français apprennent avec consternation la disparition des aviateurs Nungesser et Coli. Charles Nungesser (35 ans) était un as de la Grande Guerre. Avec le mécanicien François Coli, il avait projeté de traverser l'Atlantique sans escale. Les deux hommes avaient décollé la veille du Bourget à bord de leur biplan Levasseur, baptisé "L'Oiseau blanc". Leur avion avait été signalé aux abords de Terre-Neuve et un journal du soir, La Presse, s'était hasardé à annoncer leur arrivée à New York.Mais on attendra en vain les deux aviateurs...Dans les années 1930, on a retrouvé dans l'État du Maine, non loin de New York, des débris et un moteur d'avion du même modèle que celui de "L'Oiseau blanc".Certains en ont conclu que les deux malheureux avaient malgré tout réussi leur pari.D'autres pensent que l'avion aurait pu s'écraser sur une plage des rives du Bas Saint-Laurent.21. Il est un peu plus de 10 heures du soir quand Charles Lindbergh atterrit au Bourget. Il est parti hier des Etats-Unis d’Amérique. C’est la première fois qu’un homme traverse l’Atlantique Nord. Il a une inquiétude majeure durant les dernières heures de son voyage : il a oublié son passeport ! Il a fait 6.200 kilomètres en 33h1/2. Son avion est le "the Spirit of St Louis". Une mer humaine l’attendait. Un radio amateur a signalé son passage au-dessus d’une île. Heureuse époque où il n’y avait qu’un seul moteur à entendre à 6.200 kilomètres à la ronde !
1930 Septembre, 1. Ce matin à 10h54, "?" décolle de Paris pour New York.2. Arrivée à New York du "?", l’avion de Costes et Bellonte, deux français qui réalisent la première traversée de l’Atlantique Nord dans le sens Europe-Amérique, malgré les vents dominants contraires. Ils auront mis 3 heures de plus que Lindbergh, il y a deux ans : 37 heures¼, soit 167,3 kilomètres/heure.
1935 Août, 29. Mort de la Reine Astrid. Les Souverains étaient en vacances en Suisse. La Reine, assise près du Roi qui conduisait, lui a montré la carte sur ses genoux. Le Roi distrait une seconde a raté le virage les roues de la voiture se sont prises dans la rigole, la direction s’est brisée net et la Reine, projetée sur un arbre est morte sur le coup. Le Roi est blessé, bras cassé et blessure à la tête. 30. L’exposition Universelle est fermée en signe de deuil. Septembre 3. Funérailles de la Reine Astrid. Tragiques, émouvantes, en l’église de Saints Michel et Gudule. Sur le parcours du cortège, nous (la JEC) faisons la haie, ainsi que la JOC, JIC, JAC, JUC (les différentes Jeunesses Catholiques) et les scouts. Nous sommes au premier rang pour voir défiler les voitures, et à pied, derrière le corbillard, le Roi Léopold III, bras en écharpe et des sparadraps sur le visage, l’air anéanti. Lorsque la cloche du glas commence à se faire entendre, un grand silence se fait sur l’assemblée. Tout autre bruit que le lent battement funèbre est aboli. Le cortège entre dans un silence absolu. Marche lente, très lente, au rythme grave du bourdon. Impression inouïe, dépassée seulement par la vue du Roi, immédiatement derrière le cercueil, essayant de comprimer les sanglots qui lui viennent, marchant d’un pas vacillant, celui d’un homme près à s’effondrer. C’est un spectacle affreux, résumant d’un coup toutes les réalités tragiques de cette catastrophe : cet homme encore très jeune, aux cheveux blonds et bouclés comme ceux d’un tout jeune homme, au corps fin et élancé, cassé par la douleur, chancelant, avançant comme un aveugle, d’un pas craintif, comme celui de quelqu’un qui se tiendrait en équilibre au bord d’un précipice. Outre cela, le visage crispé, noyé de douleur et portant cruellement le témoignage de l’accident, un pansem*nt à la joue et un bandage noir tenant son bras droit en écharpe. Spectacle déchirant. Les assistants s’immobilisent et palissent de pitié.
1937,13 décembre. Ici, j’intercale des faits qui se sont passés loin de notre pays, loin de notre famille, bien avant ma naissance et que personne, chez nous, ne connaît. Mais si la barbarie nazie nous a fait souffrir, que dire de la barbarie nipponne ?Les Japonais ont pris Shanghai et sont en vue de Nankin, en Chine. Une compagnie du 66ième bataillon de l’armée impériale reçoit l’ordre de ligoter les 14.777 soldats chinois, prisonniers de guerre. Elle passe la journée à le faire et le soir, ils sont conduits vers le fleuve, encerclés par les troupes et assassinés à la mitrailleuse, pendant une heure. Tout le reste de la nuit, les assassins japonais achèveront leurs victimes une à une, à la baïonnette et les balanceront dans le fleuve qui deviendra durant des heures un fleuve rouge sang. Durant les trois longs mois de présence à Nankin, les tueurs violeront et assassineront 360.000 civils (1 toutes les 22 secondes, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7) dans des conditions de cruauté que mêmes les Allemands n’égaleront pas.J’écris cette histoire pour la mémoire de mes descendants. La nature humaine a ceci d’horrible qu’en quelques minutes, elle admet les crimes les plus abominables, pourvu qu’ils se déroulent suffisamment loin.Le "viol de Nankin" figure en bonne place parmi les crimes contre l'humanité commis au XXe siècle même si le gouvernement japonais persiste à en nier l'importance.Débutée en 1931, la guerre sino-japonaise culmine, le 13 décembre 1937, quand les troupes nippones prennent Nankin (Nanjing) sur le fleuve Yangtse. La ville est sans défense et le général Matsui Iwane décide d’en faire "un terrain de jeu et d’exercice pour nos soldats". Pendant six semaines Nankin sera mise à sac, femmes et enfants torturés, violés et massacrés, prisonniers utilisés pour l’entraînement à la baïonnette. Le médecin militaire Hwei écrit qu’il doit soigner de nombreuses luxations d’épaules, tant les soldats tuent à coup de sabre. Le club des officiers lance un concours pour savoir qui pourra tuer le plus de Chinois en une matinée. 20.000 civils de tous âges sont déportés dans des camps d’expérimentation médicale et militaire où ils seront torturés sous l’œil des médecins. Après la guerre, en échange des informations obtenues lors des expérimentations humaines, les États-Unis refuseront de poursuivre les savants japonais impliqués. Au moins 300.000 civils et plutôt 360.000 seront assassinés à Nankin. À ce jour le Japon n’a toujours pas reconnu sa responsabilité et de nombreux manuels scolaires nient l’existence du "sac de Nankin".Les témoignages des rares étrangers restés sur place sont terribles : viols, exécutions, massacres en masse... Les femmes étaient violées sur place, écolières dans leurs dortoirs, infirmières dans les hôpitaux, volonté d'humilier tout un peuple, obsession sexuelle d'hommes soumis à une violence institutionnalisée, qui traumatisèrent toute une ville, tout un peuple.Enfants et vieillards sont sauvagement massacrés ainsi que les quelques rares soldats restés dans la ville.Le nombre des victimes de cette dizaine de jours d'orgie meurtrière n'a jamais été établi avec certitude. Robert Guillain, alors tout jeune envoyé spécial de l'agence Havas en Chine, donne dans ses souvenirs le chiffre de 200.000 victimes.Après quelques jours de cette tuerie, les artères de la ville sont jonchées de monceaux de cadavres(43.000 selon la Croix-Rouge chinoise). Ces corps sont laissés sur place au risque de provoquer des épidémies.Des témoins ont évoqué le raffinement des supplices que les Japonais faisaient subir à leurs victimes.Les meurtres et les viols ne suffisent pas ; les militaires inventent de nouveaux procédés : ils font déshabiller les hommes et les femmes puis les laissent mourir de froid ; ils les enterrent vivants ; les obligent à boire du kérosène ou les éventrent à coup de baïonnette.Les femmes ont été les principales cibles de cette barbarie ; fillettes, femmes enceintes ou âgées, les viols sont suivis du meurtre ou de mutilations.La boucherie fut bien organisée : au cours du "recensem*nt" de la population, on annonça à la foule que s'il y avait parmi elle d'anciens soldats et qu'ils sortaient des rangs, ils auraient la vie sauve et on les emploierait comme travailleurs. Deux cent quarante sortirent des rangs... Deux ou trois survécurent pour narrer leur sort... L'un des groupes avait été mitraillé, l'autre, entouré de soldats, fut employé comme objectif pour l'escrime à la baïonnette. D'autres, ficelés ensemble, furent arrosés d'essence et brûlés vifs, noyés ou utilisés pour l'exercice au sabre par les samouraïs en folie... Soldats, fonctionnaires furent massacrés systématiquement.
1938, Septembre.Les bruits de guerre se précisent. Nous rentrons à Bruxelles et nous apprenons avec soulagement que les accords de Munich qui abandonnait les Sudètes et la Tchéquie aux Allemands allaient assurer la paix. Si on avait su !La France et l'URSS ont chacune un traité d'alliance avec la Tchécoslovaquie mais aucune n'est prête pour la guerre. L'URSS du petit père Staline est peu encline à s'engager pour la défense d'un pays capitaliste. Pour sa part, la France est à la veille d'élections, situation peu favorable à une opération militaire d'envergure, et elle ne souhaite pas rentrer en guerre sans le Royaume-Uni. Hitler a largement surestimé l'étendue du réarmement allemand et pousse au conflit, ralenti en cela par Mussolini, réticent lui aussi à un conflit européen et qui le pousse à négocier au sein d'une conférence. Elle se tient à Munich en septembre 1938.La France et l'URSS abandonnent la Tchécoslovaquie .En France, les accords de Munich font consensus. La droite modérée approuve la signature par le radical-socialiste Édouard Daladier, qui est acclamé à sa descente d'avion. Seuls les communistes votent contre la ratification des accords à l'assemblée, ce qui provoquera la fin officielle du front populaire (qui dans les faits n'existait déjà plus): Daladier rompt avec les communistes. Chamberlain repart avec une résolution supplémentaire entre le Royaume-Uni et l'Allemagne engageant les parties à négocier de manière pacifique leurs différents futurs. Il est accueilli en héros à sa descente d'avion au retour de Munich, brandissant ce document lors de l'accueil triomphal qui lui est fait.Les opinions publiques ont conscience qu'on vient de frôler un conflit majeur, sont soulagées et reconnaissantes de ces accords de paix, même s'ils ne sont qu'un compromis lâche et dilatoire.Les accords prévoient l'évacuation du territoire des Sudètes par les Tchèques avant le 10 octobre 1938 et son occupation progressive par les troupes allemandes.Décembre, 2. L’Angleterre rachète à l’Allemagne 10.000 enfants juifs, d’Allemagne, d’Autriche et de Tchécoslovaquie pour 500.000 livres sterling (12.500.000 €). Seuls les enfants sont vendus, les parents ne peuvent pas partir. Il y a de petit* orphelins, des enfants dont les parents font déclarer par des tiers être morts pour leur faire avoir une place prioritaire. Des citoyens privés ou des organisations devaient s’engager à subvenir à leurs besoins et à leur éducation et à prendre en charge leur émigration finale hors de Grande-Bretagne. En contrepartie de cet engagement, le gouvernement britannique accepta de permettre à des enfants réfugiés non accompagnés d’entrer dans le pays munis de simples visas de tourisme. Les parents ou les tuteurs n’étaient pas autorisés à accompagner les enfants. Quelques enfants en bas âge sous la garde d’autres enfants furent inclus dans le programme.Le premier convoi d’enfants arriva à Harwich, en Grande-Bretagne, ce 2 décembre 1938. Il s’agissait d’environ 200 enfants provenant d’un orphelinat juif de Berlin. Rothschild ajoute 24 petit* qu’il "achète" personnellement. Les expéditions se font par 300 enfants, par train, et les adultes qui accompagnent doivent revenir sinon les transports cesseront. Une petite fille est en pleurs lorsqu’elle est conduite à la gare, elle crie à ses parents, qui déclarés morts, la regardent partir : "Vous n’êtes pas mes parents, vous avez du me trouver ou me voler et vous voulez maintenant vous débarrasser de moi. Si j’étais votre enfant, vous ne me chasseriez pas". Quelle horreur pour les parents !Les conditions de transports en Allemagne annoncent celles des trains d’extermination. Le voyage dure deux jours. Les enfants ne reçoivent quasi pas de nourriture ou de boissons et doivent se partager les casse-croûtes reçus au départ de leur parents. Arrivés à la frontière, les douaniers allemands voleront ce qui est trop neuf. Du coté hollandais, c’est le paradis, accueil, vivres et …liberté.Un de ces petit* bouts, 5 ans, a entendu dire que le baron Rothschild a fait venir des enfants. Il part de son centre d’accueil à pied et aboutit au château du baron. À l’imposant majordome qui lui ouvre, il demande à voir le banquier. Quelques minutes plus tard, le Butler l’introduit auprès du banquier qui le reçoit et lui demande ce qu’il veut. "Faire venir ses parents, s’ils ont un travail garanti par le baron, ils auront le visa". Et le baron sans hésiter leur signe un contrat pour travailler dans une ferme à poulets. Le petit a dit : "Ils savent tout faire"… 5 ans… L’âge de mon Alexis, aujourd’hui en 2004 !Les jeunes plus âgés, 14/15 ans, après avoir été déportés pour certains en Australie à la déclaration de guerre, considérés comme dangereux (voir les citoyens japonais aux USA) s’engageront massivement en fin de guerre dans des unités combattantes ou dans les services féminins auxiliaires pour aider à défaire l’Allemagne nazie.Les organisations juives des USA voulaient en racheter 20.000, mais le sénat américain refusera son accord, disant qu’il est inhumain de séparer des familles et sans doute qu’il vaut mieux qu’ils meurent ensemble dans les pires conditions. Merci, Oncle Sam.En tout, cette opération de sauvetage permit de faire immigrer en Grande-Bretagne de 9.000 à 10.000 enfants, dont 7.500 enfants juifs, provenant d’Allemagne, d’Autriche, de Tchécoslovaquie et de Pologne. Il convient de signaler cependant que quelques centaines d’entre eux se retrouvèrent pris au piège en Belgique et aux Pays-Bas lors de l’invasion allemande. La plupart de ces enfants ne revirent jamais leurs parents, exterminés pendant la Shoah.
En 1939, peu de temps avant l'éclatement de la guerre, Nicholas Winton, jeune banquier anglais de 29 ans, et ses collaborateurs réussissent à faire partir de la gare Wilson de Prague, vers la Grande-Bretagne, sept trains avec 669 enfants tchèques issus surtout des familles juives. Chaque enfant est acheté 65 livres anglaises ( 3.233€ de 2005) et il faut en outre payer 1.000 livres (65.000 €) par train aux nazis. Ces sommes seront versées par les familles d'accueil, qui non contentes de donner un foyer à ces enfants et de garantir de les élever jusqu'à leur 17 ans, achèteront au sens le plus littéral du mot, leur liberté et leur survie. Winton s'arrangera pour toujours trouver les 1.000 livres sterling manquantes.Le premier train quitte Prague le 14 mars 1939. Jusqu'au 2 août prochain, sept trains partent de Prague pour Londres, au total 669 enfants. Le banquier irréprochable n'hésite pas, s'il le faut, à falsifier les documents et de créer des passeports, plus vrais que des vrais. Le but n'est pas de tromper l'office d'immigration, mais d'aller vite, très vite car Monsieur Winton, mieux que les politiques, a compris que le temps était limité et que l'horreur se préparait. Ainsi une série d'enfants partent, une grande étiquette au cou, munis d'autorisations britanniques falsifiées. Nicholas Winton travaille vite car il sait que le moindre retard risque de menacer la vie des enfants, dont il a pris la responsabilité. Malheureusem*nt, l'avenir lui donne raison. Le dernier train de 250 enfants ne partira pas, bloqué par la guerre, ces enfants-là finiront à Auschwitz.Pendant 50 ans, Sir Winton, il a été anobli par la Reine en 1988, ne parlera jamais de ce qu'il a fait. Ce n'est que par hasard, par la découverte des documents en 1988, qu'enfin on apprendra que c'est lui qui est à l'origine des rachats d'enfants juifs de Tchécoslovaquie. "Il fallait le faire, et je savais le faire, c'est tout !"
1940, le 14 janvier, nous apprenons la perte du croiseur allemand "Graf von Spee ".Le Graf Spee, vaisseau corsaire allemand, doit quitter la rade où il s’est réfugié après un dur combat avec trois vaisseaux de la Home Fleet, sinon son équipage sera interné et le navire saisi. Les lois de la guerre l'ont autorisé à faire relâche dans le port neutre, mais à ne réparer que les avaries affectant sa flottabilité et aucune n'affectant sa combativité. L'équipage et les officiers ont été fêtés par la colonie allemande. Ses ordres sont de sortir et d'affronter la Homme Fleet. Il prend la mer et se saborde devant Montevideo. Le commandant Langdorff a préféré un sabordage honorable à un combat au finish contre les trois croiseurs de la Home Fleet qui l’attendaient, combat qu’il savait devoir perdre et où son équipage aurait été anéanti. Langdorff lui-même se suicida.Mai, 28. Nouveau coup de massue. L’armée belge, infiltrée par la population civile en fuite, incapable de faire mouvement sans écraser ses propres civils venus chercher refuge jusque sous les roues des camions, et contre les rares blindés, pressée par l’armée allemande qui menace de bombarder tout le monde, civils ou militaires, se rend, le Roi, préférant une capitulation au massacre de son peuple. On ne comprend pas de chez nous le drame qui se déroule. On discute, on suppute, on imagine mille choses. Puis ce sont les calomnies du gouvernement français, trop heureux de pouvoir mettre sur notre dos, leur imprévoyance et le spectacle lamentable de leurs troupes en fuite partout, à de rares exceptions. Signalons ici la page de gloire écrite au-dessus de Jodoigne par les troupes cuirassées françaises qui mirent en déroute l’attaque allemande pendant deux jours et qui ne se replièrent que pilonnées par l’aviation germanique.L'avenue de la Floride reçoit une carte postale de la sœur de Daddy, écrite en clair : "Après 20 ans les sales bêtes vertes sont de nouveau là".Juillet, 3. La flotte française est détruite à Mers El-Kébir. L'aviation anglaise ouvre le feu à 18 heures sur les bâtiments français basés à Mers El-Kébir près d'Oran. Le cuirassé "Bretagne" est coulé, les cuirassés "Dunkerque" et "Provence" gravement endommagés. 1.380 marins français trouvent la mort. L'attaque britannique survient quelques jours après la signature de la capitulation française face à l'Allemagne. Le gouvernement de Winston Churchill craignant que la flotte française ne passe aux mains du Reich propose aux forces navales françaises d'Algérie de passer sous son autorité. L'assaut est donné après que le chef de la flotte française, l'amiral Marcel Gensoul, incapable de comprendre la situation et se fiant aux promesses d'Hitler, ait rejeté l'ultimatum du vice-amiral britannique Somerville.
1941, le 21 mai. Lors de la première sortie du Bismarck en mer du Nord, accompagné du Prinz Eugen, un croiseur lourd qui lui ressemble beaucoup, Churchill mesure toute la menace qui pèse sur le trafic allié. Le Bismarck était le corsaire type, mais du genre "intouchable". C'est un cuirassé de la classe TIRPITZ, jaugeant 41.500 tonnes, mesurant 250 mètres de long, un peu moins que le Titanic, mais il a 10 mètres de plus en largeur, et possédant une ceinture cuirassée de 13 pouces. Son armement principal compte huit canons de 380 mm (répartis en quatre tourelles de 1.000 tonnes) dont la portée maximum est de 41 km. Il peut détruire convois et escorte avec une grande facilité et constitue donc une des cartes maîtresses d'Hitler au moment où il envisage toujours de faire plier Albion. Contre cet orgueil du IIIième Reich, l'amirauté ne peut faire autrement que de lui barrer la route avec les unités dont elle dispose dans l'urgence. Et ce sont le HMS Hood et le HMS Prince of Wales. Sur le papier, un grand navire de guerre symboliquement chargé d'invincibilité et un cuirassé rapide flambant neuf. La suite de l'histoire est connue. Dès les premières salves ( car le HMS Hood tira aussi sur le Bismarck sans parvenir à le toucher), un seul obus de 380 mm du cuirassé allemand en trajectoire hautement parabolique vu la distance, entre comme dans du beurre dans les ponts du HMS Hood et termine sa course dans l'un des magasins à munitions, sous la ligne de flottaison. Une gerbe de feu équivalent à deux fois et demi la hauteur du HMS Hood fut visible à des kilomètres par les matelots du Bismarck et du HMS Prince of Wales qui en firent le croquis ultérieurement. L'instant d'après, les deux moitiés du HMS Hood sombrent dans l'Atlantique Nord. Par ces températures, la messe est dite pour l'équipage: il n'y eut que trois survivants sur les 1.400 marins britanniques, les marins allemands ne portant pas secours à leurs victimes. Le HMS Prince of Wales bien que touché 7 fois, poursuit le combat pendant une dizaine de minutes et, en fuyant, place néanmoins un obus qui traverse de part en part la proue du corsaire. Si les trous sont au-dessus de la ligne de flottaison, le sort du corsaire est cependant scellé. Le Bismarck est condamné. Il doit réduire sa vitesse pour ne pas embarquer des paquets de mer par ces trous de l'obus. Les hydravions de la Navy le rejoignent et l'attaquent. Ces avions sont des biplans, à voilure entrecroisée, à train d'atterrissage non escamotables. Par deux fois, les avions torpilleurs du HMS ARK ROYAL tentent de l'envoyer par le fond ; si la première attaque ne donne rien (en fait, ils ont failli couler l'un de leurs propres destroyers !), la seconde a au moins le mérite de l'endommager au niveau du gouvernail repliant et bloquant le safran bâbord sur l'hélice bâbord. Le cuirassé devient difficile à manœuvrer, faisant de longues courbes qui le ralentissent encore plus. L'une de ses soutes à mazout a été percée lors de son combat contre le HMS HOOD, le puissant cuirassé allemand n'a pas d'autre choix que d'interrompre sa mission et de gagner le port le plus proche, soit Brest, en France occupée. L'amiral allemand a commis l'erreur de ne pas entreprendre sa mission avec ses soutes à mazout remplies à pleine capacité et celle de se séparer de son jumeau, le PRINZ EUGEN, ainsi que de son escorte. Le BISMARCK est un cuirassé redoutable mais il est maintenant seul et repéré.22. Le Bismarck, tout nouveau et puissant cuirassé allemand, a coulé le Hood au large du Groenland.27.La Home Fleet va prendre sa revanche. Ses escadres se sont rameutées de tous les horizons. Plus de 19 grands bâtiments de guerre venant d'Angleterre, de Gibraltar et d'Halifax sont en train de converger vers le BISMARCK espérant ainsi lui couper la route de la France. Le puissant cuirassé allemand est finalement intercepté par la flotte britannique. À 25 kilomètres, les dix canons de 16 pouces de son navire amiral, le HMS KING GEORGE V, et les neufs de 16 pouces du HMS RODNEY mettent en pièces le navire allemand. Se rapprochant de plus en plus, ils détruisent les tourelles, les passerelles, les ponts, ravageant sous leurs feux conjugués l'équipage allemand. Mais ils sont trop près. Aucun coup mortel ne peut être donné, car le tir des alliés est maintenant horizontal et le Bismarck est super blindé. En combat naval moderne, seul les tirs courbes ou mieux paraboliques, percent les ponts moins blindés et détruisent les vaisseaux. C'est l'équipage qui trinque. Privé de son gouvernail bâbord bloqué par une torpille lancée d'un appareil du HMS ARK ROYAL, le BISMARCK retourne au feu comme il peut jusqu'à ce qu'il soit réduit à l'état d'épave flottante. L'ordre de sauve-qui-peut est donné, des charges de sabordages sont placées et le cuirassé s'abîme dans l'océan. Seuls 110 des 2100 hommes d'équipages parviennent à s'en tirer, ils seront secourus par les marins britanniques, car les Anglais, eux, recueillent les survivants de l’adversaire. L'amiral allemand est au nombre des tués. Non seulement, le HMS HOOD est vengé mais une menace majeure pour les lignes de ravitaillement alliées est ainsi éliminée. Mieux encore, la perte du BISMARCK marque le début du déclin de la marine de surface allemande pour laquelle Adolf Hitler n'a que de toute façon peu de confiance et d'estime.
Ici parenthèse de Michel M. Hourman. Le maréchal Philippe Pétain a été et est encore souvent traité de vieillard traite à son pays. Le maréchal Pétain avait près de 85 ans, si je me rappelle bien. Il avait passé toute sa vie dans le respect des institutions et avait remarqué que l’Allemagne en 1918 avait sauvé son territoire par un Armistice. Bien âgé, à un âge où beaucoup soit sont morts, soit ne quittent plus leur fauteuil et ont souvent définitivement abandonné le monde dans lequel ils vivent pour leurs souvenirs, il a cru devoir faire don de sa personne à la France, signé un armistice pour protéger le territoire et reconstruire la France. Sans lui, la victoire de l’Allemagne eut peut-être été totale, la France occupée dès le début de la guerre, l’Afrique à la portée des avions de la luftwach, Malte bombardée, Gibraltar à la merci de ses puissants bombardiers... D’après lui, une vieille recette éprouvée valait qu’on l’essaie à nouveau. Noble tache, mais très mal à propos. Son idéal n’est pas suspect pour un centime. Il voulait protéger son pays. Cependant, il est compréhensible que durant la guerre, et juste après on ait oublié le brave grand-père qui s’est dévoué à tort, pour ne plus voir que le symbole de la collaboration et trouver facilement un bouc émissaire qui blanchirait tous les autres opportunistes, genre Mitterrand, Papon et consort et grâce auquel, par opposition, un brâââve de Gaulle serait encore plus beau.
Octobre. En Russie, les troupes allemandes n’avancent plus. La résistance russe est étonnante. Tous voyaient la Russie s’effondrer en 1 mois. C’est compter sans l’immensité des communications, l’absence de route, et la volonté des dirigeants de tenir, quel qu’en soit le prix en vies humaines. La politique de Staline était de tenir jusqu’au dernier russe... avant lui. Les troupes montaient à l'assaut insuffisamment armées. Deux hommes se suivaient, l'un armé, l'autre sans arme. Si c'est celui qui est armé qui tombe, l'autre ramasse l'arme et continue. Si c'est le désarmé qui tombe, il ne lui faudra plus d'arme… Les fuyards étaient abattus sur place par des unités spéciales, armées de mitrailleuses qui suivaient l'assaut. De même, ceux qui étaient faits prisonniers par les Allemands et parvenaient à s’échapper et rejoindre l’armée étaient abattus comme traîtres et leurs familles déportées. Les soldats de l’arrière garde étaient enchaînés à leurs pièces d’artillerie, sans espoir d’échapper à une mise à mort horrible par les Allemands s’ils étaient pris vivants. Ils se battaient donc jusqu’à la mort avec une férocité qui n’avait d’égale que leur désespoir. Certains tireurs étaient tout aussi cadenassés dans les arbres. Aucun espoir pour eux. Si nous avions fait la même chose... quelle horreur bien pire que la capitulation. Que serait-il resté de notre peuple, de notre pays, de notre façon de voir la vie ?
Décembre.. Attaque de Pearl Harbor par les Japonais.Attaque surprise. La flotte, les cuirassés, les champs d’aviation sont détruits. Par chance, les porte-avions étaient en manœuvre, et c’est d’eux seuls que dépend le sort des armes.Le dimanche 7 décembre 1941, au petit matin, des nuées d'avions japonais attaquent par surprise la flotte de guerre américaine à Pearl Harbor, sur l'île d'Oahu, dans l'archipel des Hawaï.Une heure plus tard, le gouvernement japonais transmet à son hom*ologue étasunien une déclaration de guerre en bonne et due forme.L'attaque a été programmée par l'amiral de la flotte impériale, Yamamoto.Pour poursuivre la conquête de la Chine et de l'Asie du Sud-Est, l'amiral a compris qu'il était nécessaire de neutraliser la puissance américaine par la destruction préventive de sa flotte.C'est ainsi qu'il a mis sur pied le "plan Z" en vue d'attaquer Pearl Harbor, en plein océan Pacifique, à 5.500 km des côtes japonaises.Les pilotes de l'aéronavale ont subi un long entraînement dans le plus grand secret. Leurs avions ont été équipés de torpilles spéciales, capables de plonger dans les eaux très peu profondes de la base étasunienne.Le 25 novembre, la flotte nippone rassemblée dans les ports de l'archipel des Kouriles lève l'ancre et se dirige vers l'est.Elle compte un total de 32 navires (y compris des pétroliers), dont 6 porte-avions avec 353 avions, deux cuirassés, deux croiseurs lourds, onze contre-torpilleurs. Elle compte aussi 27 sous-marins.Le 4 décembre, elle bifurque au sud, vers Hawaï, où l'état-major étasunien n'a jamais imaginé qu'une attaque pourrait venir du nord. La flotte se laisse guider par la musique de jazz de la radio de Honolulu. C'est ainsi qu'elle peut s'approcher à 500 km de l'archipel sans être repérée par les radars.Le code de déclenchement de l'attaque est "Tora, Tora, Tora" (Tigre en japonais).Les 183 avions de la première vague d'assaut piquent vers les navires rangés dans la rade (90 au total !), en volant entre dix à quarante mètres au-dessus des vagues.Les premières torpilles frappent à 7h40. À cette heure-là, ainsi que le savent les Japonais, la surveillance radar a été suspendue depuis déjà 40 minutes, pour cause de jour chômé. Les Étasuniens vaquent aux occupations de routine d'un dimanche matin.La plupart des officiers sont à terre et ne comprennent pas ce qui se passe jusqu'à ce que circule un message : "Raid aérien sur Pearl Harbor. Ce n'est pas un exercice".Une deuxième et dernière vague de137 avions frappe la base à 9h45. En deux heures, les Japonais auront détruit ou endommagé 8 cuirassés ainsi que 3 croiseurs, 3 destroyers et 4 navires auxiliaires.188 avions ont été aussi détruits. Au total 2.403 marins étasuniens ont été tués. Du côté des assaillants, les pertes sont très faibles (29 avions, 55 tués).Fort heureusem*nt, les trois porte-avions affectés à la flotte du Pacifique ne sont pas présents sur les lieux et échappent de ce fait à de graves dommages. Deux se trouvaient dans les environs : l'Enterprise, qui livrait des avions à l'île de Wake, et le Lexington, qui était en route pour Midway pour la même raison.Le troisième, le Saratoga était, lui, aux États-Unis, à San Diego, pour réparations. D'autre part, six des huit cuirassés attaqués seront rapidement remis en service. La contribution de ces bâtiments à la riposte américaine sera essentielle.
1944, Juillet, 7. Wallenberg, un diplomate suédois, se rendit à Budapest en tant que premier secrétaire à la légation suédoise de cette ville. Il s'inspira de la méthode utilisée par son compatriote l'espérantiste Valdemar Langlet : celle des sauf-conduits. De concert avec son hom*ologue le diplomate suédois Per Anger, il fit imprimer des « passeports de protection » (en allemand : Schutz-Pass), qui identifiaient les porteurs comme sujets suédois en instance de rapatriement et les empêchaient d'être déportés. Malgré leur absence de valeur juridique, ces documents avaient l'air officiels et ils furent acceptés de façon générale par les autorités allemandes et hongroises, qui quelquefois se laissaient corrompre. La légation suédoise à Budapest réussit également à négocier avec les Allemands pour que les porteurs de ces passeports de protection fussent traités comme des citoyens suédois et dispensés du port obligatoire de l'étoile jaune sur leurs vêtements. Avec l'argent fourni par le War Refugee Board, Wallenberg loua à Budapest trente-deux bâtiments qu'il déclara extraterritoriaux et protégés par l'immunité diplomatique. La location était financée par des fonds de la légation. Il installa sur leurs portes des plaques telles que « Bibliothèque suédoise » ou « Institut suédois de recherche » et accrocha d'énormes drapeaux suédois sur la façade des locaux pour donner encore plus de crédit à sa ruse. Ces bâtiments finirent par abriter près de 10.000 personnes.Sandor Ardai, l'un des chauffeurs qui travaillaient pour Wallenberg, a raconté ce que ce dernier avait fait quand il a intercepté un convoi de Juifs sur le point de partir pour Auschwitz, gardés par les SS et les Croix fléchées :« Il a grimpé sur le toit du train et a commencé à tendre des passeports de protection à travers les portes qui n'avaient pas encore été hermétiquement fermées. Comme il ignorait les ordres des Allemands qui le sommaient de descendre, les Croix fléchées ont commencé à tirer sur lui en lui criant de s'en aller. Il les a ignorées elles aussi, et continué calmement à distribuer des passeports à ceux qui tendaient les mains vers lui. Je crois volontiers que ces Croix fléchées visaient délibérément au-dessus de sa tête, puisque pas un coup ne l'a atteint, autrement ç'aurait été impossible, et je suis persuadé que, si elles l'ont fait, c'est qu'elles étaient vraiment impressionnées par son courage. Après que Wallenberg eut donné les derniers de ses passeports, il a ordonné à tous ceux qui en avaient un de quitter le train et de se rendre à pied jusqu'à la caravane de voitures qu'il avait garées à proximité et qui portaient toutes les couleurs suédoises. Je ne me souviens pas exactement du nombre, mais dans ce train ce sont plusieurs douzaines de personnes qu'il a sauvées. Les Allemands et les Croix fléchées étaient si abasourdis qu'ils l'ont laissé partir. »Au plus fort du programme, on compte plus de 350 personnes qui ont été impliquées dans le sauvetage des Juifs. La religieuse Sara Salkahazi a été arrêtée alors qu'elle donnait refuge à des femmes juives et a été tuée par les membres du Parti des Croix fléchées. Le vice-consul de Suisse Carl Lutz a lui aussi fait faire des passeports de protection de l'ambassade suisse au printemps 1944 ; et l'homme d'affaires italien Giorgio Perlasca, qui se faisait passer pour le consul d'Espagne, a fabriqué de faux visas.Wallenberg commença à dormir chaque nuit dans une maison différente pour éviter d'être capturé ou tué par les Croix fléchées ou par les hommes d'Eichmann. Deux jours avant l'occupation de Budapest par les Russes, il négocia à la fois avec Eichmann et avec le général Gerhard Schmidthuber, commandant de l'armée allemande en Hongrie. Wallenberg soudoya Pál Szalai, un membre des Croix fléchées, et ce dernier leur remit une note par laquelle Wallenberg réussit à les persuader d'annuler une marche de la mort destinée à éliminer les Juifs qui restaient à Budapest : il les menaçait de les faire poursuivre pour crimes de guerre dès la victoire des Alliés. On estime à 100.000 personnes ceux qu’il a sauvé des camps.Il fut arrêté par les Russes et vraisemblablement assassiné par eux, soit en 1947, soit plus tard.
17 septembre. À midi. Déclenchement de l’opération Market-Garden pour prendre les ponts en Hollande.Le but de cette opération est de parachuter des troupes à l'est des Pays-Bas, non loin d'Eindhoven, à Arnhem. Pendant ce temps, le XXXième corps du général Horrocks, fer de lance de la IIième armée britannique, doit créer une brèche puis foncer en direction des parachutistes pour que cette brèche devienne un couloir. Les paras doivent s'emparer des ponts qui traverse la Meuse, l'Aa et ceux de différents canaux hollandais ainsi que deux bras du Rhin et tenir de 24 à 48 heures. Si cela marche, les blindés auraient un accès direct sur la Ruhr. Le plan est présenté le 10 septembre, Eisenhower l'approuve. 24. L’opération Market-Garden est réussie à 80%, mais le dernier pont n’a pas pu être pris. Le but était de conquérir tous les ponts nécessaires à l’invasion de l’Allemagne par la Hollande. L’opération avait été confiée au maréchal Montgomery.Les Allemands sont parvenus à faire sauter la moitié des ponts nécessaires à l'avance du XXXième corps. Le rouleau compresseur a grippé, et de loin, les membres du corps britanniques voient les fumées de combat à Arnhem.Afin d'éviter une destruction totale de sa première division aéroportée, le général Urquhart décide d'évacuer et d'essayer de rejoindre les lignes américaines et du XXXième corps. Le 25 et 26 septembre, soit 9 jours après les premiers largages, les rescapés regagnent les lignes alliées. Depuis ce temps, et en mémoire des diables rouges tombés, notamment ceux du colonel Frost, défendant la rive conquise du pont d'Arnhem, les paras anglais ont un ruban noir derrière leur béret. Le colonel Frost et ses hommes ont été des hommes d'honneurs, des combattants mais surtout des résistants. D'attaquants, ils sont devenus assiégés, on leur avait dit de tenir 2 jours, ils en ont tenu 9, sans aucun armement lourd face aux panzers divisions des boches.
1945, mai. Adolf Hitler s’enferme dans sa chambre.Un peu plus tard, un coup de feu retenti. L’assistant d'Hitler, Linge, qui est entrain d’avaler des verres de schnaps dans l’antichambre sent aussitôt l’odeur de la poudre. Il sort dans le corridor et dit à Bormann : « C’est fait. »Les deux hommes, entrent dans la chambre. Adolf est affaissé sur le sofa fleuri, les yeux ouverts et sa tête penchée. Il a un trou de la taille d’une pièce de monnaie sur la tempe droite, d’où s’écoule un filet de sang jusque sur sa joue. Un pistolet Walther 7.65 mm repose sur le sol, une flaque de sang tout près. Le mur derrière est éclaboussé de sang. La femme d'Hitler, portant une robe bleue, est à côté de lui, ses genoux remontés sur sa poitrine, ses lèvres bleutées sont crispées. Son pistolet, qui n’a pas servi, est déposé sur la table devant elle.Après un moment de contemplation hébétée, Günsche se rend à la salle de conférence et dit en frappant ses talons : «Je dois vous rapporter que le Führer est mort.» Goebbels, Krebs, Burgdorf et les autres, leurs visages sans expression, le suivent jusqu’à la chambre d'Hitler. Linge est déjà entrain d’envelopper le corps dans une couverture. Puis, aidé de Högl, il transporte le corps. Martin Bormann les suit et transporte le corps d'Eva Braun. Les corps sont transportés ainsi à l’extérieur du Bunker, dans le jardin. On parvient à déposer les corps au sol et rapidement les hommes vident le contenu des bidons d’essence sur les corps. Günsche se fabrique une torche de papier qu’il allume et jette sur les corps qui s’enflamment aussitôt. Tous se tiennent alors debout au garde à vous. Hitler s'est bel et bien suicidé. Les Russes ont trouvé son cadavre à moitié carbonisé et dans une pose grotesque à coté de celui d'Eva Braun, de Goebbels et de sa femme ainsi que des 6 enfants du couple. Les cadavres sont découverts, alignés dans les ruines de la chancellerie. Comme celui d'Hitler n'était plus très ressemblant, les Russes ont photographié un sosie qu'ils ont au préalable assassiné. Mais voilà. On a su que c'était un sosie, aussi, les rumeurs les plus folles sur la survie du Führer ont couru Ce n'est que 60 ans plus tard qu'on a ouvert les archives d'URSS et qu'on a retrouvé photos et procès verbal de ce suicide.
1949, octobre. Car c'est un moment clé du Congo belge. Les socialistes sont arrivés au pouvoir en Belgique et veulent leur part du gâteau colonial. Ils vont donc ouvrir en Afrique des athénées pour concurrencer par un enseignement laïc l'enseignement catholique jusque là monopolistique. Ils vont enseigner si pas la haine des Pères blancs, en tout cas le non-respect à leurs personnes et la désobéissance à leur enseignement et les Pères représentaient pour l'Africain, l'Européen et sa puissance. N'oublions pas qu'à l'époque, les cliniques, les infirmeries, les maternités sont tenues par des religieuses blanches, venues en missionnaires. Donc tous l'appareil social est chrétien catholique, et si cela n'est plus respectable, alors, la voie est ouverte à l'indépendance. De plus les syndicats font des meetings avec des syndicalistes spécialement venus de Belgique, mais ne parlant pas la langue. Ils ont donc des interprètes, et la leçon donnée par ces syndicalistes en tournée de recrutement est simple : "L'ennemi qui vous prend tout, c'est le patron !" Mais en swahili, le patron se traduit par bwana, et le bwana est d'habitude blanc et donc le traducteur, tout naturellement répète en congolais, "L'ennemi, c'est le blanc, qui vous prend tout!"Les querelles linguistiques belges, le jeu des partis politiques en métropole, le sabotage de la colonisation catholique seront les ferments d'une indépendance ratée.
1954. Mars, 20. La place fortifiée établie par les Français au Nord du Vietnam est attaquée et encerclée par les communistes. Les Français avaient ouvert, l’an dernier, un camp au Nord, à plus de 300 kilomètres de leurs dernières bases pour montrer que les Vietminhs ne valaient pas grand chose. Les Viets ont laissé faire et attiré dans la nasse le maximum des troupes d’élites du Tonkin. Mais chaque fois qu’une unité essayait de sortir, elle était allumée par les Viets et devait se replier. Le seul moyen pour ravitailler, sortir et renforcer la position est l’aviation. Nous serons tous les jours pendus à la radio pour suivre la lutte des Français. Mai, 7. Après 57 jours de combats acharnés, ayant perdus le terrain d’aviation, sans renforts, sans possibilité de secours, les Français retranchés à Dien Bien Phû sont submergés par les Vietminhs. L’attaque finale a débuté hier à 20 heures. Ho Chi Ming emploie la même technique que Staline, on lance vague sur vague de soldats, sans s’occuper des morts ou blessés jusqu’au moment où l’ennemi, qui n’a pas de réserves, est submergé. Et aujourd’hui à 16 heures les Français de la coloniale, les légionnaires de la Légion Etrangère et les parachutistes reçoivent l’ordre écrit de déposer les armes. Les combattants tenaient toujours leurs postes, mais l'administration coloniale a décidé. C’est le début de l’horreur communiste en Indochine. Sur les 10.000 prisonniers faits, 8.000 seront assassinés par les Viets en captivité. Ils auraient mieux fait de se battre pour sortir en force de la nasse. Il y aurait eu plus de survivants.
1959 Janvier, 1. Depuis des années le régime de Cuba part en déliquescence. Le dictateur Batista a instauré la corruption en maître, et, à l’aide des Américains, a transformé son pays en bordel. On dit chez nous aux jeunes filles de faire attention, car tous les jours de jeunes européennes se font enlever pour finir à La Havane. Il y a même un film, "Des blondes pour La Havane". Aujourd’hui, les guérilleros barbus, les Barbudos, qui ont juré de ne pas se raser avant la libération de Cuba, commandés par Fidel Castro, se sont emparés de la Havane, renversant Batista. Est-ce l’espoir qui renaît? Car Fidel Castro promet de rétablir une constitution, d’organiser des élections, de supprimer la torture et de libérer les détenus politiques qui remplissent les prisons.Bien entendu comme tous les révolutionnaires, Fidel Castro est un nanti, fils d'un riche planteur de Cuba, et ayant suivi des études de droit à La Havane. Titulaire d'un doctorat en droit, il s'est lancé dans une carrière d'avocat. Il se fait vite remarquer par une opposition au régime dictatorial du président Batista, qu'il juge inféodé aux États-Unis. Plein d'argent dans un pays crevant de faim, la seule chose qui l'intéresse, c'est le pouvoir.
1960, le 30 juin. Indépendance du Congo Belge. Lumumba prend à parti notre Roi qui assiste aux festivités. Cela commence bien !"Nous avons connu le travail harassant exigé en échange de salaires qui ne nous permettaient ni de manger à notre faim, ni de nous vêtir ou de nous loger décemment, ni d'élever nos enfants comme des êtres chers. Nous avons connu les ironies, les insultes, les coups que nous devions subir matin, midi et soir, parce que nous étions des nègres...Nous avons connu nos terres spoliées au nom de textes prétendument légaux, qui ne faisaient que reconnaître le droit du plus fort, nous avons connu que la loi n'était jamais la même, selon qu'il s'agissait d'un blanc ou d'un noir...Qui oubliera, enfin, les fusillades où périrent tant de nos frères, ou les cachots où furent brutalement jetés ceux qui ne voulaient pas se soumettre à un régime d'injustice ?" Lumumba, discours de l'indépendance du 30.06.1960Pour les noirs, l'indépendance, c'est un western. Quelque chose de nouveau, de changé, de beau : ils peuvent circuler jusqu'au matin. Ça, c'était le tout premier aspect palpable : plus de couvre-feu à Léopoldville. Ils peuvent danser jusqu'au matin, ils peuvent boire le vin qui était défendu, l'alcool, le whisky, se saouler et se battre, sans que la police intervienne. Et le soir de l'indépendance, tout le monde était content. Dans tous les bars de la cité, les gens se sont saoulés en dansant jusqu'au matin. Au Palais de la Nation, c'était vraiment bien... on a lancé des feux d'artifice, des troupes africaines ont joué du folklore et de la musique congolaise. African Jazz a joué, tout le monde s'est amusé.Et bien vite ils ont abusé.L'histoire du Congo indépendant sera jalonnée de sécessions et de rébellions dont les plus meurtrières seront été celles de 1964-1965 (500.000 morts) et de 1998-2003 (4 millions de morts). Jamais la "colonie" n'avait tué autant de monde, ni aussi cruellement.
1962 Novembre. Drame du médicament Softenon ou Thalidomide, prescrit aux jeunes futures mères pour supprimer leurs nausées matinales. 8.000 bébés, dont la petite Corinne qui naîtra à Liège, seront, en Europe, sans bras ou sans jambes, leurs doigts, leurs mains ou leurs pieds directement attachés au tronc ou aux hanches. La maman de Corinne ne supportant pas de la voir ainsi empoisonne son biberon. Sont arrêtés, sa mère, son beau-frère, sa sœur et le médecin qui a prescrit le narcotique fatal. Le procès commence ce 5 novembre. Ils seront tous acquittés en assises. La plupart des survivants (8.000 sur 15.000, 3.000 étant morts-nés) sont encore en vie, presque tous avec des handicaps occasionnés par le médicament. Plus tard, l'on découvrit que les handicaps et déformations de bien des survivants à la thalidomide se transmettaient à leurs propres enfants par le truchement de l'ADN.Un ministre britannique, Profumo, se laisse aller à des confidences sur l’oreiller avec une call-girl Christine Keller, maîtresse de l’attaché naval russe. La revue étudiante qui se moque de tous et tout aura ces répliques : "Sont-ils tous là ? Oui, sauf Tenon !", et "Sacristine ! Quel air !"
1966, octobre.En Chine, la situation reste confuse. Suite aux conséquences catastrophiques de la politique économique décidée par Mao lors du "Grand bond en avant" de 1958, celui-ci a du quitter son poste de président de la Chine. La terrible famine qui sévit en Chine entre 1958 et 1962 en conséquence de cette politique était inattendue. Il paraissait acquis que le dirigisme du régime communiste pouvait mettre à son bilan la capacité à nourrir la vaste population chinoise et à mettre fin aux pénuries alimentaires chroniques qui ont frappé la Chine durant toute son histoire. Au moins 30 millions de personnes sont mortes de faim durant cet épisode du communisme chinois, chiffre jamais imaginé avant cette date.Le Congrès national populaire élit alors un successeur à Mao. Même si il reste officiellement à la tête du PCC, Mao est peu à peu éloigné de la gestion des affaires économiques du pays qui fut confiée à une élite plus modérée. Mao décide de lancer la Révolution culturelle pour revenir au pouvoir en s'appuyant sur la jeunesse du pays. Des groupes de jeunes Chinois, les "Gardes rouges" inspirés par le petit "Livre rouge" de Mao, mettent le bordel partout. Ils remettent en cause toute hiérarchie, notamment la hiérarchie modérée alors en poste, afin de restaurer Mao. Les intellectuels furent également publiquement humiliés et les élites bafouées, de nombreuses valeurs culturelles chinoises et de nouvelles valeurs occidentales étaient dénoncées au nom de la supériorité du peuple et de ses droits. On détruit les valeurs traditionnelles, les statues de Bouddha et les temples. Tout se fait par avis placardés. Une période de chaos s'ensuivit qui mena la Chine au bord de la guerre civile, avant que la situation soit peu à peu reprise en main par Chou en Lait.Les séances d'autocritique débouchent sur des passage à tabac de l'élite et même des mises à mort par coups de la part des jeunes "Brigadiers rouges".Et Mao reprend le pouvoir sur un tas de cadavres, se constituant un harem parmi les gamines de 16 ans des gardes rouges.
1969, novembre. La "Révolution culturelle chinoise" touche à sa fin. Avec l'armée, Mao a repris en mains le pays. C'est au tour des Gardes rouges d'être freinés et parfois pourchassés. Une centaine de millions de Chinois ont été frappés d'une manière ou d'une autre. 1 à 2 millions de tués...
1970 Novembre, 13. Nous apprenons qu'un cyclone dévastateur à détruit toute une région, hier soir et dans la nuit, au Pakistan. On parle de dizaines de milliers de morts.20. Plusieurs centaines de milliers de morts. Les chiffres gonflent. Ils dépassent sûrement les 300.000 victimes. Décembre. Au Pakistan, la situation est maîtrisée. Officiellement, on a dénombré 210.000 enterrements mais des îles entières et leur population ont disparu. Les chiffres réels doivent bien voguer dans les 300.000 morts comme prévu.
1978, septembre. Nous avons un nouveau Pape, Jean-Paul Ier. À l'issue de chaque séance de vote, les bulletins, anonymes, sont transpercés à l'endroit où se trouve le mot "eligo" et réunis par un cordon de soie. Puis le tout est jeté au feu. Originairement, on les brûlait dans la chapelle Sixtine, mais on remarqua que les fumées détérioraient les fresques de Michel-Ange, aussi les brûle-t-on, depuis le 19ième , dans un poêle, dont la cheminée extérieure est visible de la place St-Pierre. Un vote positif donne une fumée blanche, négatif une fumée noire. Jusqu'à l'élection de Paul VI (1963), la fumée noire était produite par de la mousse humide mêlée aux papiers, la fumée blanche par les papiers seuls. Mais souvent la fumée sortait grise dans les 2 cas. Pour cette élection, on ajoute aux bulletins un produit chimique fumigène, noir ou blanc.
1988, décembre, 7. La presque totalité du nord de l'Arménie (soit environ 960.000 personnes) est touchée par un tremblement de terre.Leninakan, la deuxième ville de la république est transformée en un monceau de gravats, et Spitak est entièrement éliminée. D'autres destructions significatives ont lieu dans les autres villes de la région .... Des milliers de personnes, (25.000 selon les cocos, mais le chiffre 100.000 est plus probable) y compris des enfants, ont péri ce jour là. 514.000 sont devenus sans abris. De grands dommages ont été causés à l'économie nationale.L'Arménie perd environ 8 millions de m² de logements. Près de la moitié des écoles, 110 hôpitaux et dispensaires, 119 musées ou monuments historiques sont détruits ou sérieusem*nt endommagés. A Leninakan, second centre industriel, 17 des 20 grandes industries sont entièrement détruites. Mais les grandes pertes viennent de l'agriculture. Toutes les constructions agricoles de la région sont totalement ou partiellement détruites. Environ 80.000 têtes de bétail sont mortes. Les structures agroalimentaires et les systèmes d'irrigation et d'approvisionnement en eau sont sur plus de 90.000 hectares totalement détruits. L'approvisionnement en eau potable est totalement interrompu pour Spitak et considérablement réduit pour les autres villes.Toutes les lignes de communication sont endommagées dans la région. Deux mois au moins seront nécessaires pour les remettre en service. Les centrales électriques de la région, (dont la centrale nucléaire) ont, elles aussi, souffert du séisme entraînant une vaste pénurie d'énergie.
1991, main 24. Israël a décidé de sauver les juifs éthiopiens, noirs, qu'on laisse mourir au Soudan. Ce mois-ci, après que le dictateur éthiopien ait fui le pays, le nouveau gouvernement les vend à Israël pour quarante millions de dollars. Israël crée un pont aérien et, le 24 mai 1991, lors de la fête de Shavouoth, 14.000 personnes sont transportées en une nuit vers Israël. C'est l'"Opération Salomon" et elle dure en tout 48 heures. Sept bébés naîtront pendant le transport. Après ce sauvetage en masse, 6.000 juifs éthiopiens supplémentaires accomplissent leur alya, mettant fin à l'existence de la communauté juive d'Ethiopie, vieille de 3.000 ans.
1996 Avril. La situation au Soudan devient catastrophique pour les non-musulmans. Assassinats, pillages, esclavage sont devenus leur lot. Cela confirme mon opinion qu'il n'aurait jamais du donner l'indépendance aux colonies en bloc, mais par ethnie. Depuis 1980, plus d'un million et demi de non-musulmans du Sud ont été assassinés, dans l'indifférence générale par les musulmans du Nord. Le commerce d'esclaves y est maintenant florissant. Les vendeurs d'esclaves osent revendre à leur famille les enfants enlevés par les arabes nordistes. Depuis 1989, c'est la guerre civile. Les troupes gouvernementales, arabes et islamistes, ont assassiné les prêtres et incendié les églises. Des dizaines de milliers d'enfants sont enlevés pour servir de boucliers humain à l'armée. Ils précèdent les troupes attaquantes. Les musulmans se rendent coupables d'un véritable génocide, et nous, on n'en sait rien, on ne fait rien…
1999 octobre, 29. L'Inde subit un cyclone qui fait 20.000 victimes et tue 700.000 têtes de bétail, endommage ou déracine 90.000.000 d'arbres, fait 20.000.000 de sans-abris, 5.000.000 de fermiers perdent leur travail et 1,2 million d'hectares de culture sont ravagées.
2001, 4 et 5 mars. Les Bouddhas de Bâmiyân étaient deux statues monumentales de bouddhas debout, excavées dans la paroi d'une falaise située dans la vallée de du centre de l'Afghanistan, à 230 kilomètres nord-ouest de Kaboul et à une altitude de 2500 mètres. Après avoir survécu relativement épargnées durant plus de 15 siècles, avoir assisté à la destruction de la ville de Bâmiyân par les Mongols, avoir vu l'occupation russe, les statues sont décrétées idolâtres par un mollah quelconque et les Talibans les détruisent au moyen d'explosifs et de tirs de canon. Les deux statues ont disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant une vive émotion de par le monde.
2002, Juillet, 4. Avant-hier, mardi, nos petit*-enfants ont participé à l’Ommegang, défilé qui depuis près de 500 ans reproduit scrupuleusem*nt l’entrée de Charles-Quint à Bruxelles. Depuis 100 lustres, les bons bourgeois, et plus tard les braves citoyens de Bruxelles, reproduisent sans variantes autres que la fête breugheliennne, la joyeuse entrée. Les notables, les métiers, les églises, la famille impériale défilent, majestueusem*nt. Timbaliers, porte-étendards, sont assurés par la gendarmerie royale. Il est amusant de voir des jeunes filles parmi l’escorte royale ! Jeux de drapeaux, cavalcades, échassiers, avec combats, puis fête populaire. Depuis 10 ans le cercle de gymnastes où est inscrite notre petite-fille joue un rôle dans la fête. Notre puinée nous a donc invité à venir voir la petite pour la seconde représentation, ce jour. On arrive et lorsque nous voulons louer une place dans les tribunes, 24€ on nous répond que tout est loué. A ce moment, notre fille arrive et nous fait entrer par la maison communale, comme… acteur. Et le plus amusant, c’est qu’on nous colle deux habits de petit* citadins, et que nous nous retrouvons au cœur de la représentation, costumés en XVIième siècle. Notre petit-fils a l’air découpé dans un tableau de Breughel. Il est avec une coiffe rouge et on jurerait qu’il a été peint il y a 500 ans…Nous avons les meilleures places, au premier rang, encore mieux que notre reine Fabiola qui est au balcon et nous voyons se dérouler les fastes de l’Ommegang sous nos yeux. Beaucoup d’étrangers pour regarder la parade, tout plein de petites et petit* japonais à qui nous envoyons des bisous et des "sayonara" amicaux. Puis c’est notre tour. On se promène, de ci de là, dansons des bourrées, des farandoles, des rondes, invitons les petit* enfants des spectateurs à se joindre à nous, le temps d’une ballade, ce qu’ils font avec de grands yeux émerveillés. Voici un souvenir bien agréable de la Belgique qu’ils emmèneront dans leur cœur pour le restant de leur vie. Le cercle de gymnastique fait des pyramides humaines, un jeune gymnaste monte à la tribune et fait, devant "l’empereur" des saltos et reçoit lettre d’honneur … Bref on s’est "impérialement" amusé.Après la fête nous allons, toujours déguisés, boire une chope au "Cygne". Une jeune Japonaise boit une trappiste "Orval" à coté de nous. Elle paie son addition, se lève, vient à ma douce et lui dit en anglais : "Je pars ce soir vers le Japon et mes fleurs vont se faner, puis-je vous les donner ?" et elle donne en même temps que trois roses, un bisou très gentil à ma douce.Quand je pense que vieux Bruxellois tous les deux, de près de 60 ans, nous n’avions jamais participé ou assisté à cette fête charmante et si doucement complice de notre belle histoire nationale. Il y avait sur place des Belges de tous les bords, Wallons, Flamands, Brabançons, Bruxellois et Allochtones, braves prolétaires et nobles familles, membres de la famille royale et ouvriers, tous communiant dans une belgitude parfaitement heureuse et détendue, tout comme à nos marches pour l’unité du Royaume. Quelle belle soirée ! Qu’il est doux d’être entre nous, sans les disputes et les cris générés par nos politicailleurs !
2003, décembre, le 26. Un important séisme (6.3 sur l'échelle de Richter) ravage la région de Bam qui est la plus grande ville de terre non-cuite du monde, en Iran. Les premières estimations font état de 30.000 morts. Il y en aura en définitive 31.884. La cité antique, est ravagée.Arg-e Bam se trouve sur l'ancienne route sud de la soie (la route nord passait par Samarkand et Boukhara) et a toujours occupé une place stratégique. Situation qui tantôt a fait sa richesse et tantôt son malheur. La ville fut si souvent détruite et reconstruite qu'elle ne put jamais vivre en paix... mais au moins, cela donne du travail aux archéologues !
2004, décembre 26. Ce matin un tsunami a frappé le sud de l'Asie. Sri Lanka, Thaïlande, Indonésie, Inde, Maldives, Malaisie, Singapour, un à un les pays de l'Asie du sud ont été violemment frappés ce dimanche par une série de raz-de-marée post-sismiques. Le séisme survenu 8 heures heure locale au large de l'île indonésienne de Sumatra, avec une magnitude de 8,9 sur l'échelle de Richter, selon l'institut géologique américain, est le plus violent qui ait été enregistré dans le monde depuis celui de 1960 au Chili. D'heure en heure, le bilan s'alourdit. Le séisme a provoqué une série de raz-de-marée en Asie provoquant la mort de plus de 9.000 personnes, notamment au Sri Lanka et en Inde. C'est une plaque tectonique qui s'est enfoncée de 10 centimètres provoquant le phénomène. Une gigantesque déferlante suivie d'une seconde à peine moins haute a roulé sur les rivages, balayant Sri Lanka, les Philippines, l'Indonésie et venant mourir sur les côtes du sud de la Thaïlande, ravageant les îles de phu*ket et de Phi Phi où Tancrède passait ses Week-ends. Au moins 310 personnes ont été tuées, plus de 5 000 autres blessées et de nombreuses autres sont portées disparues, selon un bilan donné par les hôpitaux. "Nous avons maintenant 50 morts à phu*ket", a dit le ministre de la santé. La police a précisé qu'au moins six des morts étaient des étrangers qui se sont noyés sur la plage de la côte ouest de phu*ket. Il n'y a pratiquement plus un seul immeuble debout à Phi Phi Don, l'île principale, au lendemain du passage des raz-de-marée: les rangées de bungalows regroupés près de l'unique terminal maritime ont explosé sous le choc, a constaté le photographe qui a pu atteindre le site avec des secouristes. Baigneurs, tables, arbres, tout a été emporté en quelques instants. 28. Deux jours après les raz-de-marée qui ont ravagé les côtes de huit pays d'Asie, le bilan était de plus de 27.000 morts, mais il pourrait bientôt dépasser 40.000 morts plus 30.000 disparus, l'Indonésie annonçant à elle seule un bilan probable de 21.000 morts ou davantage. Le nombre des touristes étrangers figurant parmi les victimes du cataclysme ne cesse lui aussi de croître. En Thaï-lande, les autorités ont donné un bilan provisoire de près de 1.000 morts dont quelque 790 touristes étrangers. "Selon les derniers chiffres, nous avons plus de 990 morts confirmés, environ 200 Thaïlandais et le reste des étrangers", a déclaré le ministre de l'Intérieur. "Mais d'après ce que j'ai vu, le bilan va encore augmenter", a-t-il averti. Au moins 1.600 touristes suédois sont toujours portés disparus mardi en Thaïlande, selon des estimations de voyagistes. Ces chiffres n'incluent pas les gens partis dans ce pays par leurs propres moyens, donc sans avoir eu recours à un organisme spécialisé, ont annoncé des médias. Plus de 30.000 morts! Et on découvre des cadavres toutes les minutes. Le bilan officiel au Sri Lanka s'est alourdi de 2.480 morts et s'établit désor-mais à 13.000 morts, ont annoncé les autorités. De leur côté, les rebelles tamouls font état de 2.000 morts supplémentaires dans les zones sous leur contrôle, ce qui porte plus de 15.000, le nombre de victimes du raz-de-marée de dimanche. En outre, les inondations provoquées par ce raz-de-marée ont provoqué l'exode d'un million de personnes.Sur la côte nord-ouest de Sumatra, les villages ont été rayés de la carte et "il n'y a plus aucun si-gne de vie tout au long des 240 km de la côte", a assuré un journaliste qui a survolé la zone.Signe de la puissance exceptionnelle du phénomène, les vagues meurtrières sont parvenues sur la côte est de l'Afrique. En Somalie, 40 corps de pêcheurs ont été retrouvés, et 60 autres pêcheurs sont portés disparus et considérés comme morts. Au moins 10 personnes sont mortes en Tanzanie et une au Kenya. 29. Trois jours après le raz de marée qui a ravagé les côtes de huit pays d'Asie, le nombre de morts recensés approchait de 60.000, un chiffre qui pourrait être doublé dans les prochaines se-maines par les épidémies et le manque d'eau potable. Vers 6H30 mercredi, le nombre des morts confirmés était de 58.891.
En Ukraine, depuis un mois se déroule une comédie tragique d'élections truquées. Il a fallu trois élections pour élire le nouveau président, un Viktor, favorable à l'ouverture européenne, contre son adversaire pro-russe, un autre Viktor. Que des Viktor! Les premier et second tour ont été tru-qués par celui-ci. 120% de votes dans certaines villes, des bulletins chiffonnés et non comptés de son adversaire mis à la poubelle et retrouvés par la voirie, des urnes trafiquées et remplies avant les élections apportées au dépouillement à la place des urnes des votants, 99% des voix acquises dans des villes où la population affirme avoir voter plus ou moins 50/50, c'était presque trop. Le candidat victorieux a été empoisonné à la dioxine par les services secret de l'ancienne présidence. Il présente un visage ravagé par des cratères et boursouflé. Avant les élections, il n'avait rien de tout cela et était de l'avis de ses concitoyens plutôt bel homme. Maintenant, il est affreux. Le candidat pro-russe n'accepte pas sa défaite et conteste à son tour le résultat des troisième élections. Ils sont fous ces Ukrainiens.
30. Les raz-de-marée de dimanche en Asie ont fait plus de 80.000 morts, selon un décompte éta-bli mercredi à 16H20 après l'annonce par les autorités de Jakarta d'un nouveau bilan provisoire de 45.268 morts en Indonésie.C'est ce pays qui semble avoir payé le plus lourd tribut. Selon l'ONU, le bilan définitif des victi-mes dans cette région pourrait se situer entre 50.000 et 80.000 morts.Le Sri Lanka, c'est Ceylan, a perdu 22.493 personnes, l'Inde près de 11.000, la Thaïlande 1.829, la Birmanie 90 (selon les organisations humanitaires internationales), les Maldives 67, la Malaisie 65 et le Bangladesh 2.Trois jours après la catastrophe, des dizaines de milliers de personnes restent portées disparues, principalement en Indonésie, en Inde, en Thaïlande et au Sri Lanka.
2005, janvier. Le bilan est à 163.785 morts en Asie et Afrique. La solidarité internationale bat son plein. Pendant ce temps, en Tchétchènie, les Russes font annuellement le même nombre de morts qu'un tsunami, mais là, pas de solidarité! Les sinistrés de Bam n'ont rien vu des promesses, enfin n'enont vu que 10 % ! Ceux d'Arménie n'ont pas vu un seul reporter ! Au Tibet, il y a eu et il y a encore génocide, mais presque personne ne bouge. Le monde a vraiment des œillères pour s'émouvoir !
28. Depuis l'apparition du sida en 1983, 300.000 personnes en meurent par mois (1 toutes les 8,50 secondes) dans le monde, c'est autant, plus même, que les tsunamis qui ont frappé l'Asie du sud le 26 décembre et suscité une grande vague de solidarité. Le problème, c'est que de frappant d'abord et uniquement des parias, cette maladie a gagné, par transfusion ou contamination lors des naissances des tas d'innocents. Et comme il frappe surtout les ignorants, ces jeunes sidaïques ne le savent pas et contaminent à leur tour. Les premiers de ces innocents ont déjà l'age d'être vecteurs.Tant qu'on est dans les épidémies, la grippe aviaire continue son petit bonhomme de chemin. Un ou deux morts par jour depuis un an. La transmission s’effectue lors de contacts fréquents et intensifs avec des sécrétions respiratoires ou des déjections d’animaux infectés. Une transmission du virus aviaire à l’homme risque de favoriser des échanges de matériel génétique entre les deux virus chez une personne déjà contaminée par le virus de la grippe humaine. Un tel réassortiment génétique entre ces deux virus pourrait engendrer l’apparition d’un nouveau type de virus susceptible de s’adapter plus facilement à l’homme. Ce mécanisme faciliterait ainsi la transmission inter humaine de ce nouveau type de virus qui pourrait diffuser sur un mode épidémique voire pandémique, comme cela s’est vu dans le passé, voir la grippe espagnole en 1918, 40 millions de morts à l'époque, 4 x plus que les morts de 5 ans de guerre, et alors, cette fois encore, ... on comptera de nouveau les morts par millions !
Août, 30. Nous apprenons la catastrophe. Hier, le violent cyclone attendu, avec des vents dépassant 220 kilomètres par heure, s’est abattu sur le rivage des états de Louisiane, Mississippi, Alabama et l'ouest de la Floride. La ville de la Nouvelle-Orléans, d'abord épargnée par les vents, a été ensuite immédiatement submergée par les eaux du lac voisin qui a vu les digues céder à la pression des eaux. L’ouragan Katarina qui a ravagé la ville de Nouvelle Orléans a fait selon les sources non officielles, "des centaines, voire des milliers de morts", notamment dans les quartiers pauvres dont les habitants n’ont voulu s’échapper malgré l’ordre d’évacuation.
Décembre, 12. Peu de personnes connaissent les tueries souvent impunies à Cuidad Juarez En douze ans, on y a recensé, dans cette ville frontalière des États-Unis, jumelle d’El Paso (Texas), semée d'usines d’assemblage, plus de 350 morts de femmes, fréquemment avec violences sexuelles. La première, le 23 janvier 1993, elle s’appelait Alma Chavira Farel et avait treize ans. La majorité d’entre elles étaient des ouvrières des usines, migrantes des États du Centre et du Sud, soutien de familles restées au pays, vivant dans l’espoir d’avoir, un jour, une vie meilleure de l’autre côté du Rio Bravo. D’autres étaient domestiques, lycéennes, employées. Certaines étaient fiancées, mariées, avaient de jeunes enfants.Des "coupables", une cinquantaine en tout, sont en prison, sans procès souvent. Abdel Sharif, dont avait parlé comme un serial killer, a été condamné, en février dernier, à vingt ans de prison pour l’assassinat d’Elisabeth Castro, en 1995. En 1996, c’est la bande des Rebelles qui a été arrêtée. Plus récemment, Gustavo Gonzalez, accusé de la mort de huit femmes, a été exécuté dans sa cellule. Et les crimes continuent. Le 22 juillet dernier, trois nouveaux corps de femmes ont été retrouvés. Elles s’appelaient Carine, Miriam et Margarita. Elles avaient vingt, vingt et un et vingt-deux ans. Mais qui chez nous s'intéresse au sort de malheureuses à plus de 10.000 kilomètres ? Le monde n'est que foire d'empoigne où les plus forts survivent. Nous devons absolument renforcer notre descendance. Qui vient dire que nous sommes civilisés ?Depuis hier un incendie ravage les stocks de carburants de Londres. Ce soir les pompiers se sont rendus maîtres de 12 cuves sur 20. Le nuage, non toxique a atteint la France. On ne sait pas encore l'origine du sinistre, mais la thèse accidentelle est mise en avant. Comme quoi, nos pays hyper sophistiqués sont tout compte fait bien fragiles.
2006, avril 26. 20 ans déjà depuis l’explosion de Tchernobyl. Le véritable bilan 20 ans plus tard est affligeant. Selon l’organisation mondiale de la santé, plus de 5.000 personnes qui étaient en bas âge à l’époque de la catastrophe ont souffert d’un cancer de la thyroïde dans les trois pays les plus affectés. Ces cancers ont été induits par l’émission d’iode radioactif issu de l’explosion. Des milliers d’enfants sont nés anormaux, sans un des 4 membres, avec des déformations au visage, des becs de lièvre, et au corps. De vrais monstres. 4 à 5.000 cas de cancers devraient apparaître au cours des prochaines années. Les ouvriers réquisitionnés pour colmater le réservoir ont aussi payé leur tribut. 400.000 personnes ont travaillé, dans les heures ou les jours qui ont suivi l’accident, à proximité du réacteur et ont reçu des doses de rayonnements élevées. Dans ce groupe, il y a eu plus de 9.000 décès par cancers et plus de 10.000 cas de mort prématurées. Il y a aussi 200.000 invalides permanents. Enfin, les riverains font également parties des victimes. Plus de 230.000 personnes ont du être évacuées et relogées dans des conditions souvent bien précaires. Ces re-location des gens ont été souvent plus pénibles que l’accident proprement dit.5 millions d’individus vivent encore aujourd’hui dans des zones contaminés. En Alsace, dans le sud-est de la France et en Corse, les concentrations d’éléments radioactifs ont été importantes. Et surtout, leurs effets ont eu des conséquences sur le long terme. Ce n’est pas seulement le sanglier aux champignons et aux épinards alsaciens, qu’il était alors déconseillé de consommer! Toute la chaîne alimentaire s’en est trouvée affectée, et pour longtemps, de l’herbe aux ruminants qui la broutent et donnent ensuite un lait contaminé, ainsi que les cultures de fruits et légumes dont on consomme les feuilles. Un rapport d’experts, publié il y a un an, a aussi mis en évidence la responsabilité des différents ministères en charge du problème qui, après avoir attendu six jours pour admettre que le nuage radioactif avait bien traversé une partie du pays, ont choisi sciemment de minimiser, et même de cacher les risques encourus, laissant la population continuer à consommer des produits contaminés. Et ce sont les mêmes, ou leurs successeurs, qui sont aux commandes de l’État et demandent qu’on leur fasse confiance quand ils affirment œuvrer pour l’intérêt général ! Vingt ans plus tard, dans certains villages corses, on trouve des niveaux de contamination qui n'ont rien à envier à ceux de la Biélorussie ou de l'Ukraine.Derrière les barbelés : la zone interdite. Cinq cents villages qu'on dirait saccagés par un tsunami irréparable. Une forêt folle, où quelques centaines de vieillards vivotent sur les ruines de leur passé. Convaincus que, de toute façon, ils n'ont plus d'avenir. Vingt ans après l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl, un premier constat s'impose sur ces terres condamnées: même si les radiations ont baissé, l'énergie nucléaire, synonyme de progrès, a ramené la région des décennies en arrière. Tout autour, sur des milliers de kilomètres carrés, c'est aussi la misère. À perte de vue, dans une nuée de tours de béton, le spectacle est le même. Il y a 20 ans, la vie s'est à jamais arrêtée pour les 50.000 habitants de Pripriat, cité dortoir construite au pied de la centrale ukrainienne de Tchernobyl. Le 26 avril 1986, l'explosion d'un réacteur les chassait pour toujours. Aujourd'hui, ils sont issus d'une ville fantôme - d'un deuxième Pompéi, où ne dorment plus que les symboles de la faillite de l'ère communiste.Dans la campagne environnante, les arbres étranglent déjà les maisonnettes. Derrière les fenêtres barrées d'un X fait de planches, les recycleurs ont arraché jusqu'aux prises électriques. Mais de minuscules souliers d'enfant partagent encore le sol avec des poupées désarticulées, vestiges d'une vie arrêtée.Évacués en quelques heures et dans certains cas enterrés, 500 villages d'Ukraine et de Biélorussie ont ainsi été rayés de la carte. Car l'accident n'a pas seulement condamné Pripriat. En 10 jours, la poussière radioactive a empoisonné des dizaines de milliers de kilomètres carrés de routes, de prés, de lacs et de forêts. Et son poison tuera lentement un nombre encore indéterminé de personnes. Quelques milliers, à en croire les experts occidentaux. Dix ou 100 fois plus, selon les médecins locaux et les écologistes. Un drap immaculé claque au vent au milieu d'un tas de ruines. Ici habite Maria, 81ans. Autour de son "isba" de vieilles planches, dans un village qu'on appelait autrefois Ilyintsy, c'est le silence absolu. Comme la corpulente babouchka, des centaines de vieillards ont bravé l'interdit pour revenir vivre sur les ruines de leur passé. Convaincus que le chagrin ou la faim sont plus meurtriers que les radiations."Des gens près de Kiev venaient tout nous interdire, comme si on avait la peste. On ne pouvait même pas boire l'eau de leur puits : leur eau sale, qui moussait quand on cuisait la soupe! Nous sommes revenus ici la nuit, par les bois, pour échapper à la police", raconte Maria, qui n'est plus jamais repartie. Accrochés au ras des plafonds, broderies, images saintes et photos de famille racontent sa vie. Sa vie d'avant la solitude.Le gouvernement, qui a beaucoup décontaminé, s'est vite résigné à leurs retours. Les vieillards reçoivent du pain, des médecins et même un filet de touristes excentriques, qui paient des sommes faramineuses pour visiter la zone. "C'est l'âge qui va nous tuer, pas les rayons, assure Maria. Nous avons nos vaches, nos pommes de terre, nos champignons... J'aime mieux mourir le ventre plein, chez moi."Chez elle? Les yeux humides, la vieille dame admet que rien ne sera jamais plus pareil. "Avant, c'était un village heureux, plein de travailleurs, de fleurs et d'enfants. Aujourd'hui, nous sommes moins nombreux que les loups et les sangliers."Au total, l'Ukraine, la Russie et la Biélorussie ont perdu près de 8.000 km2 de terres cultivables, et 7.000 km2 de forêts regorgeant de baies, de champignons et de bois de chauffa*ge.
6 - Quelle ménagerie !
Hommage au Scoutisme et à nos guides et scouts. ==
Abyssin : Lorenz WUILLE
Aigle : Paul HOURMAN
Akela : Lucienne ALEWAERTS
Akela : Nelly de GRADY de HORION
Akela : Nicolas JOTTARD
Akita à fleur de peau : Sophie GUILLET
Alactaga : Camille DUBOIS
Alpaga débrouillard : Jean-Marie VANDEPLAS
Anhinga : Cathy KELLEN
Antilope : Anne TAQUIN
Antilope ardente : Nicole LALOUX
Antilope enhousiaste : Jacques LEMAL
Appaloosa : Tiffany van PARYS
Argali Emc² : Pascal TAYMANS
Argus au pays des merveilles : Ludovic VERMEULEN
Asio Stand up : Ariel BATTISTI
Auroch insouciant : Jean LELOTTE
Azara ; Clement VIENNE
Babiroussa beau-parleur : François-Xavier NÈVE de MÉVERGNIES
Bambi : Michel GOUZÉE
Bambi belle humeur : Aliette GERVY
Bambi mine de rien : Gaelle LE CLEF
Bambi sans tam-tam : Anne-Isabelle van PARYS
Bandicoot prince Abdallah : Maxime de PIERPONT de RIVIÈRE
Barasingha écran total : Philippe LEEMANS
Bassaris : Valérie HACHEZ
Bassenji boite a surprise : Édouard DERASSE
Basset volontaire : Christophe LE GRELLE
Bécasse à l'aise : Marc SECHEHAYE
Belette : Philippe KELLEN
Bengali pétillant : Grégoire de PIERPONT de RIVIÈRE
Bergeronette en tapinois : Michèle van PARYS
Biche droit devant : Claire de SAEDELEER
Bison assidu : Pierre BLANCHAERT
Bison tapageur : Pierre SCHEPPERS de BERGSTEIN
Blaireau actif : André WAUTERS
Bouquetin : Louis DUBOIS
Brocard impétueux : Jean-Marie van PARYS
Buteo McGyver : Arthur-Antoine FALLON
Caberu les Daltons : Quentin de MONTPELLIER d'ANNEVOIE
Caberu pilote : François MOUSSET
Cabri : Agnès TERLINDEN
Calao apprend-nous : Anne-Sophie HERMANT
Campagnol : Cécile Randaxhe
Campagnol constant : Simon van PARYS
Campagnol dolce vita : Pierre-Emmanuel van PARYS
Campagnol eaux-vives : Priscilla HOURMAN
Campagnol feu de braise : Noëlle van PARYS
Caneton vagabond : Claude BOLAND
Caouanne électron-libre Damien TERLINDEN
Caribou : Paul VAN REETH
Caribou : Joseph NISET
Caribou à fond : Pierre-Paul van PARYS
Castor en coulisse : Rodrigue DEMEUSE
Castor hurluberlu : Antoine-Gérard DUMORTIER
Castor tenace : Armelle CAROF
Cerf serviable : Alain du PARC LOCMARIA
Cerf agile : Roger VAN der HEYDEN
Chacma : Patrick DEBUCQUOIS
Chamois à l'assaut : Christian van PARYS
Chamois compatissant : Gérard GODARD
Chamois enjoué : Tancrède HOURMAN
Chardonneret conquérant : Jeannine LEGRAND
Chat autoritaire : Pierre BISSOT
Chaton à ma guise : Arnaud CHARLIER
Chaton la guide met son honneur à mériter confiance : Myriam van PARYS
Chaton laborieux : Nicole TOMBEUR
Chevreuil généreux: Christian Pirard
Chico : Julien KELLEN
Cigale manches relevées : Claude GYSELS
Chinchilla électrocardiogramme : Bénédicte van PARYS
Chinchilla pétillant : Thierry STORMS
Chinchilla : Monique COURTENS
Chousingha : Manon BORREMANS
Chouette : Jacqueline CREMERS
co*cker franc jeu : Caroline van OOST
Colibri : Annick KELLEN
Colibri : Elisabeth DUBOIS
Colibri : Michel CAEYMAEX
Coliou perce-neige : Amélie MUSURE
Coq déluré : Jean-Baptiste HANQUET
Coris vif argent : Anne BISSOT
Cougar : Guillaume VIENNE
Courlis accueillant : Liliane DELIENS
Coypou, by the fire : Cyril van den WYNGAERT
Criquet imaginatif : Claude ROLIN
Daguet cabalistique : Anne BATTISTI
Daguet serviable : René GOFFINET
Daguet teur de jupons : Joël GRIGNARD
Daim efficace : Étienne van PARYS
Daim premier de Cordée : Jean-Pierre HACHEZ
Daim taquin : Baudouin BAREEL,
Daman Arsène Lupin : Tanguy CHARLIER
Danaïs eau vive : Andréa HARMIGNIES
Dauphin péremptoire : George van STAPPEN
Dauphin ; Matthieu Dubois
Dauphin sagace : Evence COPPÉE
Dibatag ça se discute : Pierre STEVERLYNCK
Dorcas : Maël DUPRIEZ
Écureuil : Christian MALEVEZ
Écureuil dynamique : Julie LEFEBVRE
Écureuil malicieux : Michel PIERREUX
Écureuil malicieux : Jean-Marie LECHAT
El Guanaco forcados (Lama blanc) : Rodolphe HENRARD
Élan dévoué : Jean DASSEVILLE
Élan loyal : Baudouin de BELGIQUE
Élan : Réginald VERHAEGHE de NAEYER
Eliomys dans le photomaton; Zazou murmure :go go go à la dalhia pour qu'elle s'impose sous son vrai jour : Charlène HOURMAN
Épagneul pondéré : Bernard PANI
Épaulard insubmersible : Philippe GUILLET
Épervier sympathique : Paul GERMEAU
Épinoche rieuse : Georges-Albert d'OULTREMONT
Faon : Lisette VIENNE
Faon rejoins-nous : Geneviève WILBERZ
Fauvette : Marie BATTISTI
Fauvette expansive : Paul TIHON
Fauvette méticuleuse: Bénédicte SERVAIS
Fennec extra habile : Denis FERON
Fourmi : Yves Maquet
Fourmi : Mariette BILANDE
Fourmi : Jacques RANDAXHE
Fourmi serviable : Bernadette BOLAND
Fox bon coeur : François GEIRIS
Fox rieur : Raymond GLORIE
Fox rieur : Brigitte de VREESE
Frère gris : Bernard ROLAND-GOSSELIN
Friquet malicieux. : Jacqueline TOBY
Gariba : Dimitri VANDENHEEDE
Gazelle hilare : Yves d'OULTREMONT
Gérénuk koda : Solène MINET
Genette contre vents et marées : Laurence CHARLIER
Gerboise coeur sur la main : Sophie STORMS
Gerfaut : Thomas ÉLISE
Gerfaut travailleur : Bernard t'SERSTEVENS
Grenouille éveillée : Cécile ROLIN
Grizzli : Jacques DELISSE
Grizzli débrouillard : Jacques LELOTTE
Grizzli cœur ouvert : Yves de WOUTERS d'OPLINTER
Grizzli concilliant : Jean LEMERCIER
Hamster constructeur : Étienne CHRISTIAENS
Hamster ingénieux : Frédéric VANDENHEEDE
Hamster raffiné : Paul Masure
Hérisson ingénieux : Jean van den BRANDEN de REETH
Hermine brise lammes : Jordane CARPENTIER de CHANGY
Hermine courageuse : Marc LEFEBVRE
Hermine pince sans rire : Bernard de LAMINNE de BEX
Hermione 'raga de l'écume' : Coralie GERMEAU
Héron infatigable : Nicole MOYERSOEN
Husky : Bruno HAASS
Husky : Florence van PARYS
Hyrax L'Alpha Ralph et sa Furie Nocturne gardent le vif d'or : Tristan HOURMAN
Ibis tient bon la vague : Céline TAYMANS
Indri : Jean-Luc CHARLIER
Isard : Gabriel Dubois
Isatis eau-vive : Véronique MOULART
Isaris arlequin : Claudine PARIS
Jabiru Be yourself : Jean WILBERZ
Jagarundi raisonneur : Yves LEHANCE
Kallima : Joëlle GODARD
Kallima Abracadabra : Gwenaelle KNOCKAERT
Kallima : Stéphanie GERVY
Kangourou serviable : Paul van PARYS
Kantijl : Caroline de SAEDELEER
Kiwi : Ambre Blanche de PIERPONT
Koala sherpa : Cédric TERLINDEN
Koati rayon de soleil en coulisse : Ingrid DE TOBEL
Koudou pacemaker : Paolo BATTISTI
Lama : Alain GICART
Lemming clin d’œil : Virginie VANDEPLAS
Lérot expansif ; Jean-Luc GODARD
Lévrier : Claude LÉONET
Libellule : Patricia van PARYS
Linsang tambour battant : Henri DERASSE
Lionceau croque la vie : Marie van PARYS
Lionceau tout à cœur : Marie HURDEBISE
Loir belle-humeur : Paul DAELEMAN
Loriot tenace : Michel DESPRET
Loup cocasse : Jacques de SANY
Loup qui ne dort jamais (Impeesa) : Robert BADEN-POWELL
Loup rectiligne : AntoineTERLINDEN
Loutre discrète : Jean-Louis DUPONT
Luciole ardente : Elisabeth d'HOFFSCHMIDT
Luciole volcanique : Gwendoline GERMEAU
Lynx Kinomichi : Thomas MÉLENS.
Madoqua : Lucie STEUVER
Maki: : Benjamin VIENNE
Mangouste Jack Sparrows : Geoffroy CHARLIER
Mangouste coup de pouce : Antoine LECAT
Mara : Inès HAUTERRA
Marabout impétueux : Henri DABIN
Marcassin : Luc VIENNE
Margay amazone : Lucie TAYMANS
Margay persévérant : Sébastien VANDEPLAS
Marmotte à travers tout : Thibault SCHEPPERS de BERGSTEIN
Marmotte malicieuse : Michel DE VLEESCHOUWER
Marsupilami top : Béatrice van PARYS
Milan je m'apprête: Geoffroy de ROSMORDUC
Miriki : Gabrielle Van CANGH
Moineau raisonnable : Paul MAINDIAUX
Muscardin optimiste : Pierre van STAPPEN
Mustang : Claire DUBOIS
Numbat sort tes griffes : Alexis HAUTERRA
Nyala sors tes griffes à acquérir : Régine MAINDIAUX
Nyala manège enchanté : Charlotte LAMBERT
Ocelot : Charles STAMESCHKINE
Ocelot : Christian MAZY
Okapi flegmatique : Jean van OOST
Okapi Michel-Ange : Baptiste LAMBINET
Once copilote : Corentin TERLINDEN
Ondatra sac à malices : Laurence VANDEPLAS
Orvet farceur : Marc COLSON
Oryx en coulisse : Christophe de GRAND RY
Oryx : Nathanaël DUBOIS
Otarie : Cédric GERVY
Otocyon :Simon DUBOIS
Ouistiti du tac au tac : Françoise van PARYS
Ouistiti tapageur : Agnès KUBBEN
Ours Jovial : Joseph HANQUET
Ourson : Hélène MOLS
Ourson vif-argent: Gaëtan de BROUWER
Ourson civilisé : Ghislaine de RASSE
Ourson humble : Michel HOORNAERT
Ourson vantard : Christian GOUZÉE
Ourson vorace : François-Xavier van OOST
Pangolin résolu : Luc COISMAN
Panpan 5,4,3,2,1, PAN ! : Anne-Marie MOLS
Panthère : Alexandre VANDENHEEDE
Panthère, coins relevés : Viviane LE CLEF
Papillon d'acier : Jean-Pierre LORIERS
Père Loup : Charles CLINQUART
Petit Panda : Anne LACROIX
Phoque : Claude BERNARD
Pie maternelle : Michel HOURMAN
Pincher, hors piste : Pawel van PARYS
Pingouin patrouilleur : Marie-Jeanne DENIS
Pluvier philosophe : Jacques van PARYS
Poney beau fixe : Jacqueline van PARYS
Poney bienvieillant : Louis ÉLOY
Pou qui pousse : Jacques de PIERPONT
Poulain : Gonzague BIART
Poulain ardent : Jacques CLAESSENS
Poulain décidé : Marie MALI
Poulain erratique : Réginald PAUWELS
Poulain mine de rien : Olivier WILLEMOT
Poulain sans souci : Liliane THIOUX
Puma : Thomas de GRAND RY
Raton consciencieux : Vincent de WALQUE
Renard curieux : Georges Prosper REMI
Renard noir : Jacques SEVIN
Renardeau : Xavier LÜTHI
Saïmiri manche relevée : Marie-Hélène VAN der HEYDEN
Saki vent d'est, vent d'ouest : Michèle PECKEL
Sanderling : Sabine FRÈRE
Sanderling Rafiki : Charlotte BINAMÉ
Sapajou farceur : Yves de SENY
Sapajou joyeux : Bernadette HOURMAN
Serval rêveur ; Jean-Michel STEUVER
Serval tonic : Gwendoline HOURMAN
Sewell érudit : Gaëtan VANDEPLAS
Shetland marchand de bonheur : Bénédicte van MEERBEEK
Sifaka : Fleur POLLET
Sifaka à votre service : Florence THOMAS
Sifaka mine de rien un arlequin monte pas à pas le podium : Ludivine WUILLE
Sirli holà, incognito le nénuphar se prélasse au clair de lune, tu comprends ? : Éline HOURMAN
Sloughi : Amandine BAREEL
Sonderling : Simon KELLEN
Spip : Véronique TALENT
Spip : Yvette JANSSENS
Spip edax : Thérèse TAQUIN
Spip article 8 : Danielle GERVY
Suricate abdallah : Henry STEVERLYNCK
Tamarin orage d'été : Tanguy NOLET de BRAUWERE van STEELAND
Tamia Hakunamatata : Océane VERMEULEN
Tarpan face à face : Simon DEMEUSE
Thecla curieux : Jean-Pascal MASURE
Traquet courtois : Henri HOURMAN
Tupaya bonheur tranquille : Caroline STORMS
Vervet Joker : Guillaume VERMEULEN
Wallaby : Thomas van PARYS
Wallaby 100.000 volts : Brigitte STESSENS
Winnie tout feu tout flamme : Nicole HACHEZ
Wontella loup solitaire : Marie-France CHARLIER
Yearling en coulisses : Vinciane de BROUCHOVEN de BERGEYCK de NAMUR d'ELZÉE
Zibeline Sheldon Cooper : Adrien BINAMÉ
Zibeline cheerleader : Lucie Van CANGH